Coursparticuliers et soutien scolaire avec le N°1 🎓 Acadomia. Nouveau ! Cours particuliers Ă  domicile : ne payez que 50% du prix des cours avec l’avance immĂ©diate de crĂ©dit d’impĂŽt.

DĂ©veloppez vos compĂ©tences techniques mĂ©tiers avec nos formations professionnelles en Ă©bĂ©nisterie, marqueterie, sculpture ornementale, modelage, dessin, histoire du mobilier, 
 Nous mobilisons pour vous l’expertise de professionnels et les ateliers de l’École Boulle. ÉbĂ©nisterie L’ébĂ©niste fabrique des meubles, en bois massif ou plaquĂ©, de styles traditionnels ou de crĂ©ation contemporaine. Il rĂ©alise des produits de qualitĂ©, opĂšre des choix techniques et fonctionnels, Ă©tayĂ©s par sa culture artistique, ses connaissances et ses savoir-faire. Marqueterie Le marqueteur crĂ©e des motifs ornementaux, floraux, gĂ©omĂ©triques ou figuratifs, en utilisant des morceaux de placage, de bois prĂ©cieux de diffĂ©rentes essences, de bois teints, d’écaille, de corne, de nacre, de mĂ©taux
, qui sont juxtaposĂ©s ou incrustĂ©s. La marqueterie s’applique au mobilier traditionnel et contemporain,... Cliquez sur le bouton lecture pour dĂ©couvrir la vidĂ©o Arts du bois

LeDĂ©partement Histoire de l’art et ArchĂ©ologie est une composante de l’UnitĂ© de Formation et de Recherche (UFR) Histoire, Arts et ArchĂ©ologie. Il offre une formation en Histoire de l’art,
par Enrico Chapel Professeur HDR, ENSA Toulouse, LRA L’enseignement de l’architecture Ă  Toulouse dĂ©bute dans les annĂ©es 1740, lorsque cet art fait l’objet de cours, au mĂȘme titre que la peinture et la sculpture, Ă  l’école de dessin gratuite qui, ouverte par le peintre attitrĂ© de l’hĂŽtel de ville Antoine Rivalz 1667-1735 en 1726, avait bĂ©nĂ©ficiĂ© dĂšs l’annĂ©e suivante du soutien financier durable des Capitouls magistrats de la ville. C’est l’élĂšve et successeur de Rivalz, le peintre et architecte Guillaume Cammas 1698-1777, auteur de la façade de l’hĂŽtel de ville, qui la transforme en 1746 en SociĂ©tĂ© des beaux-arts. Quelques annĂ©es plus tard, celle-ci est Ă©rigĂ©e en AcadĂ©mie royale de peinture, sculpture et architecture par lettres patentes du 25 dĂ©cembre 1750. L’école est alors installĂ©e dans la rue du Poids-de-l’Huile, jusqu’à son transfert, en 1769, dans une autre dĂ©pendance du Capitole, rue Lafayette, de l’autre cĂŽtĂ© de l’hĂŽtel de ville. D’éminentes personnalitĂ©s y enseignent, dont Louis de Mondran 1699-1792, auteur du plan des allĂ©es de l’Esplanade et du Grand Rond, et Jacques-Pascal Virebent 1746-1831 architecte de la Ville qui a dessinĂ© la place du Capitole et la place Villeneuve aujourd’hui place Wilson. En 1782, une Ă©cole du gĂ©nie est créée au sein de l’acadĂ©mie toulousaine. De nouveaux cours de mathĂ©matiques, d’architecture civile, de ponts et chaussĂ©es, de cartographie y sont introduits. AprĂšs la tourmente rĂ©volutionnaire, l’enseignement des arts et de l’architecture se poursuit dans les locaux de l’École centrale de la Haute-Garonne, situĂ©e dans l’ancien collĂšge des jĂ©suites hĂŽtel Bernuy. En 1804 est créée l’École spĂ©ciale des arts de Toulouse, qui, deux ans aprĂšs, rejoint dans l’ancien couvent des Augustins le musĂ©e du Midi de la France, Ă©tabli lĂ  en 1793. C’est en 1833 que l’école s’associe avec les cours du soir de sciences industrielles dĂ©livrĂ©s dĂšs 1826 par Urbain Vitry 1802-1863, neveu de Virebent et architecte en chef de la Ville, pour former l’École des beaux-arts et des sciences industrielles. En 1895, celle-ci s’installe dans l’ancien couvent de la Daurade qu’occupe toujours l’école des beaux-arts1. L’amĂ©nagement des lieux et la construction du palais des arts », dotĂ© d’une façade monumentale, sont confiĂ©s Ă  l’architecte Pierre EsquiĂ© 1853-1933. Sous le rĂ©gime de Vichy et prĂšs de quarante ans aprĂšs le rapport Guadet et la publication du dĂ©cret du 23 janvier 1903, le conseil municipal dĂ©cide la crĂ©ation de l’École rĂ©gionale d’architecture par dĂ©libĂ©ration du 6 fĂ©vrier 1941. Enfin, quand l’éclatement de la section d’architecture de l’ENSBA en 1968 conduit Ă  la crĂ©ation des unitĂ©s pĂ©dagogiques d’architecture UPA, celle de Toulouse sera installĂ©e dans le nouvel Ă©difice construit par Georges Candilis 1913-1995 et Raymond Malebranche 1930-2016 Ă  partir de 1969 dans le quartier du Mirail, et oĂč l’ENSA de Toulouse siĂšge encore aujourd’hui. Le contenu des enseignements dispensĂ©s au sein de toutes ces institutions reste encore mal connu. Marjorie Guillin a rĂ©digĂ© une thĂšse consacrĂ©e Ă  l’AcadĂ©mie royale de peinture, sculpture et architecture de Toulouse au XVIIIe siĂšcle et plusieurs Ă©tudes et mĂ©moires universitaires ont Ă©tĂ© dĂ©diĂ©s Ă  l’école des beaux-arts2. Mais en ce qui concerne le XXe siĂšcle et l’enseignement de l’architecture en particulier, le premier travail d’envergure a Ă©tĂ© entrepris il y a seulement quelques annĂ©es par Jean-Henri Fabre, ancien Ă©tudiant et ancien enseignant de l’école d’architecture. Ce travail est encore en cours mais ses divers rapports intermĂ©diaires et publications ont dĂ©jĂ  permis d’exhumer une importante partie de cette histoire, Ă  partir d’une posture engagĂ©e et militante contre l’enseignement acadĂ©mique3. L’auteur ayant Ă©tĂ© lui-mĂȘme impliquĂ© dans la formation d’un atelier dissident rattachĂ© au groupe C de l’ENSBA, en 1965, puis dans la structuration de la pĂ©dagogie de l’UPA et, enfin, dans la vie parfois tumultueuse de l’institution jusqu’en 2013, date Ă  laquelle il accĂšde Ă  sa retraite administrative, son travail mĂ©lange sciemment et avec un certain raffinement mĂ©moire personnelle et analyse de sources d’archives. En tĂ©moigne notamment le texte consacrĂ© Ă  la pĂ©riode charniĂšre des annĂ©es 1960, qui commence en consignant les impressions d’un jeune Ă©lĂšve qui entre Ă  l’École rĂ©gionale d’architecture de Toulouse au mois d’octobre 1963, oĂč il va prĂ©parer le concours d’admission Ă  l’ENSBA, et qui n’est, en effet, autre que l’auteur de l’écrit4. Fig. 1. Photographie de la maquette de l’unitĂ© pĂ©dagogique d’architecture de Toulouse, G. Candilis, R. Malebranche arch., 1969. AD Haute-Garonne ADHG 7698 W3. Ces travaux ont ouvert de nombreuses pistes de rĂ©flexion qui restent Ă  explorer, comme l’ont dĂ©voilĂ© les interventions du sĂ©minaire. Les communications de la premiĂšre session ont fait l’état des recherches en cours, toutes basĂ©es sur l’analyse de sources d’archives Ă©crites, dessinĂ©es ou imprimĂ©s. Constance Ringon maĂźtre-assistante associĂ©e Ă  l’ENSA de Toulouse et Laurence Chevallier maĂźtre-assistante Ă  l’ENSA de Toulouse ont exposĂ© les premiers rĂ©sultats du repĂ©rage des sources d’archives entamĂ© par l’équipe toulousaine dans le cadre du programme HEnsA205. Parmi les lieux de conservation des sources figurent l’ENSA de Toulouse, l’IsdaT, les archives dĂ©partementales de la Haute-Garonne, les archives municipales de Toulouse, le musĂ©e municipal Paul-Dupuy, mais aussi les Archives nationales et les archives du Conseil rĂ©gional de l’ordre des architectes. Il faudrait probablement inclure les archives d’autres dĂ©partements de la rĂ©gion et diverses archives privĂ©es, car elles aideront Ă  suivre les trajectoires d’anciens Ă©lĂšves de l’école. La richesse potentielle de ces sources et les problĂšmes liĂ©s Ă  leur exploitation ont Ă©tĂ© prĂ©cisĂ©s. Ainsi, le musĂ©e Paul-Dupuy conserve-t-il des travaux d’anciens Ă©lĂšves pensionnaires de la Ville de Toulouse Ă  l’ENSBA, dont l’analyse permettrait de saisir la formation