belhommage pour un petit ange parti trop tôt ! louann : Ajouter un Commentaire. Vous devez etre identifié pour pouvoir poster un message Veuillez vous identifier en utilisant le formulaire ci-dessous, ou en creant un compte: S'identifier; Login : Password : Apparaitre dans la liste des connectés : Mot de passe perdu ? S'identifier. Login: Password: Etre visible : Mot de passe

Reads 3Votes 0Parts 1RomainLedoultOngoing, First published Mar 05, 2016All Rights ReservedTable of contentsLast updated Mar 05, 2016Pour un Ange parti trop tôtGet notified when Pour un Ange parti trop tôt is updated OR If you already have an account, By continuing, you agree to Wattpad's Terms of Service and Privacy un Ange parti trop tôtContent GuidelinesReport this storyYou may also like 3 parts Complete *Wattys 2018 Winner / Hidden Gems* CREATE YOUR OWN MR. RIGHT Weeks before Valentine's, seventeen... 85 parts Complete He was so close, his breath hit my lips. His eyes darted from my eyes to my lips. I stared intently... 101 parts Complete ✅ "We always long for the forbidden things." 𝐝𝐲𝐬𝐭𝐨𝐩𝐢𝐚𝐧 𝐧𝐨𝐯𝐞𝐥 ... 67 parts Complete Henley agrees to pretend to date millionaire Bennett Calloway for a fee, falling in love as she won...Paid Stories Badge 199 parts Complete In the future, everyone who's bitten by a zombie turns into one... until Diane doesn't. Seven days... 68 parts Complete Highest rank 1 in Teen-Fiction and sci-fi romance, 1 mindreader, 2 humor Aaron's special power... 49 parts Complete [BOOK ONE] [Completed] [Voted 1 Best Action Story in the 2019 Fiction Awards] Liam Luciano is one... 17 parts Complete ~ AVAILABLE ON AMAZON ~ She hated riding the subway. It was... 100 parts Complete [COMPLETE][EDITING] Ace Hernandez, the Mafia King, known as the Devil. Sofia Diaz, known as an ang... 57 parts Complete ⭐️ ᴛʜᴇ ᴍᴏꜱᴛ ʀᴇᴀᴅ ꜱᴛᴀʀ ᴡᴀʀꜱ ꜰᴀɴꜰɪᴄᴛɪᴏɴ ᴏɴ ᴡᴀᴛᴛᴘᴀᴅ ⭐️ ʜɪɢʜᴇꜱᴛ ʀᴀɴᴋɪɴɢꜱ ꜱᴏ ꜰᴀʀ 1 ɪɴ ꜱᴛᴀʀ ᴡᴀʀꜱ 2017...You may also likebadboyarrogantbangtanbillionairePaid Stories Badge actionbadboyalphamaleactionactionadamdriverThe Boyfriend App 3 parts Complete

\n \n \npoeme pour un ange parti trop tôt
Pourl'homme de ma vie, Parti trop tôt au paradis, Sans aucun préavis ! Pour nos enfants tant désirés, Dans la fusion d'un amour partagé, Je continue ma destinée ! Pour ce papa sans préjugé, A l'amour démeusuré Qui n'a pas eu le temps De voir grandir ses enfants Qu'il aimait tant ! Pour cet homme au grand coeur Qui m'a apporté le bonheur, Alors que je saignais de douleur !
TOI … Quand tu étais petit, Avec tes boucles blondes, Avec te yeux rieurs, Avec ta bouche en cœur, Tu avais l’air d’un ange. Lorsque je t’ai connu, Les épreuves vécues Avaient forgé ton âme Et fait de toi un homme. Ton regard profond, Ton sourire charmeur, Et tes mains fermes et douces Faisaient fondre mon cœur. Quand, dans tes bras tu me prenais, Le monde cessait d’exister. Tu étais le donjon Où j’aimais me réfugier. Quand tes yeux me regardaient, Plongeant au fond de moi, Perçant tous mes secrets, Je cessais d’exister Pour n’être plus que toi. Quand avec toi je promenais, A ton bras fière, je pavanais. Tu étais mon bouclier, Tu étais mon chevalier, Et j’étais ta princesse Ivre de tes caresses. Quand près de toi je me couchais, Que mes cheveux tu caressais, Ta bouche me murmurait Des mots tendres et sucrés Qui savaient me bercer. Tu étais mon ami, Tu étais mon confident, Tu étais ma force, Mon ange Gabriel Terrassant le dragon, Toi, mon père Août 2015 Retour au recueil de poèmes
\n \n poeme pour un ange parti trop tôt

Unange parti trop tôt. 331 likes. Pour toi qui est parti trop tôt. Un rayon de soleil. Rappelez vous de ces bons moments et tout ce qu'elle dégageait Pour toi qui est parti trop tôt. Un rayon de soleil.

Qu'est-ce que l'amour ? L'échange de deux fantaisies Et le contact de deux épidermes Chamfort I Eh bien ! en vérité, les sots auront beau dire, Quand on n'a pas d'argent, c'est amusant d'écrire. Si c'est un passe-temps pour se désennuyer, Il vaut bien la bouillotte ; et, si c'est un métier, Peut-être qu'après tout ce n'en est pas un pire Que fille entretenue, avocat ou portier II J'aime surtout les vers, cette langue immortelle. C'est peut-être un blasphème, et je le dis tout bas Mais je l'aime à la rage. Elle a cela pour elle Que les sots d'aucun temps n'en ont pu faire cas, Qu'elle nous vient de Dieu, — qu'elle est limpide et belle, Que le monde l'entend, et ne la parle pas. III Eh bien ! Sachez-le donc, vous qui voulez sans cesse Mettre votre scalpel dans un couteau de bois Vous qui cherchez l'auteur à de certains endroits, Comme un amant heureux cherche, dans son ivresse Sur un billet d'amour les pleurs de sa maîtresse, Et rêve, en le lisant, au doux son de sa voix. IV Sachez-le, — c'est le cœur qui parle et qui soupire Lorsque la main écrit, — c'est le cœur qui se fond ; C'est le cœur qui s'étend, se découvre et respire Comme un gai pèlerin sur le sommet d'un mont Et puissiez-vous trouver, quand vous en voudrez rire À dépecer nos vers le plaisir qu'ils nous font ! V Qu'importe leur valeur ? La muse est toujours belle, Même pour l'insensé, même pour l'impuissant ; Car sa beauté pour nous, c'est notre amour pour elle. Mordez et croassez, corbeaux, battez de l'aile ; Le poète est au ciel, et lorsqu'en vous poussant Il vous y fait monter, c'est qu'il en redescend VI Allez, — exercez-vous, — débrouillez la quenouille, Essoufflez-vous à faire un bœuf d'une grenouille Avant de lire un livre, et de dire J'y crois ! Analysez la plaie, et fourrez-y les doigts ; Il faudra de tout temps que l'incrédule y fouille, Pour savoir si son Christ est monté sur la croix VII Eh, depuis quand un livre est-il donc autre chose Que le rêve d'un jour qu'on raconte un instant ; Un Oiseau qui gazouille et s'envole ; — une rose Qu'on respire et qu'on jette, et qui meurt en tombant ; — Un ami qu'on aborde, avec lequel on cause, Moitié lui répondant, et moitié l'écoutant ? VIII Aujourd'hui' par exemple, il plait à ma cervelle De rimer en sixains le conte que voici, Va-t-on le maltraiter et lui chercher querelle ? Est-ce sa faute, à lui, si je l'écris ainsi ? Byron, me direz-vous, m'a servi de modèle. Vous ne savez donc pas qu'il imitait Pulci ? IX Lisez les Italiens, vous verrez s'il les vole. Rien n'appartient à rien, tout appartient à tous. Il faut être ignorant comme un maître d'école Pour se flatter de dire une seule parole Que personne ici-bas n'ait pu dire avant vous. C'est imiter quelqu'un que de planter des choux. X Ah ! pauvre Laforêt, qui ne savais pas lire, Quels vigoureux soufflets ton nom seul a donnés Au peuple travailleur des discuteurs damnés ! Molière t'écoutait lorsqu'il venait d'écrire Quel mépris des humains dans le simple et gros rire Dont tu lui baptisais ses hardis nouveau-nés ! XI Il ne te lisait pas, dit-on, les