Jusquau bout de la nuit, jusqu'au soleil levant, Toi mon Dieu, tu me conduis. Jusqu'au bout de la nuit, jusqu'au soleil levant, Toi mon Dieu, mon seul appui. 1 Mille voix me criaient : « Tu cours vers le néant ! » Mais dans l'obscurité, Tu guidais ton enfant. 2 Les ténèbres de mort Envahissaient les cieux, Tu essuyais déjà Les larmes de mes yeux 3 Partageant le pain noir,
alpha J artiste Joffré titre Sur le champs de bataille Les paroles de la chanson Sur le champs de bataille »Joffré Sur le champs de bataille deux armées se font faceLes deux camps sont de taille on y voit toutes les classesDu mago qui asmate au chasseur maléfiqueDu démo psychopathe au voleur diaboliqueIls arrivent par portail soldats armés de hachesMotivés et sans failles il sont la pour le clashJuste avant de chargé il se passe quelque chose Un long silence glacé sur les deux camps se comme ça que ça se passe sur le champs de batailleC’est des combats de masse, dans l’sang et des entrailles Et ça gère comme ça jusqu’au bout de la nuitC’est une guerre sans fin où personne ne s’ un grand hurlement tous les guerriers s’élancentCe long cri déchirant à remplacer le silencePremière ligne engagée ils n’ont pas peur des lancesInsensible, enragés ils sont déjà dans leur transeLe contact est violent, le choc assourdissantUn impact si puissant que partout on l’entendsSi compacte la mêlée qu’les larmes dansent dans le sangC’est le pacte du guerrier d’être toujours devantC’est comme ça que ça se passe sur le champs de batailleC’est des combats de masse, dans l’sang et des entraillesEt ça gère comme ça jusqu’au bout de la nuitC’est une guerre sans fin où personne ne s’ éléments se déchaine, les Chamans entrent en guerreDéposant des totems, lançant des éclairsSur le sol partout des pièges alors s’activentLes chasseurs et leurs bêtes ont rejoint l’offensifLes voleurs déciment ils ont commencé à tuéPas de peur, leur victime les ont même pas vu arrivéIls font mal quand ils taillent et sont insaisissableRenverser une bataille ils en sont bien comme ça que ça se passe sur le champs de batailleC’est des combats de masse, dans l’sang et des entraillesEt ça gère comme ça jusqu’au bout de la nuitC’est une guerre sans fin où personne ne s’ le ciel s’embrase, des boules de feu jaillissent Les magicien ont déployé leur puissance destructriceCeux qui survivent aux flammes sont maudits et suffoquentLes démoniste leur envoient les démons qu’ils chevaliers de la mort, eux sont bien au milieuIls sont vraiment très fort et s’amuse de leur mieuxAdversaire redoutable, le cauchemar de leur cibleOn en viendrait presque à croire qu’ils sont indestructibleC’est comme ça que ça se passe sur le champs de batailleC’est des combats de masse, dans l’sang et des entraillesEt ça gère comme ça jusqu’au bout de la nuitC’est une guerre sans fin où personne ne s’ennuie. Ils sont sage au combat et souvent perspicaceBête sauvage redoutable ou soigneur efficaceÉquilibrant les batailles avec toutes leur puissanceLes druides ressuscitent ceux qui sont tombé dans la danseUne lumière aveuglante chasse la noirceur du cielUne chaleur apaisante sucrée comme du mielEnveloppe les blessés par magie les renforcentLes paladins et les prêtres ont déployés leur comme ça que ça se passe sur le champs de batailleC’est des combats de masse, dans l’sang et des entraillesEt ça gère comme ça jusqu’au bout de la nuitC’est une guerre sans fin où personne ne s’ennuie. X3Sur le champs de bataille deux armées se font faceLes deux camps sont de taille on y voit toutes les classesDu mago qui asmate au chasseur maléfiqueDu démo psychopathe au voleur diaboliqueIls arrivent par portail soldats armés de hachesMotivés et sans failles il sont la pour le