que recevaient ces Toulousains dans la capitale et le rendu qu’ils en faisaient Ă  leurs maĂźtres en province. Mais ces documents, en mauvais Ă©tat de conservation, ne sont malheureusement pas exploitables en l’état. En revanche, les dossiers disponibles aux archives dĂ©partementales de la Haute-Garonne semblent ouvrir deux pistes de recherche. La premiĂšre concerne le changement de perspective dans la pĂ©dagogie, qui a eu lieu Ă  la fin des annĂ©es 1960, et le rapport entre la pĂ©dagogie envisagĂ©e Ă  l’UPA et le bĂątiment construit Ă  la mĂȘme occasion pour la mettre en Ɠuvre fig. 1. De nombreuses sources permettent en effet de reconnaĂźtre les acteurs impliquĂ©s, sur le plan tant local que national, dans la construction de la nouvelle Ă©cole et tĂ©moignent de la bonne rĂ©ception du projet de Georges Candilis et Raymond Malebranche auprĂšs du service des Enseignements de l’architecture et des arts plastiques au ministĂšre des Affaires culturelles. La rapiditĂ© du programme d’exĂ©cution de la nouvelle Ă©cole semble tout particuliĂšrement rĂ©pondre aux attentes des reprĂ©sentants du ministĂšre, qui souhaitent par ce moyen apaiser les vives revendications des Ă©tudiants toulousains. La deuxiĂšme piste concerne les annĂ©es 1990, pĂ©riode durant laquelle se mettent en place des Ă©lĂ©ments qui configurent le paysage actuel de l’enseignement de l’architecture Ă  Toulouse, avec notamment le dĂ©veloppement des Ă©changes internationaux et le renforcement des rapports avec la profession dans un esprit d’ouverture de la pĂ©dagogie aux mĂ©tiers. Les fonds des archives municipales couvrent le temps oĂč l’enseignement de l’architecture Ă  Toulouse Ă©tait sous l’autoritĂ© municipale, c’est-Ă -dire des annĂ©es 1740 Ă  la rĂ©forme de 1968. Parmi les documents recensĂ©s, les catalogues de la bibliothĂšque de la classe d’architecture de l’École des beaux-arts et des sciences industrielles de la pĂ©riode 1900-1906 peuvent permettre de prĂ©ciser l’univers de rĂ©fĂ©rences culturelles et architecturales des professeurs et des Ă©lĂšves de l’école de Toulouse, que l’on pourra ensuite comparer aux Ă©tudes similaires dans d’autres Ă©coles, pour raisonner sur les savoirs partagĂ©s et les particularitĂ©s de chacune. Le dĂ©pouillement du Bulletin de l’Association des beaux-arts de Toulouse, paru de 1913 Ă  1922, apporterait un tĂ©moignage de la vie quotidienne des Ă©lĂšves et de leurs motivations, en particulier lors de la mobilisation du temps de la Grande Guerre, dont les retombĂ©es pĂ©dagogiques restent Ă  analyser. Enfin, une sĂ©rie de documents du cabinet du maire de Toulouse entre 1972 et 1976 renseigne sur les premiĂšres annĂ©es de vie de l’unitĂ© pĂ©dagogique d’architecture. L’histoire de l’enseignement du dessin Ă  l’École des beaux-arts de Toulouse a Ă©tĂ© Ă©voquĂ©e par Françoise BagnĂ©ris-Merlet historienne de l’art et enseignante dans cette Ă©cole de 1974 Ă  2012. Le dessin semble avoir structurĂ© la formation d’un public d’élĂšves trĂšs large qu’il s’agisse de futurs artistes, artisans ou ouvriers d’art. Ce partage d’une mĂ©thode et d’une pratique communes du dessin par divers corps de mĂ©tier semble ĂȘtre un caractĂšre saillant de l’école toulousaine et l’hypothĂšse est faite qu’il est Ă  l’origine d’une certaine unitĂ© que l’on peut observer dans la production artistique et architecturale locale au moins jusqu’au milieu du xxe siĂšcle. Se nourrissant de culture classique et de connaissances scientifiques, l’enseignement du dessin a Ă©voluĂ© au fil des ans. Des cours de nu Ă  partir de la pratique du modĂšle vivant et des cours de dessin d’aprĂšs l’estampe et le modĂšle gravĂ© sont instituĂ©s Ă  AcadĂ©mie royale de peinture, sculpture et architecture au milieu du xviiie siĂšcle, auxquels sont associĂ©s plus tard des relevĂ©s d’architecture antique et des Ă©tudes nĂ©cessaires pour la construction des ponts, des canaux et l’amĂ©nagement urbain et territorial Ă©cole du gĂ©nie. Ce double profil artistique et technique de l’enseignement du dessin est consolidĂ© Ă  l’École des beaux-arts et des sciences industrielles sous l’impulsion de diverses personnalitĂ©s, dont Urbain Vitry et Claude Gaspard Gaillard, qui publie en 1844 un traitĂ© de dessin linĂ©aire et ombrĂ©6. De mĂȘme que les Ă©changes entre artistes et architectes, l’enseignement du dessin sera encore renforcĂ© en dĂ©but du xxe siĂšcle avec l’avĂšnement des arts dĂ©coratifs et la rĂ©alisation de chantiers d’envergure, qui profitent aux artistes toulousains, comme le parc des sports 1931-1935 et la bibliothĂšque municipale 1932-1935, tous les deux de Jean Montariol 1892-1966. Fig. 2. Art mĂ©ridional, n° 43, mars 1939. Illustration signĂ©e Jean-Louis Gilet. BibliothĂšque d’étude et du patrimoine de Toulouse P3820. Dans le prolongement d’un travail de thĂšse en cours sur l’innovation technique dans la mise en Ɠuvre de la brique en Midi toulousain durant l’entre-deux-guerres, engagĂ© sous la direction d’Enrico Chapel et Françoise Blanc, Laura Girard a abordĂ© la question du rapport entre pratiques pĂ©dagogiques et affaires professionnelles Ă  travers la lecture de l’itinĂ©raire d’une figure majeure de la scĂšne toulousaine Jean-Louis Gilet 1902-1964, architecte, artiste, Ă©diteur, professeur et premier architecte directeur de l’École rĂ©gionale d’architecture. HĂ©ritier d’une dynastie d’architectes, Jean-Louis Gilet obtient son diplĂŽme en 1932 Ă  l’École des beaux-arts de Paris. Il dĂ©marre rapidement une carriĂšre de constructeur en s’associant Ă  son pĂšre, Joseph. En octobre 1937, il est nommĂ© professeur titulaire de la classe d’architecture de l’école des beaux-arts de Toulouse. Il s’engage trĂšs tĂŽt en faveur d’une culture mĂ©ridionale » et d’une esthĂ©tique rĂ©gionale ouverte au confort moderne et aux techniques nouvelles. En tĂ©moigne la revue Art mĂ©ridional qu’il crĂ©e en 1935, oĂč paraissent des articles sur les arts, l’archĂ©ologie, le patrimoine et les matĂ©riaux locaux, mais Ă©galement des analyses des problĂšmes constructifs, juridiques ou Ă©conomiques contemporains fig. 2. Par ailleurs, l’architecte milite pour la reconnaissance d’une Ă©cole rĂ©gionale d’architecture autonome, placĂ©e sous l’influence de maĂźtres d’Ɠuvre locaux. GrĂące Ă  ses initiatives, l’école rĂ©gionale de Toulouse est officieusement reconnue au deuxiĂšme semestre 1940 par l’école de Lyon, qui centralise Ă  cette Ă©poque l’administration des Ă©coles rĂ©gionales d’architecture et de quelques ateliers parisiens refugiĂ©s en zone non occupĂ©e. Sa crĂ©ation est ensuite officialisĂ©e le 6 fĂ©vrier 1941 par le conseil municipal de Toulouse et entĂ©rinĂ©e par le gouvernement de Vichy en 1942. Jean-Louis Gilet en est nommĂ© directeur au mois de fĂ©vrier et le restera jusqu’à sa dĂ©mission forcĂ©e lors de l’épuration administrative de 1944, Ă  la libĂ©ration de Toulouse. Puis, il est rĂ©habilitĂ© dans ses fonctions en 1952. Les perspectives de cette recherche pourront porter sur ce deuxiĂšme temps de la carriĂšre de Jean-Louis Gilet, sur l’étude du programme pĂ©dagogique de l’école rĂ©gionale d Toulouse, de son rapport avec le conseil rĂ©gional de l’ordre des architectes nouvellement créé aussi et des modalitĂ©s de recrutement des professeurs et des carriĂšres enseignantes. Fig. 3. Exercice de travaux pratiques des Ă©tudiants de l’UPA de Toulouse plan d’amĂ©nagement des laboratoires de la nouvelle Ă©cole 1970-1971, ADHG fonds ENSA de Toulouse versement 2013. Enfin, Jean-Henri Fabre