vers d'Alceste ; Si je les avais faits, je te les aurais lus. L'esprit et les bons mots auraient été perdus ; Mais les meilleurs accords de l'instrument céleste Seraient allés au cœur comme ils en sont venus. J'aurais dit aux bavards du siècle A vous le reste XII Pourquoi donc les amants veillent-ils nuit et jour ? Pourquoi donc le poète aime-t-il sa souffrance ? Que demandent-ils donc tous les deux en retour ? Une larme, ô mon Dieu, voilà leur récompense ; Voilà pour eux le ciel ; la gloire et l'éloquence, Et par là le génie est semblable à l'amour. XIII Mon premier chant est fait. — Je viens de le relire. J'ai bien mal expliqué ce que je voulais dire ; Je n'ai pas dit un mot de ce que j'aurais dit Si j'avais fait un plan une heure avant d'écrire ; Je crève de dégoût, de rage et de dépit Je crois en vérité que j'ai fait de l'esprit XIV Deux sortes de roués existent sur la terre L'an, beau comme Satan, froid comme la vipère, Hautain, audacieux, plein d'imitation, Ne laissant palpiter sur son cœur solitaire Que l'écorce d'un homme et de la passion ; Faisant un manteau d'or à son ambition ; XV Corrompant sans plaisir, amoureux de lui-même, Et, pour s'aimer toujours, voulant toujours qu'on l'aime ; Regardant au soleil son ombre se mouvoir ; Dès qu'une source est pure, et que l'on peut s'y voir, Venant comme Narcisse y pencher son front blême, Et chercher la douleur pour s'en faire un miroir. XVI Son idéal, c'est lui -Quoi qu'il dise ou qu'il fasse, Il se regarde vivre, et s'écoute parler. Car il faut que demain on dise, quand il passe Cet homme que voilà, c'est Robert Lovelace Autour de ce mot-là le monde peut rouler ; Il est l'axe du monde, et lui permet d'aller. XV Avec lui ni procès, ni crainte, ni scandale. Il jette un drap mouillé sur son père qui râle ; Il rôde, en chuchotant, sur la pointe du pied. Un amant plus sincère, à la main plus loyale, Peut serrer une main trop fort, et l'effrayer ; Mais lui, n'ayez pas peur de lui, c'est son métier. XVIII Qui pourrait se vanter d'avoir surpris son âme ? L'étude de sa vie est d'en cacher le fond... On en parle, — on en pleure, — on en rit, qu'en voit on Quelques duels oubliés, quelques soupirs de femme, Quelque joyau de prix sur une épaule infâme, Quelque croix de bois noir sur un tombeau sans nom. XIX Mais comme tout se tait dès qu'il vient à paraître ! Clarisse l'aperçoit, et commence à souffrir. Comme il est beau ! brillants comme il s'annonce en maître ! Si Clarisse s'indigne et tarde à consentir, Il dira qu'il se tue-il se tuera peut-être ; — Mais Clarisse aime mieux le sauver, et mourir. XX C'est le roué sans cœur, le spectre à double face, A la patte de tigre, aux serres de vautour, Le roué sérieux qui n'eut jamais d'amour ; Méprisant la douleur comme la populace ; Disant au genre humain de lui laisser son jour- Et qui serait César, s'il n'était Lovelace XXI Ne lui demandez pas s'il est heureux ou non ; Il n'en sait rien lui-même, il est ce qu'il doit être. Il meurt silencieux, tel que Dieu l'a fait naître L'antilope aux yeux bleus est plus tendre peut-être Que le roi des forêts ; mais le lion répond Qu'il n'est pas antilope, et qu'il a nom lion. XXII Voilà l'homme d'un siècle, et l'étoile polaire Sur qui les écoliers fixent leurs yeux ardents, L'homme dont Robertson fera le commentaire, Qui donnera sa vie à lire à nos enfants Ses crimes noirciront un large bréviaire, Qui brûlera les mains et les cœurs de vingt ans. XXIII Quant au roué Français, au don Juan ordinaire, Ivre, riche, joyeux, raillant l'homme de pierre, Ne demandant partout qu'à trouver le vin bon, Bernant monsieur Dimanche, et disant à son père Qu'il serait mieux assis pour lui faire un sermon, C'est l'ombre d'un roué qui ne vaut pas Valmont. XXIV Il en est un plus grand, plus beau, plus poétique, Que personne n'a fait, que Mozart a rêvé, Qu'Hoffmann a vu passer, au son de la musique, Sous un éclair divin de sa nuit fantastique, Admirable portrait qu'il n'a point achevé, Et que de notre temps Shakspeare aurait trouvé. XXV Un jeune homme est assis au bord d'une prairie, Pensif comme l'amour, beau comme le génie ; Sa maîtresse enivrée est prête à s'endormir. Il vient d'avoir vingt ans, son cœur vient de s'ouvrir. Rameau tremblant encor de l'arbre de la vie, Tombé, comme le Christ, pour aimer et souffrir XXVI Le voilà se noyant dans des larmes de femme, Devant cette nature aussi belle que lui ; Pressant le monde entier sur son cœur qui se pâme, Faible, et, comme le lierre, ayant besoin d'autrui ; Et ne le cachant pas, et suspendant son âme, Comme un luth éolien, aux lèvres de la Nuit. XXVII Le voilà demandant pourquoi son cœur soupire, Jurant, les yeux en pleurs, qu'il ne désire rien ; Caressant sa maîtresse, et des sons de sa lyre Egayant son sommeil comme un ange gardien ; Tendant sa coupe d'or à ceux qu'il voit sourire, Voulant voir leur bonheur pour y chercher le sien. XXVIII Le voilà, jeune et beau, sous le ciel de la France, Déjà riche à vingt ans comme un enfouisseur ; Portant sur la nature un cœur plein d'espérance, Aimant, aimé de tous, ouvert comme une fleur ; Si candide et si frais que l'ange d'innocence Baiserait sur son front la beauté de son cœur XXIX Le voilà, regardez, devinez-lui sa vie. Quel sort peut-on prédire à cet enfant du ciel ? L'amour en l'approchant jure d'être éternel ; Le hasard pense à lui, — la sainte poésie Retourne en souriant sa coupe d'ambroisie Sur ses cheveux plus doux et plus blonds que le miel. XXX Ce palais, c'est le sien ; — le serf et la campagne Sont à lui ; — la forêt, le fleuve et la montagne Ont retenu son nom en écoutant l'écho. C'est à lui le village, et le pâle troupeau Des moines. — Quand il passe et traverse un hameau, Le bon ange du lieu se lève et l'accompagne. XXXI Quatre filles de prince ont demandé sa main. Sachez que s'il voulait la reine pour maîtresse, Et trois palais de plus, il les aurait demain ! Qu'un juif deviendrait chauve à compter sa richesse, Et qu'il pourrait jeter, sans que rien en paraisse Les blés de ses moissons aux oiseaux du chemin. XXXII Eh bien ! cet homme-là vivra dans les tavernes Entre deux charbonniers autour d'un poêle assis ; La poudre noircira sa barbe et ses sourcils ; Vous le verrez un jour, tremblant et les yeux ternes Venir dans son manteau dormir sous les lanternes, La face ensanglantée et les coudes noircis. XXXIII Vous le verrez sauter sur l'échelle dorée, Pour courir dans un bouge au sortir d'un boudoir, Portant sa lèvre ardente à la prostituée, Avant qu'à son balcon done Elvire éplorée, Dans la profonde nuit croyant encor le voir, Ait cessé d'agiter sa lampe et son mouchoir. XXXIV Vous le verrez, laquais pour une chambrière, Cachant sous ses habits son valet grelottant ; Vous le verrez, tranquille et froid comme une pierre, Pousser dans