clashJuste avant de chargé il se passe quelque chose Un long silence glacé sur les deux camps se pose.Extraitde Voyage au bout de la nuit: Bardamu embauché dans l'usine Ford p223_226 (partie de la découverte de l'usine) «Et j'ai vu en effet les grands bâtiments trapus et vitrés, des sortes de cages à mouches sans fin, dans lesquelles on discernait des hommes à remuer, mais remuer à peine, comme s'ils ne se débattaient plus que faiblement contreLa dix-huitième édition de la Nuit de la parole est programmée samedi 27 novembre. - © Église Protestante Unie des Batignolles Publié le 25 novembre 2021 Mise à jour le 25/11 Par Cathy Gerig La Nuit de la parole fait son retour à l’Église Protestante Unie des Batignolles, dans le 17e arrondissement de Paris, samedi 27 novembre à 20 heures. Des prédications et des intermèdes musicaux. Pour la dix-huitième fois, l’Église Protestante Unie des Batignolles Paris a organisé une Nuit de la Parole. Annulé en 2020 en raison de la crise sanitaire du Covid-19, le rendez-vous fait son retour. Cette année, il aura pour thème “L’Église de demain, dans le monde de demain”. Un fil rouge bien ancré dans l’actualité. Pour l’aborder, cinq pasteurs ont choisi un verset ou un passage de la Bible qu’ils présenteront aux auditeurs. Parmi eux, des habitués comme Laurent Schlumberger et Marc-Henri Vidal, mais également d’autres pour qui ce sera une première expérience, comme Agnès Adeline-Schaeffer. L’événement est en tout cas ouvert au grand public. Cette année encore, les différentes interventions de la Nuit de la Parole seront entrecoupées de prestations musicales, afin de méditer tout en passant un moment agréable. “Il y aura une soprano, de l’orgue, du piano, etc.”, confirme Xavier Ranson, le président du conseil presbytéral, ravi d’annoncer le retour de la manifestation après une pause forcée. “Un temps symbolique” À l’origine lancée dans le cadre de la Nuit Blanche, une manifestation artistique annuelle de la Ville de Paris, la Nuit de la Parole a ensuite pris son autonomie et a été décalée dans le temps. Désormais, elle est programmée au début de l’Avent. Cette période désigne les quatre semaines qui précèdent Noël. “C’est l’entrée dans un temps très fort, un temps symbolique”, rappelle Xavier Ranson. Un temps spirituel, aussi, accessible à tous, comme la Nuit de la Parole. Rendez-vous le samedi 27 novembre, de 20 heures à 23 heures, au Temple des Batignolles, 44 boulevard des Batignolles, Paris 17e. Entrée libre. Pour une lecture en mode zen, téléchargez gratuitement l’application Réforme Abonnez-vous à Réforme à partir de 5 €/mois magazine hebdomadaire Cerythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie Et tu chantes, chantes, chantes ce refrain qui te plaît Et tu tapes, tapes, tapes, c'est ta façon d'aimer Ce rythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie Tu danses le monde, musique américaine, Jusqu'au bout de la nuit Écouter un extrait . Retour aux autres chansons Je me présente à vous, de ces lieux le baron Moi qui n'ai rien de noble, à peine les intentions Bienvenue ma jolie, soyez ici chez vous Ceci est mon domaine, venez donc boire un coup Dans cet infâme tripot qui est un peu ma demeure J'ai ma table et ma bouteille qui m'attendent à toute heure J'ai tant posé mes coudes sur ces comptoirs usés Que mes bras sont couverts de toiles d'araignées Du houblon ou de l'eau de vie Venez donc boire un verre en ma bonne compagnie Peu importe le chemin que nous aurons choisi Nous irons jusqu'au bout de la nuit Venez donc à ma table, surtout ne craignez rien Je prendrai soin de vous, vous donnerai du bon vin Nous laisserons l'ivresse nous prendre doucement Nous raconterons nos vies et passerons