enseignant Ă  l’école de Toulouse de 1969 Ă  2013 a prĂ©sentĂ© les diffĂ©rentes approches de l’enseignement de la construction, de l’École rĂ©gionale d’architecture Ă  l’UPA. Dans l’atelier de Jean-Louis Gilet, on dissuadait les Ă©lĂšves Ă  visiter les chantiers et le choix d’un parti de structure Ă©tait souvent arrĂȘtĂ© en raison de la performance graphique du rendu, dans la plus pure tradition beaux-arts. Un intĂ©rĂȘt renouvelĂ© pour l’association art et technique Ă©merge en revanche dans l’atelier C, l’atelier dissident créé en 1965 et placĂ© sous la direction d’architectes appartenant Ă  une nouvelle gĂ©nĂ©ration, tels que Jean-Marie LefĂšbvre 1933-2004, Pierre Debeaux 1925-2001, Paul Gardia 1920-1969 et Fabien Castaing 1922-2012. Lors de la crĂ©ation de l’UPA de Toulouse, les Ă©tudiants et les enseignants impliquĂ©s dans la construction de la nouvelle Ă©cole prĂ©voient un plateau technique » rĂ©unissant des laboratoires et des ateliers professionnels Ă©quipĂ©s de machines et d’instruments de mesure un laboratoire thermique et acoustique, un laboratoire d’essai pour le bĂ©ton armĂ©, un atelier bois et un atelier fer fig. 3. Les Ă©lĂšves devaient ainsi accĂ©der Ă  la connaissance des matĂ©riaux et de leurs performances. De nouveaux enseignants, techniciens et ingĂ©nieurs venant de l’Institut national des sciences appliquĂ©es INSA et de l’universitĂ© sont effectivement recrutĂ©s pour les encadrer. Le plateau technique est progressivement abandonnĂ©, mais ces expĂ©riences donneront naissance aux premiĂšres unitĂ©s de recherche de l’école. La seconde session de la matinĂ©e a rĂ©uni, autour du professeur Pierre Fernandez, trois anciens enseignants Michel LĂ©glise ayant exercĂ© de 1974 Ă  2005, GĂ©rard Ringon de 1976 Ă  2009 et GĂ©rard TinĂ© de 1973 Ă  2009 pour Ă©voquer le rĂŽle de la recherche et son inscription dans la pĂ©dagogie de l’école depuis les annĂ©es 1970. Leurs tĂ©moignages d’acteurs amorcent une campagne d’entretiens, menĂ©e dans le cadre d’un des volets du programme HEnsA20, qui vise Ă  recueillir les mĂ©moires vives et Ă  constituer des sources orales susceptibles de complĂ©ter les sources Ă©crites7. Comme au sein d’autres Ă©tablissements, l’introduction de la recherche Ă  Toulouse fait suite aux Ă©vĂ©nements de 1968 et vise Ă  mettre en question le modĂšle hĂ©gĂ©monique des beaux-arts. Des enseignements pluridisciplinaires ont Ă©tĂ© mis en place dĂšs les premiĂšres annĂ©es de l’UPA, Ă  travers des Groupes d’enseignement et de recherche GER associant enseignants, chercheurs et Ă©tudiants autour de problĂ©matiques communes8. Depuis, de l’institution des premiĂšres unitĂ©s de recherche habilitĂ©es par le Bureau de la recherche architecturale BRA en 1982 et 1984 Ă  la crĂ©ation du Laboratoire de recherche en architecture LRA en 2008, des champs de rĂ©flexion et des croisements divers avec les enseignements ont Ă©tĂ© expĂ©rimentĂ©s. Des tĂ©moignages apportĂ©s lors du sĂ©minaire ont Ă©mergĂ© plusieurs Ă©lĂ©ments permettant de caractĂ©riser d’ores et dĂ©jĂ  la recherche Ă  l’école de Toulouse la place faite Ă  l’analyse de la conception architecturale et de son enseignement, les liens Ă©tablis avec la profession et plus largement avec les questions de sociĂ©tĂ© et l’actualitĂ©, l’implication de la pĂ©dagogie dans le dĂ©veloppement des problĂ©matiques de la recherche et, enfin, l’ouverture Ă  l’apport des disciplines universitaires dites dures », telles que l’ingĂ©nierie, l’informatique, les sciences de l’environnement, la biologie, la physique, la climatologie. Pierre Fernandez a rappelĂ© que la recherche s’est initialement concentrĂ©e au sein de trois laboratoires habilitĂ©s au dĂ©but des annĂ©es 1980 Li2a Laboratoire d’informatique appliquĂ©e Ă  l’architecture, en 1982, LAB Laboratoire d’architecture bioclimatique, en 1984 et MAP ModĂ©lisation de l’architecture et du paysage. De nouvelles Ă©quipes se sont ensuite constituĂ©es autour de thĂ©matiques sur la ville, le patrimoine, l’archĂ©ologie et les pratiques professionnelles. La vocation essentielle d’une partie des recherches et publications visait le renouvellement de la pĂ©dagogie et notamment de l’enseignement de la conception, qui reposait alors exclusivement sur des approches dogmatiques et l’analyse de rĂ©fĂ©rences historiques. De façon rĂ©ciproque, ce sont parfois des pratiques pĂ©dagogiques qui ont donnĂ© naissance Ă  des problĂ©matiques de recherche et Ă  la constitution d’équipes. C’est le cas du LAB qui est issu d’un atelier de projet intitulĂ© Groupe hĂ©liothermique et habitat G2H, regroupant enseignants et Ă©tudiants autour des prĂ©occupations solaires et bioclimatiques suscitĂ©es par le premier choc pĂ©trolier survenu en 1973. C’est souvent autour d’une problĂ©matique transversale que des enseignants d’origines disciplinaires diffĂ©rentes se sont coordonnĂ©s pour proposer aux Ă©tudiants de s’engager dans des dĂ©marches de recherche et de thĂšses. Ainsi, de l’architecture solaire et bioclimatique Ă  la qualitĂ© environnementale puis au dĂ©veloppement urbain durable, le LAB – devenu en 1994 Groupe de recherche environnement et conception GRECO – a-t-il accompagnĂ© les Ă©volutions de l’établissement, en maintenant les aller/retour entre recherche et enseignement dans une dynamique de fertilisation croisĂ©e. Fondateur avec l’architecte Mario Perez du laboratoire Li2a, dont il a assurĂ© la direction jusqu’à sa retraite, Michel LĂ©glise en a retracĂ© l’aventure Ă  la fois personnelle et collective, basĂ©e sur la conviction de la nĂ©cessitĂ© d’une recherche crĂ©dible dans les Ă©coles d’architecture. Sa formation d’ingĂ©nieur et d’urbaniste et ses expĂ©riences de chercheur Ă  l’universitĂ© Paul-Sabatier et Ă  l’Office national d’études et recherches aĂ©rospatiales Onera puis d’enseignant Ă  l’École supĂ©rieure de l’aĂ©ronautique et de l’espace Sup’Aero ne sont probablement pas Ă©trangĂšres Ă  cette conviction. ConstituĂ© en lien avec les sciences de l’ingĂ©nieur, Li2a visait Ă  analyser l’implication de l’intelligence artificielle dans la conception architecturale et Ă  proposer des principes de structuration de logiciels d’aide Ă  la conception. Dans ce cadre, le laboratoire s’est fait une spĂ©cialitĂ© de faire profiter les Ă©tudiants en architecture des produits de ses recherches. Au fil des ans, le laboratoire s’est ouvert Ă  d’autres domaines psychologie cognitive, reprĂ©sentation des connaissances, sĂ©mantique du langage, philosophie pour interroger les processus de conception au sens large. En tĂ©moigne la recherche sur les pratiques d’agence et l’informatisation naissante des architectes menĂ©e au dĂ©but des annĂ©es 1990 auprĂšs de 700 agences d’architecture, afin d’analyser les effets induits par l’introduction de logiciels sur la conception, l’organisation du travail et son contrĂŽle. En ce qui concerne les liens avec la pĂ©dagogie, Ă  force d’observer des Ă©tudiants en train de concevoir, le laboratoire a fini par se spĂ©cialiser dans l’analyse de l’enseignement de la conception qui a ainsi Ă©mergĂ© comme vĂ©ritable objet d’études. GĂ©rard Ringon rappelle que dans le domaine des sciences humaines et sociales, outre l’étude des usages qui a donnĂ© lieu Ă  des nombreux Ă©crits, dĂ©bats et controverses, des interrogations se manifestent, dĂšs les annĂ©es 1970, Ă  propos de l’insertion professionnelle des jeunes diplĂŽmĂ©s. Depuis, cette prĂ©occupation s’est dĂ©veloppĂ©e et instituĂ©e dans des activitĂ©s pĂ©dagogiques et dans la