les ruisseaux le cadavre d'un père, Et laisser le vieillard traîner ses mains de sang Sur des murs chauds encor du viol de son enfant. XXXV Que direz-vous alors ? Ah ! vous croirez peut-être Que le monde a blessé ce cœur vaste et hautain, Que c'est quelque Lara qui se sent méconnaître, Que l'homme a mal jugé, qui sait ce qu'il peut être, Et qui, s'apercevant qu'il le serait en vain, Rend haine contre haine et dédain pour dédain. XXXVI Eh bien ! vous vous trompez. — Jamais personne au monde N'a pensé moins que lui qu'il c'`ait oublié. Jamais il n'a frappé sans qu'on ne lui réponde ; Jamais il n'a senti l'inconstance de l'onde, Et jamais il n'a vu se dresser sous son pié Le vivace serpent de la fausse amitié. XXXVII Que dis-je ? tel qu'il est, le monde l'aime encore ; Il n'a perdu chez lui ni ses biens ni son rang. Devant Dieu, devant tous, il s'assoit à son banc. Ce qu'il a fait de mal, personne ne l'ignore ; On connaît son génie, on l'admire, on l'honore. — Seulement, voyez-vous, cet homme, c'est don Juan. XXXVIII Oui, don Juan. Le voilà, ce nom que tout répète, Ce nom mystérieux que tout l'univers prend, Dont chacun vient parler, et que nul ne comprend ; Si vaste et si puissant qu'il n'est pas de poète Qui ne l'ait soulevé dans son cœur et sa tête, Et pour l'avoir tenté ne soit resté plus grand. XXXIX Insensé que je suis ! que fais-je ici moi-même ? Était-ce donc mon tour de leur parler de toi, Grande ombre, et d'où viens-tu pour tomber jusqu'à moi ? C'est qu'avec leurs horreurs, leur doute et leur blasphème Pas un d'eux ne t'aimait, don Juan ; et moi, je t'aime Comme le vieux Blondel aimait son pauvre roi. XL Oh ! qui me jettera sur ton coursier rapide ! Oh ! qui me prêtera le manteau voyageur, Pour te suivre en pleurant, candide corrupteur ! Qui me déroulera cette liste homicide, Cette liste d'amour si remplie et si vide, Et que ta main peuplait des oublis de ton cœur ! XLI Trois mille noms charmants ! Trois mille noms de femme ! Pas un qu'avec des pleurs tu n'aies balbutié ! Et ce foyer d'amour qui dévorait ton âme, Qui lorsque tu mourus, de tes veines de flamme Remonta dans le ciel comme un ange oublié, De ces trois mille amours pas un qui l'ait noyé ! XLII Elles t'aimaient pourtant, ces filles insensées Que sur ton cœur de fer tu pressas tour à tour ; Le vent qui t'emportait les avait traversées ; Elles t'aimaient, don Juan, ces pauvres délaissées Qui couvraient de baisers l'ombre de ton amour, Qui te donnaient leur vie, et qui n'avaient qu'un jour ! XLIII Mais toi, spectre énervé, toi, que faisais-tu d'elles ? Ah ! massacre et malheur ! tu les aimais aussi, Toi ! croyant toujours voir sur tes amours nouvelles Se lever le soleil de tes nuits éternelles, Te disant chaque soir Peut-être le voici Et l'attendant toujours, et vieillissant ainsi ! XLIV Demandant aux forêts, à la mer, à la plaine, Aux brises du matin, à toute heure, à tout lieu, La femme de ton âme et de ton premier vœu ! Prenant pour fiancée un rêve, une ombre vaine, Et fouillant dans le cœur d'une hécatombe humaine, Prêtre désespéré, pour y chercher ton Dieu. XLV Et que voulais-tu donc ?-Voilà ce que le monde Au bout de trois cents ans demande encor tout bas Le sphinx aux yeux perçants attend qu'on lui réponde Ils savent compter l'heure, et que leur terre est ronde Ils marchent dans leur ciel sur le bout d'un compas' Mais ce que tu voulais, ils ne le savent pas. XLVI Quelle est donc, disent-ils,. cette femme inconnue, Qui seule eût mis la main au frein de son coursier ? Qu'il appelait toujours et qui n'est pas venue ? Où l'avait-il trouvée ? où l'avait-il perdue ? Et quel nœud si puissant avait su les lier, Que, n'ayant pu venir, il n'ait pu l'oublier ? XLVII N'en était-il pas une, ou plus noble, ou plus belle, Parmi tant de beautés, qui, de loin ou de près, De son vague idéal eût du moins quelques traits ? Que ne la gardait-il ! qu'on nous dise laquelle. Toutes lui ressemblaient, — ce n'était jamais elle, Toutes lui ressemblaient, don Juan, et tu marchais ! XLVIII Tu ne t'es pas lassé de parcourir la terre ! Ce vain fantôme, à qui Dieu t'avait envoyé, Tu n'en as pas brisé la forme sous ton pied ! Tu n'es pas remonté, comme l'aigle à son aire Sans avoir sa pâture, ou comme le tonnerre Dans sa nue aux flancs d'or, sans avoir foudroyé ! XLIX Tu n'as jamais médit de ce monde stupide Qui te dévisageait d'un regard hébété ; Tu l'as vu, tel qu'il est, dans sa difformité ; Et tu montais toujours cette montagne aride, Et tu suçais toujours, plus jeune et plus aride, Les mamelles d'airain de la Réalité. L Et la vierge aux yeux bleus, sur la souple ottomane, Dans ses bras parfumés te berçait mollement ; De la fille de roi jusqu'à la paysanne Tu ne méprisais rien, même la courtisane, À qui tu disputais son misérable amant ; Mineur, qui dans un puits cherchais un diamant. LI Tu parcourais Madrid, Paris, Naple et Florence ; Grand seigneur aux palais, voleur aux carrefours ; Ne comptant ni l'argent, ni les nuits, ni les jours ; Apprenant du passant à chanter sa romance ; Ne demandant à Dieu, pour aimer l'existence, Que ton large horizon et tes larges amours. LII Tu retrouvais partout la vérité hideuse, Jamais ce qu'ici-bas cherchaient tes vœux ardents, Partout l'hydre éternel qui te montrait les dents ; Et poursuivant toujours ta vie aventureuse, Regardant sous tes pieds cette mer orageuse, Tu te disais tout bas Ma perle est là dedans. LIII Tu mourus plein d'espoir dans ta route infinie, Et te souciant peu de laisser ici-bas Des larmes et du sang aux traces de tes pas. Plus vaste que le ciel et plus grand que la vie, Tu perdis ta beauté, ta gloire et ton génie Pour un être impossible, et qui n'existait pas. LIV Et le jour que parut le convive de pierre, Tu vins à sa rencontre, et lui tendis la main ; Tu tombas foudroyé sur ton dernier festin Symbole merveilleux de l'homme sur la terre, Cherchant de ta main gauche à soulever ton verre Abandonnant ta droite à celle du Destin ! LV Maintenant, c'est à toi, lecteur, de reconnaître Dans quel gouffre sans fond peut descendre ici-bas Le rêveur insensé qui voudrait d'un tel maître. Je ne dirai qu'un mot, et tu le comprendras Ce que don Juan aimait, Hassan l'aimait peut-être ; Ce que don Juan cherchait, Hassan n'y croyait - Chant deuxième Poèmes de Alfred de Musset Citations de Alfred de Musset