du bon temps Je ne suis pas si mauvais qu'on pourrait le penser Vous n'avez rien à craindre, soyez donc rassurée Si j'aime les demoiselles, oui si j'aime les femmes Je sais être bandit, mais aussi gentleman Après avoir bien bu, nous irons nous promener Au Vieux-Port ou ailleurs, partout où vous voudrez Si vous le voulez bien, vous m'inviterez chez vous Et nous boirons encore jusqu'à s'en rendre fous Et si les lendemains, eux parfois si cruels Soufflent nos amours, telles de vulgaires chandelles Et si le temps qui passe nous condamne à l'oubli Nous aurons été jusqu’au bout de la nuit Paroles et musique Xavier Pétermann Voyageau bout de la nuit. Lecture 2 min Accueil Culture Jazz In Marciac. Le festival de jazz de Marciac se vit jusqu'au bout de la nuit, comme ici dans la nuit de jeudi à vendredi, sur la place Paroles de la chanson Jusqu'au Bout par Kidtonik Lève-toi si tu sens que le son est bon Lève-toi si tu sens que tu tournes en rond Réveille-toi avec nous à la lueur du jour Réveille-toi car tu sais que la vie est trop courte Et je veux dans ton regard De l'amour et de l'espoir Une envie de croquer le monde Jusqu'à la dernière seconde Jusqu'au bout de la nuit Jusqu'au bout de la terre Jusqu'au bout de nos vies Jusqu'au bout, on va faire Du bruit à s'en briser la voix Jusqu'au bout avec toi Jusqu'au bout de la nuit Jusqu'au bout de la terre Jusqu'au bout de nos vies Jusqu'au bout, on va faire Du bruit à s'en briser la voix Jusqu'au bout avec toi Reste-là cette nuit jusqu'au petit jour Hey DJ ! Pousse le son Jusqu'en haut de nos tours ! La musique un oiseau qui s'envole de nos cœurs La musique, c'est des rires pour effacer tes pleurs Et tu danses sans t'arrêter Ferme les yeux pour t'envoler T'as envie de croquer le monde De sentir la chaleur qui monte Jusqu'au bout de la nuit Jusqu'au bout de la terre Jusqu'au bout de nos vies Jusqu'au bout, on va faire Du bruit à s'en briser la voix Jusqu'au bout avec toi Jusqu'au bout de la nuit Jusqu'au bout de la terre Jusqu'au bout de nos vies Jusqu'au bout, on va faire Du bruit à s'en briser la voix Jusqu'au bout avec toi Jusqu'au bout de la nuit Jusqu'au bout de la terre Jusqu'au bout de nos vies Jusqu'au bout, on va faire Du bruit à s'en briser la voix Jusqu'au bout avec toi Jusqu'au bout de la nuit Jusqu'au bout de la terre Jusqu'au bout de nos vies Jusqu'au bout, on va faire Du bruit à s'en briser la voix Jusqu'au bout avec toi
Paroles On discutait dans les cuisines La radio grésillait Pleine des voix d'ailleurs qu'on captait Sirène clandestine A l'aube certains sans rien dire Passaient dans la chambre à côté Et on les entendait gémir En regardant les trams passer On irait pas au Paradis Juste jusqu'au bout de la nuit Le temps d'entrouvrir l'entre-vie Sur une autre vie Sur une autre vie Dans la rue le jour, s'ignorer Pas même un signe de la tête Se retrouver le soir tombé Et fermer les fenêtres Pour enfin parler comme on rêve Alcool et café pour tenir Avec la radio qui soupire Comme un chant d'ailleurs s'élève On irait pas au Paradis Juste jusqu'au bout de la nuit Le temps d'entrouvrir l'entre-vie Sur une autre vie Sur une autre vie On ne se voit plus dans les cuisines On ne se cache plus pour parler On entend toutes les voix du monde sur les ondes Sans plus les traquer Et on n'est pas au Paradis N'avoir plus peur n'a pas suffit Désormais nous dormons la nuit Dans cette autre vie Pourquoi faudrait-il dire merci au rêve Dont on ne sort pas grandi Comme ceux qui occupaient nos nuits Dans une autre vie Dans une autre vie
Letucking ou l’art du cache-sexe. Dans les institutions gériatriques, le discours éthique courant établit avec bienveillance que les «vieillards ont le droit d’avoir une sexualité