recherche, grĂące Ă  un petit groupe d’enseignants qui s’est associĂ© en 2001 Ă  l’équipe de recherche Professions, architecture, ville, environnement PAVE de l’ENSAP de Bordeaux. Le contexte national Ă©tait propice Ă  ce dĂ©veloppement. L’ouvrage de Raymonde Moulin avait ouvert la rĂ©flexion sur les transformations des pratiques professionnelles9. Les jeunes diplĂŽmĂ©s issus des UPA arrivaient nombreux sur le marchĂ© du travail, du fait de la dĂ©mocratisation de l’accĂšs aux Ă©tudes. La diversification professionnelle Ă©tait perçue Ă  la fois comme une solution Ă  ce problĂšme et comme la rĂ©sultante de l’évolution de la figure de l’architecte longtemps restĂ©e confinĂ©e dans un statut, des rĂŽles et des reprĂ©sentations hĂ©ritĂ©s des beaux-arts. À l’école de Toulouse, des recherches furent menĂ©es pour Ă©clairer ces transformations dans le contexte local et pour accompagner l’émergence de nouvelles pratiques, comme le conseil, la programmation, l’assistance Ă  la maĂźtrise d’ouvrage, l’amĂ©nagement urbain ou le patrimoine. L’amorce d’un observatoire des processus d’insertion professionnelle devrait ouvrir sur des dĂ©marches comparatives avec d’autres Ă©coles. Fig. 4. Sculpture en structure aluminium. Centre des conducteurs de travaux Ă  LabĂšge P. Gardia et M. Zavagno arch., rĂ©alisĂ©e par les Ă©tudiants de l’Atelier supĂ©rieur de sculpture de l’école des beaux-arts de Toulouse A. Blanchard, Bouglon, Durancet et G. TinĂ©, 1968-1969. Photographie Bouglon. Enfin, GĂ©rard TinĂ© a Ă©voquĂ© le renouvellement de la pĂ©dagogie du projet Ă  travers le souvenir de deux Ă©pisodes auxquels il a participĂ©. Le premier concerne l’action commune, Ă  la rentrĂ©e 1967, des Ă©tudiants des beaux-arts et des Ă©tudiants de l’atelier C de l’école d’architecture. Contestant l’enseignement acadĂ©mique, ces Ă©tudiants revendiquent la mise en place d’un atelier collĂ©gial comprenant l’ensemble des patrons des ateliers supĂ©rieurs d’art et de l’atelier C, avec pour ambition d’adapter l’enseignement aux mutations de l’esthĂ©tique et des modes de production de l’art et de l’architecture. Au sein de cet atelier, Pierre Debeaux familiarise les Ă©tudiants avec la gĂ©omĂ©trie constructive des structures gĂ©odĂ©siques, tandis que Raymond Malebranche les documente sur le constructivisme en URSS et sur les structures auto-tendues. Cet atelier marque un moment important puisqu’il a permis aux Ă©tudiants de Toulouse d’approcher d’autres problĂ©matiques intellectuelles, perceptives et esthĂ©tiques de l’espace, ayant Ă  faire avec la technicitĂ© des matĂ©riaux industriels, la forme conçue non plus comme facteur d’expression d’une composition esthĂ©tique mais comme structure d’élĂ©ments et de relations en vue d’un dĂ©ploiement d’espaces, tout en posant l’environnement de la ville nouvelle Le Mirail n’est pas loin comme facteur contextuel dĂ©terminant de la conception architecturale fig. 4. Le second Ă©vĂ©nement date de 1981, lorsque Ă  l’occasion du dĂ©classement des casernes Compans-Caffarelli acquises par la ville de Toulouse, l’école dĂ©cide d’organiser un colloque sur Les pĂ©dagogies du projet10 ». Pour le prĂ©parer, elle adresse une invitation Ă  l’ensemble des UPA pour recueillir des propositions de projet pour l’amĂ©nagement de la parcelle des casernes. Ces propositions sont exposĂ©es pendant le colloque qui voit la participation, entre autres, de Françoise Choay, Jean-Pierre Epron, Bernard Huet et Bruno Queysanne. Cet Ă©vĂ©nement tĂ©moigne d’une Ă©volution certaine de l’enseignement du projet Ă  l’école de Toulouse, avec l’énonciation d’une position critique vis-Ă -vis des villes nouvelles, la prise en compte des formes urbaines et la dĂ©couverte de l’histoire dans un contexte de rĂ©ception de la postmodernitĂ©. Plusieurs questions nĂ©es de la lecture des sources d’archives et des thĂ©matiques investiguĂ©es ces derniers mois, prĂ©sentĂ©es par les contributeurs du sĂ©minaire, permettent d’orienter les futurs dĂ©veloppements du travail de l’équipe toulousaine. Parmi ceux-ci, rappelons l’inscription de la pĂ©dagogie dans le contexte local et les relations entretenues avec les milieux Ă©conomiques, politiques, artistiques et professionnels. Le suivi d’itinĂ©raires d’enseignants ayant marquĂ© la scĂšne toulousaine semble une piste fĂ©conde, qu’il faudra complĂ©ter en Ă©tablissant un inventaire des Ă©tudiants et des enseignants ayant frĂ©quentĂ© l’école de Toulouse. La dĂ©pendance de l’école de Toulouse de l’ENSBA et le rĂŽle jouĂ© par certaines familles d’architectes, comme les Lemaresquier Ă  Toulouse, ouvrent Ă©galement de perspectives de recherches intĂ©ressantes. Les documents d’archives permettent de prĂ©ciser la mise en Ɠuvre des rĂ©formes nationales Ă  Toulouse et de comparer l’organisation, le fonctionnement et le contenu des enseignements dĂ©livrĂ©s avec d’autres Ă©coles en France. Quant Ă  l’École des beaux-arts et des sciences industrielles et Ă  l’École rĂ©gionale d’architecture, restent non seulement Ă  explorer leur fonctionnement administratif et pĂ©dagogique gestion des locaux, recrutement et carriĂšres des enseignants, sĂ©lection des Ă©tudiants, mais aussi les changements de perspective survenus dans les annĂ©es 1960, qui se traduiront par la crĂ©ation de l’UPA et la construction de la nouvelle Ă©cole au Mirail, prĂ©figurant les rapprochements avec l’universitĂ© et la mise en place d’un tissu complexe de relations internationales11. L’écriture de l’histoire de la recherche autour des questions relatives Ă  l’architecture bioclimatique, l’intelligence artificielle et la conception, les modĂ©lisations, l’environnement, la ville, puis le dĂ©veloppement durable, le patrimoine et les pratiques professionnelles, est en chantier. Dans ce cadre, la rĂ©activation des mĂ©moires sur les pratiques des GER durant les annĂ©es 1970 semble particuliĂšrement utile. Cet Ă©noncĂ© n’est Ă©videmment pas exhaustif, il permet d’imaginer des perspectives d’études fructueuses. La mise en place d’un sĂ©minaire consacrĂ© aux lieux de pĂ©dagogies », destinĂ© aux Ă©tudiants de quatriĂšme annĂ©e de l’ENSA de Toulouse, devrait permettre d’élargir, notamment dans le cadre de futurs travaux de thĂšse, les diffĂ©rents questionnements qui surgissent, crĂ©ant une vĂ©ritable dynamique de recherche. Notes
LeMonde propose une sélection d'ateliers et de cours organisés par la rédaction du Monde. Se connecter . Découvrez les ateliers et les cours en ligne organisés par la rédaction du Monde ATELIER DU MOMENT. Atelier d'écriture avec Thomas Reverdy. Réserver. Tous les ateliers. 3 ateliers disponibles. Tous Catégories. Arts. Bande Dessinée . Ecriture. Ateliers. Cours du
À propos du cours Etudiante Ă  l'universitĂ©, je souhaiterais aider vos enfants, pour leurs devoirs en primaire, ou pour des cours de Français orthographe aussi et d'Anglais pour un niveau allant jusqu'au collĂšge inclus. Etant Ă  l'aise avec les enfants, j'essayerais de faire de cette aide une activitĂ© ludique, ou tout simplement ĂȘtre une aide Ă  la progression de vos enfants. Ayant dĂ©jĂ  quelques expĂ©riences, je peux aussi faire un travail de babysitting si vous le souhaitez. Je suis disponible le mercredi aprĂšs midi, le jeudi soir, le vendredi et les week-ends. À bientĂŽt ! Lucie matiĂšres Aide aux devoirs Français Sortie d'Ă©cole & Baby-sitting +2 À propos de LucieJe n'ai actuellement pas encore donnĂ© de cours, cependant mes expĂ©riences de babysitting peuvent ĂȘtre utile dans ce nouveau domaine.