poeme1 an de deces. texte à écrire à l'occasion d'un anniversaire de décès ou d'une date importante pour la personne endeuillée. les plus beaux poèmes, textes et citations sur le deuil et la mort après le décès d'un proche parti trop tôt. si vous recherchez un texte pour la cérémonie d'enterrement, je vous encourage à consulter 1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 2240 à ceux qui nous ont quitté A CEUX qu'on a tant aimé Comme les feuilles d'automne qui s'envolent s'égrenent les noms des ces êtres aimés ces visages qu'on ne veut effacer partis depuis de longues années ou seulement hier, douleur encore trop présente de votre cruelle absence reste le souvenir de cet instant maudit ou la mort vous a ravit apres une vie bien remplie aprés le combat contre la maladie partir avec sérénité pour gouter au repos eternel bien mérité DOULEUR de cette vie trop tôt brisée sur votre route à peine tracée riche de rêves inachevés A vous, jeune ou vieux Tant de larmes dans nos yeux au souvenir des jours heureux que je garde dans mon coeur mon plus beau jardin du SOUVENIR j'y sème les plus belles fleurs qui s'épanouissent chaque jour de l'année en un hommage éternel jardin immortel pour vous dire "vous restez à jamais dans mes pensées" espoirmarie Toussaint 2010 espoirmarie - dans poemes souvenir 1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 1417 à ma fille mon soleil d'automne Mon Soleil d'automne La nature a revêtue son habit de lumière il est temps de récolter les fruits muris aux soleil d'été les feuilles d'automne parées d'ocre, de rouge et de jaune virevoltent en une ronde dernière Tu jette au vent tes cahiers d'écolière les pages s'envolent sur les souvenirs d'hier de ces 23 années passées du berceau à l'université riche des fruits glanés toi ma fille si souvent diplômée Bienvenue dans le monde du travail et des adultes nouveaux sillons à tracer champs encore vierges à ensemencer Avec la richesse de ta jeunesse pleine de futures promesses espoirmarie 1er octobre 2010 23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 1816 JE ne te dirais plus "BONNE FETE MAMAN" JE ne te dirais plus "BONNE FETE MAMAN" Rappelle toi ma mère c'était hier une belle journée d'été en juillet dernier J'avais espérer t'embrasser Il n'aura fallu que quelques mots méchants pour que de votre vie a jamais je sois bannie Depuis toutes ces années avec mes mots écrits en secret mon coeur d'enfant te disait "bonne fete maman" L'enfant orphelin dans son chagrin sur la tombe dépose des fleurs pour la maman de son coeur Ta fille bannie a jamais t'a fermé son coeur plus de faux espoirs et de douleur Elle peut à présent croire a un nouveau bonheur délivrée de ta haine et ta rancoeur Espoirjardin 29 mai 2010 23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 1814 naissance de maman NAISSANCE DE "MAMAN" 1 2 3 Respirez 4 5 6 Poussez C'est le chant de ta naissance l'ODE à LA SOUFFRANCE pour t'accueillir, mon enfant pour m'appeler" MAMAN" Neuf mois de bonheur te sentir grandir sous mon coeur Une derniére salve de soufffrance Qui annonce la délivrance La douleur sublimée Pour ta naissance annoncée Un grand silence............. ton premier cri A la vie BIENVENUE MON ENFANT BONJOUR PETITE MAMAN. Premiéres caresses Moments tendresse Contre mon coeur blotti Nos deux coeurs unis Toi mon enfant Moi ta maman espoirjardin, 29 mai 2010 23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 1748 pour toi jean claude mon beau-frere ; pour un papa parti trop tôt pour toi jean claude mon beau-frere ; pour un papa parti trop tôt En ce grand jour du OUI POUR LA VIE » de Pierre et Marie tu manquais à notre bonheur tu étais présent dans nos coeurs étendant tes bras protecteurs comme un ange gardien veillant sur les tiens apaisant la douleur de ton depart prématuré pour regarder vers l'avenir avec sérénité Tu es là, parmi les rayons du soleil qui brille dans le ciel séchant les pleurs qui perlent encore dans le coeur de tes enfants Tu es le souffle du vent messager de force et d'espoir chassant le désespoir dans la nuit noire rallumant le feu se mourant pour que brûle la flamme rassurante de ta protection bienveillante Tu es l'étoile qui s'allume doucement à la nuit tombée dans le ciel étoilé scintillant au firmament illuminant le coeur de tes enfants pour y jeter des bribes de petits bonheurs et sécher leurs pleurs Tu es la pluie qui efface les peurs du lendemains l'averse qui lave les peines et les chagrins pour avancer sur de nouveaux chemins tu guide les pas de tes enfants et leur tiens la main par ton invisible présence FORCE RASSURANTE malgré la souffrance de ta douloureuse absence espoirjardin 27 juillet 2010 espoirmarie - dans poemes souvenir 7 août 2009 5 07 /08 /août /2009 2310 UNE PORTE FERMEE UNE PORTE FERMEE POUR EFFACER LE PASSE UNE PORTE RESTEE FERMEE Votre coeur verrouillé pour tourner à jamais la page du passé effacer les souffrances des années d'enfance chasser la culpabilité de ne pas savoir comment vous aimer J étais venue tout simplement vous dire bonjour un instant UNE PORTE FERMEE pour effacer l'image du flou de vos visages des paroles glacées pour à jamais me rejeter!!!!!! J'avais l'espoir malgré toutes ces années passées de vous mes parents être un jour aimée UNE PORTE FERMEE pour me condamner à perpétuité à être à jamais l'enfant mal-aimée pour avoir choisi ma vie refusé votre méchanceté et votre hypocrisie UNE PORTE FERMEE pour FERMER la plaie de cette soufffrance M'OUVRIR à ma vraie vie pleine d'espérance AIMER DE TOUT MON COEUR CES joyeaux que sont mes enfants, Savourer MON BONHEUR d'être leur MAMAN Annemarie 7 août 2009 6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 2356 un bouquet pour maman POUR TOI MAMAN Ce bouquet de marguerites ce regret qui ne me quitte de ne pas te serrer dans mes bras encore une année passée ou je n'ai pu franchir ce pas quelques larmes effacées J'ai beau feuilleter les images de ma mémoire d'enfant j'ai oublié ton visage depuis si longtemps j'ai laissé du temps au temps pour guérir de mes blessures d'enfant Dans le silence de mon coeur oublier la douleur de la petite fille mal aimée laisser le temps des regrets pour oser un jour un geste de tendresse une infime caresse te dire "bonne fête maman" pendant qu'il est encore temps jardin d'espoir 6 juin 2009 4 juin 2009 4 04 /06 /juin /2009 0919 espoir ...pour une amie espoirmarie - dans poemes divers 12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 1037 en hommage au passé détruit LES MURS DU PASSE... Ce sont des murs que l'on abat dans un grand fracas l'histoire effacée à jamais enterrée sous un tas de gravats suppliciée sur l'autel de la modernité Les vieux qui vivaient là dorment au jardin de l'Eternité Les jeunes vont réécrire leur HISTOIRE sur une terre vierge à défricher, de souvenirs à réinventer Sous les gravats gît la mémoire De la vie d'hier et de leur Passé De ces pierres qu'on abat Il me faut tourner la page c'était nos jours heureux Mais on le sait si peu » retracer l'Avenir pas à pas ne pas se retourner sur les tas de gravats Demain feuilleter le livre d'images Trésors de souvenirs reçus en héritage de cette mémoire d'hier dont nos enfants seront fiers La MEMOIRE ne peut mourir Sous un tas de gravats Des murs qu'on abat. Jardin d'Espoir 4 février 2009 En mémoire au passé détruit LA COUR DE FERRETTE Qui se douterait que sur le parking actuel, inauguré en 2001, s’élevait encore en 1914 une altière demeure au riche passé ? Remontons au XIIIe siècle lorsque par la volonté des comtes de Ferrette Sennheim » devient ville fortifiée et appose sur son sceau les deux barbeaux comtaux. Au siècle suivant, le seigneurie passe à la Maison d’Autriche pour plus de trois cent ans ! Le bailli chargé d’administrer la ville est recruté le plus souvent dans la famille des chevaliers de Ferrette portant écu de sable au lion rampant d’argent », armoiries ornant encore aujourd’hui des dalles funéraires conservées dans l’église Saint-Etienne. Les nobles de Ferrette possèdent des terres agricoles, en particulier des vignes, dont ils tirent leurs principaux revenus. Ils résident à l’Oberdorf, non de la Porte Haute et au Pfisterhof autrement dit la Cour de Ferrette. Ils ont pour voisins les abbés de Lucelle et l’évêque de Bâle, propriétaires eux aussi d’une cour franche. En 2005 et 2007, des interventions archéologiques conduites par l’INRAP et le PAIR ont permis de localiser la maison nobiliaire, das alte Hus », adossée à la première enceinte urbaine. Vendu comme bien national en 1797, le Pfisterhof est acquis en 1811 pour une somme conséquente par le négociant Pierre Armand Baudry. Cette illustre famille de manufacturiers du textile participe à l’essor économique de la ville durant le XIXe siècle. Charles Baudry en est le premier magistrat en 1872 à 1883. Sise entre les rues du Paradis, du Potier, de la Croix et de Thann, la propriété a belle allure avec son parc arboré, ses allées couvertes de graviers, son bassin alimenté par un jet d’eau, sa maison de maître flanquée d’une tour Renaissance et ses nombreuses dépendances, le tout clos par un haut mur maçonné. Le 3 août 1914, le déclanchement de la Grande Guerre sonne le glas de la cité et du Pfisterhof occupés par les troupes allemandes. Si l’armistice du 11 novembre 1918 ramène la paix dans une Alsace redevenue française, les Cernéens reviennent dans une ville totalement sinistrée. Cette fois-ci, la propriété ruinée passe aux mains de la famille Walter qui y exploite une ferme jusqu’à l’aube du XXIe siècle. Révolue l’époque où les Cernéens venaient y acheter directement des oeufs frais ou du lait crémeux versé dans l’inusable Melchkannlà » en aluminium par Elise Walter, la sympathique fermière des lieux. Automobiliste mon frère, souviens-toi lorsque tu stationnes en ce lieu qu’il y a 7 siècles paradaient ici les fiers palefrois des chevaliers de Ferrette ! PUBLIE PAR SOCIÉTÉ D'HISTOIRE ET D'ARCHÉOLOGIE DE CERNAY Monsieur BEVILAQUA 19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 2229 slide vers images du printemps à la ferme link 68j'aime, 11 commentaires. Vidéo TikTok de Charlene Roisin (@charlene3eme) : « 30-10-20🥺👼 un petit ange parti trop tôt #pourtoi #confine ». Tu nous manque . Impossible. Ces textes sont écrits avec les mots que m'a dicté mon coeur pour un partage avec celles et ceux qui sont dans la même souffrance que Valérie et moi du manque d'un Ange. Philippe COSTES le papa de Jérôme A mon ANGE Pour toutes les Mamans qui ont perdu un Ange En pensant à vous les Mamanges, ces mots me sont venus C’est le cadeau de Noël de vos anges j’en suis convaincu Neuf mois en mon ventre je t’ai porté, je t’ai nourri J’ai souffert avec toi lorsque tes yeux se sont ouverts à la vie Je t’ai tant aimé le peu de temps qu’il nous à été donné Trop court moment de bonheur pour une maman et son bébé Faire juste connaissance et puis maintenant ton absence apprivoiser J’ai tant pleuré le jour où tu t’es envolé J’aurai voulu m’accrocher à tes ailes déployées Te retenir, te blottir contre moi et te garder Dans mes yeux maintenant brille ta flamme pour l’éternité L’Ange qui est désormais dans mon cœur Porte le prénom de mon enfant protecteur Il est en moi, non pas enfoui, mais plus vivant encore Chaque jour qui passe, je l’aime davantage, c’est mon ange et je l’adore Cet amour du premier jour n’aura jamais de fin Car le moment venu il m’attendra au bout du chemin Me prendre par la main et à tout jamais chasser mon chagrin La vie ne s’arrête pas ici-bas, il m’attend le jour venu un autre destin Et dans la joie retrouver mon ange qui de l’autre côté du voile Attend paisiblement le moment de nos retrouvailles L'amour pour mon Ange n'a pas de barrière L’amour pour mon Ange n’a pas de frontière L’Ange qui est désormais dans mon cœur Porte le prénom de mon enfant protecteur Pour Sophie la Maman de Jeanne, Dans ce pays où je séjourne le ciel est souvent bleu Dans mon cœur pourtant très souvent il pleut Il pleut des grosses gouttes qui de mes yeux coulent tel un torrent Inondant ainsi mon cœur brisé de jeune Maman Jeanne, ma petite Jeanne, ma chair, mon enfant adoré, s’en est allée Quelqu’un en haut lieu à décidé de me l’enlever Alors dans ce pays où le ciel est perpétuellement étoilé Très souvent le soir mes yeux dans le ciel restent figés A la recherche de cette étoile, de mon étoile à moi Celle qui brille de mille feux et qui m’apporte tant d’émoi Ma petite Jeanne, n’est pas qu’une étoile, elle est devenue un Ange Un bel Ange qui illumine les cieux et mon cœur de Mamange Ma petite Jeanne, sois dans ce monde merveilleux où seul l’amour existe Et de temps en temps envoies moi un peu de chaleur pour ne pas rester triste Ressentir ta flamme réchauffer mon cœur et savoir que c’est toi Toi qui viens te blottir de temps en temps contre moi Pour un moment être toi et moi, n’être qu’un et se sentir si bien Je t’aime mon Ange, personne ne pourra couper ce lien Nous sommes désormais liées pour l’éternité Dans mon être tout entier désormais tu t’es installée Brille mon Enfant, dans les cieux et dans mon cœur Que ta lumière étincelante apaise ma tristesse et m’apporte un peu de bonheur Je t'aime ma petite Jeanne, sois en moi , toute en moi, jusqu'au plus profond de mon âme Pour Elisabeth la Maman de Marley, Tous les jours que Dieu fait, mes pensées se tournent vers Marley Marley qui nous a un trop court instant apporté tant de gaité La venue d’un Enfant est quelque chose de merveilleux Le départ prématuré nous rend, si malheureux Pourquoi nous retirer ce que nous avons tant désiré ? Attendu pendant des mois avec tant d’impatience et de fierté Tous les projets de notre famille qui volent en éclats Qui nous laisse chaos face à l’inconcevable trépas La première réaction est de vivre dans le passé De refuser d’admettre cette triste réalité Notre Ange avait une place de roi, tellement il était choyé Nous cherchons à comprendre pourquoi tant de cruauté Inconsolable nous le serons jusqu’à la fin des temps Rien ne pourra nous faire oublier notre petit Enfant La