Ily en a 26 disponibles pour Toulouse (31) sur Indeed.com, le plus grand site d'emploi mondial. Emplois : Cours De Soir, Toulouse (31) - février 2022 | vers Offres d'emploi , Rechercher
Photos Julien Roux. Les publics L'École est ouverte Ă  tous, Ă  tout Ăąge, dĂšs 4 ans Ă  ceux qui sont trĂšs occupĂ©s, Ă  ceux qui travaillent, Ă  ceux qui ont du temps libre, Ă  ceux qui Ă©tudient, ou Ă  ceux qui sont en formation professionnelle, Ă  ceux qui habitent le Beauvaisis ou plus loin. En effet, l'École propose des cours en journĂ©e ou en nocturne du lundi au samedi, offrant 70 heures d'ouverture sur la semaine. LettrĂ© ou illettrĂ©, sans condition d'Ă©tudes ou de diplĂŽme, douĂ© ou pas douĂ©, mais motivĂ© ou curieux, l'École d'Art du Beauvaisis donne Ă  tous l'opportunitĂ© d'apprendre et de pratiquer, de dĂ©velopper sa sensibilitĂ© et d'exercer son regard. Les propositions annuelles Esquisse, dessin d'observation, d'expression, modĂšle vivant, collage, crĂ©ativitĂ© techniques mixtes, terre, cĂ©ramique, tournage, volume, sculpture, photographie, textile, gravure, histoire de l'art, option Art – prĂ©paration aux Ă©tudes d'Art. Les propositions ponctuelles L'École d'Art du Beauvaisis organise des stages, des workshops, un cycle culturel, des sorties, des expositions... Les informations sont donnĂ©es dans la rubrique Ă©vĂ©nements. Cycle culturel Re-Naissance » 2021/2022 Les lieux, le matĂ©riel L'École s'Ă©tend sur 2000 m2, comportant 14 salles et espaces, sur 4 niveaux. Les ateliers techniques sont prĂ©dominants et Ă©quipĂ©s d'un matĂ©riel professionnel adĂ©quat et consĂ©quent. Les 500m2 dĂ©diĂ©s Ă  la terre et Ă  la cĂ©ramique permettent, Ă  la fois de pratiquer le modelage, le tournage, l'Ă©maillage et la cuisson. Les ateliers sculpture offrent l'opportunitĂ© de toucher Ă  la soudure, Ă  la taille de pierre, au modelage, au moulage et Ă  l'installation... En photographie, on peut aborder la photographie argentique dans un laboratoire dĂ©diĂ© au noir et blanc, ainsi que la recherche en photographie numĂ©rique assistĂ©e par un parc d'ordinateurs. En gravure, trois presses et une salle aux acides offrent la possibilitĂ© d'expĂ©rimenter de nombreuses techniques. D'autres salles sont amĂ©nagĂ©es pour le textile, le modĂšle vivant et pour la pratique picturale des enfants. Une salle de documentation Ouverte aux publics de l'École d'Art et aux visiteurs extĂ©rieurs, pour une consultation sur place, cet espace d'information artistique et culturelle propose 2300 ouvrages et une douzaine d'abonnements spĂ©cialisĂ©s. Une information rĂ©guliĂšrement mise Ă  jour sur les formations artistiques et leurs dĂ©bouchĂ©s est un atout supplĂ©mentaire. La salle de documentation, ouverte en journĂ©e et Ă©galement en soirĂ©e, est accessible pour les recherches personnelles pendant les cours. Les enseignants Dominique Boudard dessin Fabienne Bideaud histoire de l'Art Audrey Boston illustration, dessin, peinture ValĂ©rie Colombel expression dessin / crĂ©ativitĂ© et arts plastiques Fantin Roussel Dassonville assistant terre cĂ©ramique Julie Legrand sculpture Xavier Drong peinture / couleur Sophie Goullieux photographie StĂ©phanie Mansy dessin, couleur, peinture / gravure Intervenants extĂ©rieurs fil/textile/matĂ©riaux souples Fabien Savary sculpture modĂšle vivant HĂ©lĂšne Neraud cĂ©ramique Marine Drouard communication infographie Claudio Locattelli dessin, croquis modĂšle vivant Inscriptions 2022/2023 Inscriptions en ligne A partir du 18 juin 2022 en se connectant sur - puis cliquer sur l'onglet "PrĂ©-Inscription" et indiquer le site "Ecole Beaux-Arts" Pour celles/ceux qui n'ont pas internet prendre rendez-vous avec le secrĂ©tariat au 03 44 15 66 80. Fin des inscriptions le lundi 18 juillet 2022. Reprise des inscriptions lundi 29 aoĂ»t 2022. SĂ©ance d'essai gratuite dans les ateliers incomplets 1 sĂ©ance dans 2 ateliers diffĂ©rents uniquement Ă  rĂ©server par tĂ©lĂ©phone auprĂšs du secrĂ©tariat. RentrĂ©e A partir du lundi 12 septembre 2022. En fonction des places disponibles, des inscriptions seront possibles durant l'annĂ©e tarif rĂ©duit au 01/01/2023. Plus de renseignements - brochure Cours et ateliers, Pour toute information Vos questions eab TĂ©lĂ©charger nos tarifs PiĂšces Ă  fournir - un formulaire d'inscription adulte plus de 18 ans ou un formulaire adolescent/enfant rempli par le responsable lĂ©gal de l'Ă©lĂšve - un moyen de paiement par carte bancaire, chĂšque bancaire ou postal Ă  l'ordre de l'Ecole d'Art du Beauvaisis, espĂšces, chĂšques vacances, tickets temps libre du CCAS de Beauvais. - une attestation d'assurance responsabilitĂ© civile 2022/2023» − pour les habitants de la CommunautĂ© d'AgglomĂ©ration du Beauvaisis, un justificatif de domicile, de moins de trois mois loyer, quittance d'eau, EDF, GDF, tĂ©lĂ©phone − pour les minima sociaux une attestation de moins de 3 mois − pour les 18/25 ans, une carte d'identitĂ© Formulaires Ă  tĂ©lĂ©charger -inscription cours et ateliers/enfants /adolescents -inscription cours et ateliers/adultes Formulaires stages Ă  tĂ©lĂ©charger inscription stage enfants/adolescents inscription stage adulte
cassevoiture ancienne ile de france; henry croft house haunted. marie antoinette streaming ita. centre dépression lyon; mouratoglou academy tarifs; cigarette vogue pastel. tuto protÚge carnet de santé pdf; coloriage dessins animés pdf; oeuvres eva jospin; domaine de puybeton. helice bateau bronze occasion; sms pour taquiner un homme; chiot
L’ATELIER est un lieu calme et propice Ă  LA Ă©lĂšves se retrouvent en petits groupes de façon rĂ©guliĂšre Ă  un rythme hebdomadaire et parfois en les murs, on voit les Ɠuvres en cours qui Ă©voluent d’une semaine Ă  l’ ET PÉDAGOGIEL’atelier est un lieu d’ travers une PROGRESSION respectueuse du rythme de chacun, les Ă©lĂšves aborderont plusieurs thĂšmes et DIFFÉRENTES TECHNIQUES Fusain, Pastel, Crayon, Encre, Aquarelle, Gouache, Terre, Acrylique, et surtout, peinture Ă  l’ fil de cours structurĂ©s, ils apprendront Ă  voir autrement en se dĂ©barrassant le plus possible des jugements de Ă  sa formation MĂ©thode Martenot et son expĂ©rience de peintre, Catherine FourniĂ© souhaite amener chacun Ă  PRENDRE CONSCIENCE de ses propres possibilitĂ©s ; ainsi tout en progressant dans l’apprentissage technique, les Ă©lĂšves TROUVENT LEUR STYLE pour peindre et dessiner avec PLAISIR ET LIBERTÉ.