tristesse a envahi nos corps jusqu’à pénétrer notre âme De nos rires d’hier ne restent aujourd’hui que des larmes Cette nouvelle condition qui nous apporte malheur et trahison Sans comprendre, nous sommes désignés coupables et enfermés dans cette prison Revivre ces moments merveilleux sans pouvoir nous échapper Cloîtrés, attachés à ses chaînes qui nous empêchent de nous évader Cette nouvelle existence qui nous est imposé et qui se nomment souffrance Mais quelquefois sans explication aucune, s’installe une forme de délivrance Cette perception étrange de le sentir prés de moi, Cette sensation merveilleuse de le sentir entièrement en moi Difficile de définir ce ressenti, il ne peut s’agir que de mon petit Marley Qui de temps en temps quitte son paradis et vient dans mon cœur s’installer Viens petit Marley, viens déposer des baisers sur le cœur de Maman Viens plus souvent, Maman à besoin de beaux messages d’Amour de la part de son enfant Viens petit Marley poser ta tête sur le cœur de Maman Fais souffler ce petit vent chaud pour sécher les larmes de Maman Petit Marley, mon Ange vient dans mon cœur aménager Laisse tes affaires sur ton nuage, Maman a tout préparé Pour Nirva la Maman de Rose, Nirva, je dépose au coté de votre Rose ses pensées pour en faire un beau bouquet Rose, ma petite Rose, toi qui n’étais que bouton en ce monde Toi qui n’avais encore sorti tes épines protectrices, tu t’es transformée en blanche colombe Jamais ici-bas de mes yeux je ne verrai les couleurs sublimes de tes pétales blondes La nature, cette dure nature terrestre, ne t’as pas permis d'éclore et de t’épanouir Jamais je ne pourrais t’oublier, mon Amour pour toi ne pourra jamais se tarir Je t’ai porté pendant des mois avant de te donner la vie Tu m’as tout donné, j’aurai tant voulu que cela dure à l’infini Je ne peux me résoudre qu’à tout jamais ce soit fini Alors chaque jour qui passe, moi ta maman, je te fais grandir Je sais que désormais tu t’es enraciné en moi, au plus profond de moi pour me chérir Mon cœur est un beau vase dans lequel j’ai déposé ta tige Et bien souvent lorsque j’ai mal de ton absence qui me fige Je mets ma main sur mon cœur et je caresse tes pétales délicatement du bout de mes doigts Et cela pour que jamais tu ne fanes, te rendre plus belle chaque jour en moi Tu te nourris de mon Amour, comme je me nourri du tiens Et cela fait parti désormais de mon quotidien Je t’aime ma Rose, ma belle Rose Sois dans mon cœur et repose Dans l’attente du jour venu Où toutes deux nous ne seront pas déçues Pour la Maman de Mahasin adorable prénom Egyptien, Ma petite Mamange adorée, Je sais que cette fin d'année te seras difficile car pour ce noël je ne serais pas à tes yeux visibles mais fais comme d'habitude, pense à moi avec ton coeur et je ferais en sorte de t'envoyer un peu de bonheur car je veux que tu saches que ta petite Mahasin est toujours en toi du soir au matin il suffit de m'adresser des mots d'amour comme tu le fais chaque jour pour qu'a mon tour je caresse ton coeur pour que tu ressentes mon Amour L'Amour d'un Enfant pour sa maman rime avec toujours et jusqu'à ce jour personne n'en a fait le tour N'oublie pas que je respire désormais par les battements de ton cœur cet oxygène, ton oxygène m’est nécessaire pour mon propre bonheur alors attends seulement le moment venu et tu ne seras pas déçue Ta petit Mahasin qui t’aime et qui t’envoie de belles pensées de l’au-delà Je veille sur toi et cela ne l’oublie pas, n’en doute pas Je t’aime, le jour, le soir, et le matin Tendrement, ta petite Mahasin PS Comme les années précédentes fais un beau sapin, je déposerais en catimini mes souliers de satin Et surtout ne les remplis pas de chagrin, mais uniquement de pensées positives pour ta petite Mahasin Plein d’Amour à mon papa qu’il sache que je l’aime comme je sais qu’il m’aime Je dépose sur ses paupières de tendres baisers pour apaiser sa peine Amour, Amour comme toujours ne m'envoyez que de l’Amour Ma signification toute personnelle du mot AMOUR » Il existe un mot, une émotion, qui se partage depuis la nuit des temps Utilisé par chacun de nous pour faire part d’un profond sentiment Ce doux mot qui chante à nos oreilles et qui souvent nous transcendent Qui rend tant de nos semblables heureux mais aussi quelquefois bien malheureux Ce mot magique, ce mot symbolique, c’est amour » Comme le dit si bien la chanson, elle court, elle court, la maladie d’amour » Qui n’a pas déclamé sa flamme en l’utilisant comme un appât trop souvent ? Quelques fois par pudeur il est chuchoté tendrement D’autres fois il est crié, hurlé pour que la personne concernée n’en doute pas Certains lorsqu’ils l’évoquent, l’écrivent avec un petit a » Peut-être pour signifier qu’il s’agit d’un amour » éphémère Une aventure sans lendemain qui laissera un goût amer D’autres l’habilleront d’un grand A » pour évoquer une grande histoire Qui s’inscrit dans la durée et restera dans leur mémoire Et puis, il y a ceux qui comme nous tous Mamanges et Papanges L’écrivent en majuscule lorsqu’il s’agit de faire état de nos sentiments pour nos Anges AMOUR » pour nos enfants jamais arrivés ou partis bien trop tôt Ne peut s’écrive qu’en lettre capitale pour rendre le mot encore plus beau Il ne peut se coucher attaché sur le papier, il faut prendre soin de décomposer le mot Pour définir cette émotion à l’origine désormais de tous nos maux » qui rime avec toujours, » que nous prononcerons à l’infini » pour nos enfants absents reflète plus qu’un sentiment, c’est un état d’esprit C’est une transformation de soi qui nous élève vers celui ou celle qui n’est plus là Plus visible à nos yeux, mais si présent en nous, les oublier nous ne le pouvons pas Alors chaque jour qui passe, nous vivons intérieurement avec cet » de nos chers disparus Ainsi, le mot a pris plus de force, il s’est intensifié, béatifié, incontournable pour nous il est devenu C’est ainsi que je me suis permis d’accrocher à chaque lettre qui compose le mot, le terme qui correspond à mon ressenti Mon sentiment profond et personnel de père fasse à cette injustice, dont m’a gratifié la vie Ange. Manque. Orphelin. Unicité. Révérer » pour moi tu n’es plus seulement un joli mot utilisé sur cette terre, par des êtres vivants pour exprimer leurs sentiments » tu représentes bien autre chose désormais et qui de l’intérieur se propage, se ressent » tu es ce petit Bébé qui n’est jamais arrivé, tu es ce petit Enfant parti trop tôt, tu es cet Adolescent innocent dont nous garderons éternellement l’image » pour moi désormais tu es intemporel, tu es universel, alors franchi l’atmosphère et dépose toi délicatement dans ce monde où se trouvent nos Anges Seul l’ peut nous transporter dans une autre dimension Un petit Message de Thomas SpiderThomas pour sa Maman Chérie, Ma petite