StreamingNews SHOWTIME(R) SPORTS DOCUMENTARY FILMS ANNONCE STAND, UN EXAMEN DU PARCOURS EXTRAORDINAIRE D’UN MILITANT PIONNIER ET DU BASKET-BALL PRODIGY MAHMOUD ABDUL-RAUF À venir en 2023, le dernier film documentaire de SHOWTIME prĂ©sente Stephen Curry, Shaquille O’Neal, Mahershala Ali, Ice

PrĂ©sentation Histoire de l’Art et Analyse esthĂ©tique Les cours d’Histoire de l’Art et d’Analyse esthĂ©tique sont avant tout conçus comme des outils de rĂ©flexion permettant aux Ă©tudiants d’inscrire leur propre dĂ©marche artistique Ă  la fois dans l’histoire et l’actualitĂ©. A travers l’observation et l’analyse d’Ɠuvres anciennes et contemporaines, ils interrogent l’histoire afin de mieux cerner les rĂ©flexions plastiques actuelles. Partant de la PrĂ©histoire jusqu’à l’Art contemporain, ces cours abordent des thĂ©matiques fondamentales dans la construction de l’art le corps, l’objet, la nature morte, le temps et l’espace
 et sont dĂ©veloppĂ©s de maniĂšre Ă  constituer un rĂ©pertoire formel dans lequel les influences se croisent. Chaque annĂ©e est consacrĂ©e Ă  un thĂšme particulier, permettant de s’intĂ©resser Ă  toutes les pratiques artistiques peinture, sculpture, gravure, bande dessinĂ©e, photographie, vidĂ©o, performance
. Histoire de l’art – dĂ©butant Le cours d’Histoire de l’Art – dĂ©butant se concentre sur l’art, son histoire et sa philosophie de la PrĂ©histoire Ă  la Renaissance. Suivant les annĂ©es et les thĂ©matiques, il peut s’axer soit sur une pĂ©riode particuliĂšre, soit sur l’histoire d’un genre, d’une reprĂ©sentation, d’une technique. Ayant pour objectif d’initier les Ă©tudiants Ă  l’analyse d’Ɠuvres, il s’attache Ă  la fois Ă  la dimension plastique mais aussi philosophique, littĂ©raire, sociĂ©tale de l’art et de son Ă©volution. Histoire de l’art – avancĂ© Poursuivant le travail initiĂ© durant le cours d’Histoire de l’art – dĂ©butant, ce cours se concentre principalement sur la pĂ©riode incluant l’art moderne et l’art contemporain. Suivant les annĂ©es et les thĂ©matiques, il peut Ă  nouveau s’axer sur un mouvement particulier ou sur l’histoire d’un genre, d’une reprĂ©sentation, d’une technique. Poussant davantage l’analyse, il aborde notamment les grands changements ayant menĂ© aux questionnements artistiques et philosophiques actuels. Analyse esthĂ©tique En regard du cours d’Histoire de l’art, le cours d’Analyse esthĂ©tique porte sur la lecture de l’image et sa comprĂ©hension. Abordant la sĂ©miologie et l’iconographie, il passe en revue les diffĂ©rents codes de l’image, la maniĂšre dont elle se lit et les symboliques qui la construisent. Ce cours se concentre sur une thĂ©matique Ă  la fois particuliĂšre et complĂ©mentaire au cours d’Histoire de l’art. Professeur Ana Garcia Rubio Contact

Desprojets, des initiatives, tous azimuts! On vous emmĂšne faire un tour d’horizon : un festival de la Typographie sur le campus de Toulouse ; des dĂ©filĂ©s de mode Ă  Nice et Lyon ; un journal de rĂ©fĂ©rence en Illustration portĂ© par le campus de Paris ; le showreel des productions en cinĂ©ma d’animation de Marseille, Nancy et Lyon ; nos expositions « Manifeste pour incuber

Des cours de spĂ©cialitĂ©.. Consultez sur la chaine YouTube de l'Ecole du Louvre diffĂ©rentes prĂ©sentations de cours de spĂ©cialitĂ©, leurs enseignants et enseignantes, leurs programmes et leurs axes de recheche. Ecole du Louvre sur youTubelire la suite... Initiation Ă  l'histoire mondiale de l'architecture Du 7 septembre 2022 au 28 juin 2023, en prĂ©sentiel ou en distanciel et en replay. Inscriptions Ă  partir du 7 juin 2022 NĂ© d'un partenariat inĂ©dit entre l'École du Louvre et la CitĂ© de l'architecture et du patrimoine ce programme unique de 37 leçons propose un voyage Ă  travers le temps et l'espace, pour dĂ©couvrir, apprivoiser et comprendre comment l'humanitĂ© a trouvĂ© des solutions architecturales aux Ă©volutions des sociĂ©tĂ©s, avec mille nuances d'audace, d'ambition et d'imagination. Un parcours de dĂ©couvertes avec les meilleurs spĂ©cialistes, architectes, conservateurs, universitaires, historiens, historiens de l'art, historiens de l’architecture et chercheurs... Ce cycle de cours proposĂ© par la CitĂ© de l'architecture et du patrimoine et l'Ecole du Louvre permet de conjuguer les compĂ©tences des deux institutions afin d’offir une initiation riche et plurielle, au patrimoine architectural universel, il ne suppose aucune connaissance prĂ©alable, et s'adresse Ă  toutes et tous, nĂ©ophytes, curieux et amateurs. Plus d'informationslire la suite... Nouveau diplĂŽme de Post-Master L’École du Louvre met en place, Ă  la rentrĂ©e 2022, une formation prĂ©-doctorale diplĂŽmante. Cette formation, d’une durĂ©e d’une annĂ©e acadĂ©mique, dĂ©livrera un DiplĂŽme d’Établissement le diplĂŽme de Post-master recherche en histoire de l’art et archĂ©ologie, musĂ©ologie ». Elle s’adresse aux titulaires d’un Master 2 obtenu Ă  l’École du Louvre toutes spĂ©cialitĂ©s ou d’un Master 2 en histoire de l’art, archĂ©ologie ou musĂ©ologie des universitĂ©s qui envisagent de poursuivre une thĂšse, en troisiĂšme cycle Ă  l’Ecole du Louvre ou en doctorat en co-encadrement avec une des 22 universitĂ©s partenaires de l’établissement. En savoir +lire la suite... RentrĂ©es des Ă©lĂšves Premier cycle JournĂ©e de rentrĂ©e accueil des primo-arrivants vendredi 9 septembre 2022, 9h00, amphithéùtre Rohan. PremiĂšre annĂ©e sĂ©ance de rentrĂ©e jeudi 9 septembre 2022, 9h00, amphithéùtre Rohan. DĂ©but des cours lundi 12 septembre 2022, 8h30, amphithéùtre Rohan. DeuxiĂšme annĂ©e sĂ©ance de rentrĂ©e lundi 12 septembre 2022, 14h00, amphithéùtre Rohan. DĂ©but des cours mardi 13 septembre 2022, 9h00, amphithéùtre Rohan. TroisiĂšme annĂ©e sĂ©ance de rentrĂ©e lundi 12 septembre 2022, 16h00, amphithéùtre Rohan. DĂ©but des cours mardi 13 septembre, 14h45, amphithéùtre Rohan. DeuxiĂšme cycle PremiĂšre annĂ©e-M1 sĂ©ance de rentrĂ©e lundi 5 septembre, 8h30, amphithéùtre Rohan. DĂ©but des cours lunid 5 septembre 2022, 14h00, amphithéùtre Michel-Ange. DeuxiĂšme annĂ©e-M2 sĂ©ance de rentrĂ©e mardi 6 septembre, 10h00, amphithéùtre Rohan. DĂ©but des cours vendredi 9 septembre 2022, 14h00, amphithéùtre Michel-Ange. Post-Master et troisiĂšme cycle SĂ©ance de rentrĂ©e jeudi 3 novembre 2022, 17h00, amphithéùtre Goya. DĂ©but des sĂ©minaires Ă  prĂ©ciser. Classe prĂ©paratoire aux concours de conservateur SĂ©ance de rentrĂ©e lundi 12 septembre 2022, 9h00, amphithéùtre Goya. DĂ©but des cours lundi 12 septembre 2022, 10h00, amphithéùtre Goya. lire la suite... RentrĂ©es des auditeurs Auditeurs, cours d'histoire de l'art et des civilisations Histoire gĂ©nĂ©rale de l'art en journĂ©e PremiĂšre annĂ©e, Histoire gĂ©nĂ©rale de l'art sĂ©ance de rentrĂ©e Mardi 13 septembre 2022, 12h45 amphithéùtre Rohan. DeuxiĂšme annĂ©e, Histoire gĂ©nĂ©rale de l'art sĂ©ance de rentrĂ©e Vendredi 23 septembre 2022, 9h00 amphithéùtre Rohan. TroisiĂšme annĂ©e, Histoire gĂ©nĂ©rale de l'art sĂ©ance de rentrĂ©e Lundi 12 septembre 2022, 10h30 amphithéùtre Rohan. Histoire gĂ©nĂ©rale de l'art en soirĂ©e PremiĂšre annĂ©e, Histoire gĂ©nĂ©rale de l'art bis sĂ©ance de rentrĂ©e Lundi 5 septembre 2022, 20h00 amphithéùtre Rohan. Histoire des civilisations en soirĂ©e Histoire des sociĂ©tĂ©s occidentales De l’époque classique aux Barbares sĂ©ance de rentrĂ©e jeudi 8 septembre 2022, 20h00 amphithéùtre Rohan. Cours de spĂ©cialitĂ© en journĂ©e 31 disciplines voir programme Cours d'iconographie, d'Ă©pigraphie, d'hĂ©raldique et de numismatique en journĂ©e 10 domaines voir programme Travaux dirigĂ©s devant les oeuvres en journĂ©e 84 cycles voir programme Auditeurs, cours d'initiation Ă  l'histoire de l'art Initiation Ă  l'histoire gĂ©nĂ©rale de l'art sĂ©ances de rentrĂ©es Mardi 6 septembre 2022, 18h30 amphithéùtre Rohan. Mardi 6 septembre 2022, 20h15 amphithéùtre Rohan. Mercredi 7 septembre 2022, 20h15 amphithéùtre Rohan. Jeudi 8 septembre 2022, 18h15 amphithéùtre Rohan. Initiation aux techniques de crĂ©ation et principes de restauration des oeuvres sĂ©ance de rentrĂ©e Lundi 5 septembre 2022, 18h15 amphithéùtre Rohan. Vos reprĂ©sentants des auditeurs au Conseil d'administration Monsieur Thomas Monbatut titulaire Monsieur Dominique Porquet supplĂ©ant [email protected] lire la suite... Les musĂ©es d'histoire, enjeu culturel L'École du Louvre accueille le mardi 6 septembre 2022, une journĂ©e internationale d'Ă©tude intitulĂ©e "Les MusĂ©es d'histoire, un enjeu culturel" qu'elle organise avec l'Institut national du patrimoine INP, l'UniversitĂ© du QuĂ©bec Ă  MontrĂ©al UQAM et l'UniversitĂ© de la Sapienza de Rome. Au point de dĂ©part de la thĂ©matique les MusĂ©es d'histoire, un enjeu culturel, choisie pour cette JournĂ©e internationale, la crĂ©ation du MusĂ©e-mĂ©morial du terrorisme dont l’ouverture est prĂ©vue Ă  l’horizon 2027, Ă  Suresnes sur la colline du Mt ValĂ©rien. Cette crĂ©ation rejoint le florilĂšge d’expositions et musĂ©es mĂ©moriels qui, aujourd’hui, partout dans le monde, questionnent l’histoire du temps prĂ©sent et sa patrimonialisation. Ces formes musĂ©ales variĂ©es s’intĂ©ressent aussi bien aux minoritĂ©s, aux migrations, aux crises Ă©pidĂ©miques, aux droits de la personne, au fĂ©minicide, aux conflits mĂ©moriels, Ă  la communautĂ© LGBT, au durable... et au terrorisme, en tant que marqueurs des sociĂ©tĂ©s contemporaines. TĂ©lĂ©charger le programmelire la suite... Colloque Inventaires et cartographies du patrimoine Depuis 2014, le programme de recherche Collecta interroge les pratiques Ă©rudites du Grand SiĂšcle et les met en perspective Ă  partir de l’exemple de la collection de François-Roger de GaigniĂšres 1642-1715. Sa reconstitution et sa mise en ligne ont requis la crĂ©ation d’un outil numĂ©rique qui tente de rendre compte des liens et des cheminements qui se trament, au sein de la collection .Ă  travers les stades du travail de l’érudit – des sources, notes et brouillons aux dessins mis au net et classĂ©s pour la prĂ©sentation au public ; .Ă  travers les matĂ©riaux rĂ©unis par l’érudit – tableaux et gravures, manuscrits et imprimĂ©s, dessins et copies d’archives ; .Ă  travers les points d’entrĂ©e retenus par l’érudit – personnes, familles, institutions, lieux, pĂ©riodes. Se dessinent ainsi les itinĂ©raires mentaux, documentaires, mais aussi spatiaux de l’érudit Ă  travers ses sources, son rĂ©seau de contacts, les lieux qu’il visite, ses centres d’intĂ©rĂȘt et les mĂ©thodes qu’il dĂ©ploie dans son objectif d’inventaire des monuments et des familles du royaume et de l’Europe. Colloque Inventaires et cartographies du patrimoine 15-16 septembre 2022 > Ecole du Louvre Amphithéùtre Michel Ange. TĂ©lĂ©charger le programmelire la suite... Les Cahiers de l'Ecole du Louvre Les dix-huitiĂšmes Cahiers de l’École du Louvre sont en ligne et prĂ©sentent sept articles sur le thĂšme Parcs et jardins historiques, un patrimoine paysager ». Ils permettent de partager des apports significatifs Ă  l’histoire de l’architecture, concernant notamment les jardins des hĂŽtels particuliers du VIIe arrondissement de Paris, et les dispositifs paysagers des chĂąteaux de plaisance construits Ă  proximitĂ© de la Seine aux XVIIe et XVIIIe siĂšcles. Les Cahiers de l'École du Louvre publient des articles sur les domaines d'enseignement et de recherche de l'École, en histoire de l'art, archĂ©ologie, musĂ©ologie, histoire des sociĂ©tĂ©s et anthropologie, sur toutes pĂ©riodes et aires culturelles et gĂ©ographiques. Consultez le numĂ©rolire la suite... Atelier de troisiĂšme cycle avec le musĂ©e du Louvre L’École du Louvre et le musĂ©e du Louvre Centre Dominique Vivant Denon s’associent pour la 7e annĂ©e consĂ©cutive pour organiser, durant l’annĂ©e universitaire 2022-2023, un atelier de troisiĂšme cycle qui prendra la forme d’un sĂ©minaire doctoral, sur le thĂšme Le musĂ©e et le sacrĂ© ». SĂ©minaire ouvert aux Ă©tudiants de troisiĂšme cycle d’histoire de l’art et de musĂ©ologie inscrits Ă  l’École du Louvre ou dans un de ses Ă©tablissements partenaires. Nouvelle date limite de candidature 25 septembre 2022 En savoir pluslire la suite... Patrimoines !! SĂ©minaire doctoral Patrimoines !! » Ecole du Louvre. 7 octobre 2002. Amphitthéùtre DĂŒrer. OrganisĂ© par l’École du Louvre, l’Ecole universitaire de Recherche HumanitĂ©s-CrĂ©ation-Patrimoine et la Fondation des sciences du patrimoine ThĂšmes .La recherche doctorale sur le patrimoine .Patrimoine naturel et culturel dynamiques de patrimonialisation .Naturalia trois cas d’espĂšces .Corpus, inventaires, relevĂ©s .Pratiques actuelles de conservation-restauration quelques Ă©tudes de cas .Restitutions AccĂšs gratuit dans la limite des places disponibles. Inscription obligatoire avant le 27 septembre 2022 [email protected] Programme lire la suite...