Maman, j’ai pris un peu de temps et je te prie de m’excuser Mais il me fallait un minimum de repos avant de pouvoir me manifester J’ai décidé de t’adresser ce petit mot, pour dissiper un peu tes maux Tant je ressens ta douleur et ton chagrin de là-haut N’y tenant plus, j’ai arraché une de mes plumes et tremper celle-ci dans le bleu de l’azur Pour le lire il te suffit de poser ta main sur ton cœur et tu entendras j’en suis sûr C’est le seul moyen, que nous autres les anges avons, pour communiquer avec nos Mamanges Déposer sur vos cœurs nos écrits, c’est le seul canal qui peut entendre la voix d’un Ange Car le cœur d’une Maman est toujours relié à son enfant à quelque endroit où il se trouve Je crois même que cela est plus fort encore, et chaque jour qui passe tu me le prouves Le cordon de la vie ici-bas c’est coupé, mais le cordon de l’AMOUR nous relie pour toujours Oui Maman, je suis et je serais toujours ton petit enfant, ton petit thomas, ton AMOUR Le temps, la distance, l’absence ne changeront rien car nous sommes indissociables à présent Ainsi, lorsque tu regardes l’album de ma vie sur terre fais moi plaisir conjugue le verbe aimer au présent Et quand tu t’adresses à moi n’oublie pas de poser ta main sur ton cœur pour que je puisse te répondre Et quand tu le veux, sans revêtir l’habit de Spiderman, je déploierai mes ailes d’ange pour dans ton cœur me fondre Ma petite Maman sois forte, j’ai besoin aussi de ta force pour grandir dans ce nouveau monde Je sais, ce n’est pas facile, mais il faut habiller ton cœur d’un peu de bleu Pour que je le ressente et me permette ainsi d’être moins malheureux Ma petite Maman je t’aime et je te le prouverais encore et surtout laisse toujours ouvert le parchemin de ton cœur pour que je puisse à tout moment y déposer mes écrits. PS j’ai fais en sorte d’éviter le texto, d’ailleurs ici le texto n’existe pas nous avons tant de moyens merveilleux à notre disposition pour communiquer avec vous tous sur terre. A ma Maman Adorée de la part de Camille ta fleur éternelle Je sais la peine qui est la tienne Je sais ta douleur quotidienne Cette souffrance d’une Maman Qui pleure le manque de son Enfant Comme je te l’entends dire très souvent On n’oublie pas on vit avec chaque jour » Comment faire autrement lorsque la vie vous a joué un sale tour Oublier, cela ne peut se faire, qui peut oublier Qu’un petit Bébé tant désiré n’est jamais arrivé Ce devait être un joli mois de mai qui devait s’annoncer Chaque année désormais ce mois là sera radié du calendrier Tout comme ce mois de décembre qui restera bien sombre Ce mois maudit qui est attaché à mon ombre Tout comme toi, ma belle Maman, je ne t’oublie pas Dix huit semaines en ton être ne s’oublient pas Ce n’est pas parce que mes yeux ne se sont pas ouverts à ce monde Que je n’ai pas dans mon petit cœur mémorisé ton AMOUR telle une ode Nul besoin d’avoir posé le pied sur cette terre pour mérité le paradis Tout au contraire, je me suis retrouvé dans le plus beau des lieux Celui des petits lutins purs, un endroit magnifique qui enchantent mes yeux Ta petite Camille, n’est pas une illusion mais une réalité dans un monde merveilleux On n’oublie pas, on vit avec », tout comme toi je n’oublie pas que j’ai une Maman Qui sur la terre parle de sa petite Camille avec tendresse, AMOUR, tant de bons sentiments Continue ma belle Maman, et surtout pas de râle dans ta voix quand tu parles de moi De là-haut je tenverrais de temps en temps de la poudre d’AMOUR rien que pour toi Ta petite Camille qui reste unie à sa Maman, à son Papa et à ses Sœurs et Frères Cette grande et belle Famille dont je suis si fière On n’ oublie pas on vit avec », nous n’avons d’autre choix… Pour la Maman de JulieEn général le printemps nous apporte un peu de gaité Après ces trois mois passés bien au chaud enfermé La végétation endormie s’éveille enfin et nous inonde de sa beauté Mais une année, ce foutu printemps ne nous a pas gâté Un mois d’avril qui laissera à tout jamais dans nos mémoires des traces indélébiles Nos cœurs de parents sont marqués au fer rouge de la perte d’une idylle Notre petite fille n’a pas pu pousser son premier cri Notre petit ange n’a pu découvrir la vie Le manque d’attention, de précaution, une faute immonde De la part de ceux qui devaient m’aider à la mettre au monde Qui nous prive à jamais de voir grandir notre petit ange sur cette terre Jamais, non jamais mon chagrin de Maman ne pourra se taire Son jolie prénom résonne dans ma tête, ma petite beauté, ma Julie Je prononce son prénom tous les jours et il sonne comme une mélodie Une mélodie d’AMOUR qui se vit, qui se pleure et qui bien souvent me détruit Mais malgré tout je reprends le dessus, pour Elodie sa sœur et Michael son frère Sans oublier celui qui souffre en silence ; son père Pour eux il me faut avancer, mais également pour ma petite Julie Je ne veux pas les voir malheureux et leur gâcher plus la vie Alors je fais souvent appel à mon Ange pour qu’elle me guide Et m’aide à comprendre le sens de cette épreuve morbide Car je ne peux concevoir que son départ soit une fin en soi C’est le début d’autre chose que je porte désormais en moi Le sentiment profond de Maman que ma Julie est dans un monde tout en couleur Inaccessible pour moi tant que je reste dans la douleur Et il est vrai que lorsque de temps en temps je souris à la vie Je ressens une immense énergie qui j’en suis certaine m’est envoyée par Julie Je n’ai d’autre pensée que des pensées d’AMOUR pour que ma petite Julie Continue de me donner cette force nécessaire pour moi, son Papa adoré, Elodie et Michael Continuer cette vie avec dans nos têtes et dans nos cœurs son Amour éternel Des Anges, Nos AngesCe n’est pas un conte de Noël, que je vais vous narrer, mais bien une réalité Il existe en parallèle de notre monde un lieu d’une indescriptible beauté Un endroit merveilleux habité uniquement par des Anges Des petits Anges, filles et garçons de différents âges On les différentie par la couleur des ailes, roses pour les filles, bleu pour les garçons Jolies robes légères pour les demoiselles et pour les petits polissons le classique caleçon Ces petits lutins malicieux n’ont pu trouver une place sur notre terre Alors ils se sont regroupés dans un pays enchanté bien loin d’être austère Il n’existe aucun clan dans ce paradis Tout ce petit monde vit en parfaite harmonie Ils passent leur temps uniquement à s’amuser, à chahuter, une récréation permanente Ils s’occupent en faisant part d’une imagination débordante Jamais ils ne s’ennuient dans cet endroit angélique Mais ces petits Anges n’oublient pas que sur terre vivent leurs parents biologiques Ainsi tous les soirs ils se réunissent autour d’un grand feu Et chacun raconte l’histoire qui les a amené en ce lieu C’est à l’occasion d’une de ces