HistoireHistoire de l'art et Archéologie Psychologie Sciences de l'Education et de la Formation Sciences du Langage Autres disciplines Institut Pluridisciplinaire pour les Etudes sur les
L’école se structure autour d’un enseignement classique et trĂšs structurĂ© des techniques picturales, permettant Ă  l’élĂšve, dans un second temps, de dĂ©velopper une pratique personnelle crĂ©ative. Le lieu est un espace d’échanges oĂč se cĂŽtoient amateurs et professionnels bibliothĂšque, espace de lecture, deux ateliers d’art
 offrent aux Ă©lĂšves et intervenants un environnement collaboratif d’un point de vue matĂ©riel ou intellectuel. Jean-Philippe Escafre Les profs de l'atelier Jin Bo NĂ© en 1978 Ă  Huhehaote, Mongolie IntĂ©rieure - Chine. 2001, MaĂźtrise, Institut des Beaux-arts de Tianjin - Tianjin, Chine. 2004, Formation en Histoire de l'Art, UniversitĂ© Blaise Pascal - Clermont-Ferrand, France. 2006, MaĂźtrise en Arts Plastiques, UniversitĂ© Mirail - Toulouse, France. Il vit et travaille en France et en Chine. Brice Devos Brice a obtenu son DNSEP option communication avec fĂ©licitations du jury aux Beaux-Arts de Toulouse en 2001. Il s'est ensuite associĂ© Ă  un autre diplĂŽmĂ© des Beaux-Arts pour montĂ© le studio de graphisme Sciapode, qu'il gĂšre en solo depuis 2009. Il s'occupe du graphisme et de la communication de diffĂ©rentes entreprises et structures culturelles, dont l'Orchestre de Chambre de Toulouse et le Festival ManifestO oĂč il fait Ă©galement parti de l'organisation. Sa pratique du dessin de modĂšle vivant a dĂ©butĂ© aux Beaux-Arts puis s'est poursuivie Ă  l'Imagerie depuis une dizaine d'annĂ©e, sous l'enseignement de J-P. Escafre. Jean-Louis Engels NĂ© en Belgique en 1959. AprĂšs des Ă©tudes en Sciences Ă  l’UniversitĂ© de Bruxelles, il se consacre Ă  sa passion, la peinture, et intĂšgre l’Ecole des Arts Plastiques et Visuels d’Uccle Bruxelles dont il est diplĂŽmĂ©. En 1991, il quitte Bruxelles pour s’installer Ă  Toulouse et crĂ©e son Ă©cole d’art Biz’ Art oĂč il enseigne jusqu’à aujourd’hui. DĂ©veloppant une peinture du rĂ©el inspirĂ©e d’une tradition gestuelle prĂ©-moderne Hals, Manet, ses thĂšmes rĂ©cents concernent essentiellement la figure et le portrait. Jean-Philippe Escafre Jean-Philippe Escafre est nĂ© Ă  Lourdes le 1er mai 1978. Il vit et travaille Ă  Toulouse. De 1996 Ă  2007, il Ă©tudie les arts plastiques Ă  l’universitĂ© du Mirail , oĂč il passera sa thĂšse en 2007. Il se forme aux techniques de la peinture dans l’atelier de Jean-Louis Engels. Il enseigne aujourd’hui la peinture et le dessin Ă  L'imagerie depuis 2007. Sa pratique artistique s’articule autour de la figure du corps et de la chair. Peinture, dessin, gravure sont autant de mĂ©diums possibles pour interroger la figure humaine comme sujet mais surtout espace pictural. NoĂ©mie Mangin Judith Steenkamer Judith Steenkamer est nĂ©e en 1980 aux Pays-Bas. Elle habite dĂ©sormais Toulouse depuis un peu plus de 5 ans. AprĂšs ses Ă©tudes de philosophie, elle est devenue peintre, spĂ©cialisĂ©e dans la peinture de portrait. Les oeuvres de Judith circulent autour du thĂšme de la figure humaine entre portrait et corps d'aprĂšs les mĂ©thodes de peintures acadĂ©miques hollandaises.
EncomplĂ©ment des lignes A et B du mĂ©tro et des lignes T1 et T2 du tram, les lignes LinĂ©o L1, L2, L3, L4, L5, L6, L7, L8 et L9, six lignes de bus (18, 39, 44, 78, 79, 106) et les TAD 119 et 120, assurent vos dĂ©placements depuis le Cours Dillon, Marengo-SNCF, Balma-Gramont, Ramonville (mĂ©tro) ou AĂ©roconstellation.Ces lignes sont accessibles aux personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite. Cette licence est tournĂ©e vers l’étude thĂ©orique et historique des Ɠuvres. Elle permettra une spĂ©cialisation dans le secteur des musĂ©es et du patrimoine. À condition de construire son parcours dĂšs la licence. Quel accĂšs ?En L1 admission via la procĂ©dure Parcoursup les bacheliers gĂ©nĂ©raux sont L2 ou L3 admission sur dossier les Ă©tudiants ayant dĂ©jĂ  effectuĂ© 2 annĂ©es d’études supĂ©rieures, notamment une classe prĂ©pa attendusPour chaque mention de licence, une liste des connaissances et des compĂ©tences nĂ©cessaires pour rĂ©ussir dans la filiĂšre a Ă©tĂ© Ă©tablie, ce sont les permettent au futur Ă©tudiant de connaĂźtre le contenu et les exigences de la formation afin de formuler des vƓux Ă©clairĂ©s sur Parcoursup, la plateforme d’admission dans l’enseignement connaĂźtre les attendus de cette mention Fiche formation licence histoire de l'art et programmeCette licence aborde tous les arts peinture, sculpture, architecture, gravure
 sous tous les angles historique, esthĂ©tique, sociologique, culturel et sur toutes les pĂ©riodes ancienne, mĂ©diĂ©vale, moderne et contemporaine. Les Ă©tudiants apprennent ainsi Ă  analyser une Ɠuvre en s’intĂ©ressant Ă  ses qualitĂ©s esthĂ©tiques et en la situant dans son contexte historique. Elle aborde l’archĂ©ologie, permettant l’étude des civilisations Ă  partir de leurs cultures matĂ©rielles habitats, Ă©difices publics, religieux, etc.. Travaux pratiques, stages, fouilles, visites de musĂ©es et expositions viennent complĂ©ter ces enseignements parcours de spĂ©cialisation sont proposĂ©s en L3 Ă  choisir en fonction de son projet professionnel. Ils permettent de s’orienter vers l’archĂ©ologie, l’animation du patrimoine, la musĂ©ologie, le marchĂ© de l’art ou de se prĂ©parer aux concours d’entrĂ©e des Ă©coles du patrimoine École du Louvre, INP. Certaines universitĂ©s proposent des doubles cursus associant l’histoire de l’art au droit, notamment en vue de se former au mĂ©tier de commissaire-priseur aprĂšs ?Avec une L2 validĂ©e, possibilitĂ© de continuer en licence professionnelle accĂšs sur dossier et entretien. Les licences professionnelles pour les Ă©tudiants en histoire de l’art et archĂ©ologie dĂ©bouchent notamment sur les mĂ©tiers de l’animation du patrimoine licence pro guide-confĂ©rencier, licence pro protection et valorisation du patrimoine historique et culturel, licence pro gestion de projets et structures artistiques et une licence validĂ©e L3, le diplĂŽmĂ© peut prĂ©parer les concours de la fonction publique bibliothĂ©caire, assistant de conservation du patrimoine, chargĂ© d'Ă©tudes documentaires, secrĂ©taire de mairie, peut poursuivre ses Ă©tudes en master 2 ans en fonction de son projet. De nombreux masters forment aux mĂ©tiers liĂ©s au patrimoine et Ă  la culture antiquaire, archĂ©ologue, chef de projets culturels, animateur du patrimoine, directeur de musĂ©e, galeriste, guide-confĂ©rencier, entre autres. Il existe des masters orientĂ©s vers la recherche en histoire de l’art ou en archĂ©ologie permettant de poursuivre en doctorat 3 ans et de devenir enseignant-chercheur les postes sont rares.Le diplĂŽmĂ© peut aussi rejoindre une Ă©cole publique spĂ©cialisĂ©e dans la culture et le patrimoine INP, École du Louvre ou bien une Ă©cole privĂ©e spĂ©cialisĂ©e dans le marchĂ© de l’art IESA, ICART, EAC. AccĂšs sur XeMNarb.
  • r368reqqd1.pages.dev/973
  • r368reqqd1.pages.dev/860
  • r368reqqd1.pages.dev/150
  • r368reqqd1.pages.dev/423
  • r368reqqd1.pages.dev/426
  • r368reqqd1.pages.dev/200
  • r368reqqd1.pages.dev/387
  • r368reqqd1.pages.dev/641
  • r368reqqd1.pages.dev/521
  • r368reqqd1.pages.dev/887
  • r368reqqd1.pages.dev/804
  • r368reqqd1.pages.dev/29
  • r368reqqd1.pages.dev/635
  • r368reqqd1.pages.dev/10
  • r368reqqd1.pages.dev/698
  • cours du soir histoire de l art toulouse