soirées qu’une idée s’est imposée Ayant connaissance de la tristesse de ceux qui ne peuvent les oublier Et qui trop souvent ne peuvent s’empêcher de pleurer Ils ont décidé d’absorber toutes ces larmes et d’en faire de beaux nuages blancs Sur lesquels sont inscrits les prénoms de tous les Papas et de toutes les Mamans Et ainsi, chaque année à la période du grand froid, ils percent les nuages immaculés Qui laisse s’échapper une poudre blanche, un mélange d’Amour et de Pureté Celle-ci se répand sur notre terre et va émerveiller le cœur de tous les parents désenfantés Pour le commun des mortels ici-bas, ce n’est que normalité en cette période de l’année Mais pour beaucoup de Mamanges et de Papanges la chose est vécue avec intensité La symbolique du blanc que représentent l’absence et la pureté Et que nous recevons comme un cadeau du ciel, un clin d’œil de nos petits futés Merci nos Anges de penser à nous, de nous faire comprendre par certaines manifestations que l’AMOUR est plus fort que tout Pour la Maman d'Elora Ma petite Maman, c’est ta petite Elora, ta fleur, ton immortelle pensée Je viens te donner de mes nouvelles du monde dans lequel je me suis posée Un monde merveilleux, ma belle Maman, un monde où le soleil ne se couche jamais Un endroit féerique, que je partage avec tant d’autres Enfants Ce lieu où nous avons la possibilité de voir tous nos parents Je reçois de là haut ta tristesse, ta souffrance tes éternelles interrogations Sur mon apparence d’aujourd’hui et sur mon évolution Alors, je vais te faire un rapide portrait de ce que je suis devenue depuis Comme tu te le sais de belles ailes ornent mon corps d’Ange que je suis Difficile de te décrire la couleur de mes cheveux dans ton monde cette couleur n’existe pas C’est une couleur magnifique qui fait ressortir mes beaux yeux tout comme ceux de Papa Il n’est pas anodin lorsque tes paupières se ferment, que mon visage t’apparaisse sans trêves Je suis bien telle que tu me vois dans tes rêves Ne perds surtout jamais espoir, jamais tu ne dois douter de ma présence en toi Tu ne m’a pas perdu tout au contraire, Je suis ici, là bas et dans ton cœur à la foi Les Anges ont cette faculté, ce pouvoir d’être partout Et sans cesse lorsque je viens te voir je te fais mille bisous Je sais que tu ressens alors à cet instant une étrange sensation Tu ne sais pas toujours l’expliquer, prêtes y plus d’attention Ce picotement sur tes joues très souvent et oui Maman ! C’est moi Je t’aime, comme tu m’aimes, nos cœurs ne font qu’un Je t’envoie chaque jour mon AMOUR, mon parfum Imprègnes toi de moi comme je m’imprègne de toi Ne doute jamais de mon AMOUR, confiante il faut que tu sois Ecoute-moi de l’au-delà te dire tendrement je t’AIME Maman C’est un mois difficile, le mois de décembre car j’effeuille les jours et je me souviens, je me souviens comme si c’était hier, rien ne s’efface et rien ne s’effacera jamais ta Maman A notre ANGE Jérôme qui en nous pour l’éternité repose Encore une année, un Noël sans toi Sans aucune saveur encore une fois Encore de bien tristes fêtes Nous les subirons avec ton image dans nos têtes Comme chaque année, nous revivrons celles d’antan Merveilleux moments, inoubliables instants Ne pas oublier, ne rien oublier c’est désormais notre quête Revenir en arrière nous en sommes éternellement adepte Rebrousser chemin et revivre ce qui a été notre vie d’avant Cinq ans aujourd’hui que tu nous manques physiquement Cinq années maintenant que dans nos cœurs tu es encore plus présent Nous n’avons d’autre possibilité que de subir le temps Ton visage jamais ne pourra jaunir Nous le préservons en nous pour entrevoir notre avenir Vivre ou plutôt survivre en t’imaginant à nos côtés Vivre dans l’imaginaire c’est notre quotidien désormais Te faire exister pour que passent encore les années Avant que tu ne viennes nous chercher Te retrouver pour vivre dans l’au-delà Cette vie qui s’est refusée à nous ici-bas Encore un Noël avec ta photo au pied du sapin Encore un Noël synonyme de chagrin Reçois tout notre AMOUR toi qui guides nos pas Ce monde me ronge Je suis assis sur ce banc, prés du lieu où tu reposes, le visage grave Le regard dans le vague et mon esprit qui divague Je surfe sur cette vie et le mal me gagne Cette vie qui ressemble au bagne J’ai revêtu mon âme d’une plaie qui me ronge Je n’ai plus de rêve, je n’ai plus de songe Je glisse, imperméable à toute sensation qui peut me faire du bien Je m’enfonce, je m’enlise dans un monde qui ne m’apporte plus rien L’insupportable limite que je sens poindre comme une délivrance Me tente, me réclame pour qu’enfin cesse cette souffrance Faire un bras d’honneur à ce monde et franchir le pas Ce monde dans lequel trop souvent je ne me reconnais pas Je suis là assis sur ce banc en ce jour de Noël et je pleure du délit que je viens de constater La belle composition, que nous avions déposé sur ta tombe avec maman, quelqu’un s’en est emparé Voler un présent sur la tombe d’un Enfant, comment peut-on manquer autant de compassion? Cette belle composition qui prône certainement sur la table d'un réveillon comme décoration Appréciés par tous les convives qui ne se doutent du lieu d’où elle provient Je suis là assis ce banc et je pleure d’appartenir à ce monde qui n’a aucun respect pour des parents dans le chagrin Toi, mon fils, tu peux peut-être pardonner, ta mère et moi ne le pourrons jamais Une nouvelle année Chaque année la même cérémonie, chaque année la même ironie Tous ces gens qui s’embrassent, tous ces gens qui s’enlacent Inconnus d’hier, amis d’aujourd’hui dont tous sont si fiers Tous ces verres remplis de bulles, qui se lèvent dans le crépuscule Un chiffre s’efface, un autre prend sa place Une nouvelle année, des jours à passer Des saisons qui déboulent, des couleurs qui nous chamboulent Je fais un rêve; que cette communion d’une nuit S’inscrive pour tous les êtres à l’infini Que nos joies, nos rires et nos pleurs trouvent une âme sœur Pour simplement vivre dans l’harmonie du coeur A Corine qui n'a pu donner un prénom à son enfant Notre premier enfant, notre premier bébé La cigogne n’a pas voulu dans notre couple le déposer Nous l’avons tant attendu, tant désiré Nous n’avons dans nos têtes que des dates, des souvenirs enfouis Qui font références à toutes nos espérances évanouies Nous n’avons pas eu la possibilité de lui donner un prénom et cela me hante Je cherche sans cesse celui qui lui conviendrait pour qu’enfin je le chante Et l’inscrire en lettre d’or sur mon cœur de Mamange Pourquoi ne pas t’appeler tout simplement Ange» ? C’est selon moi le plus beau des prénoms Qui est mis en musique et accompagne tant de chansons Un Ange est immortel, comme l'AMOUR d’une mère Un Ange est éternel comme les pensées d’un père AMOUR et Pensées qui guident nos jours et nos nuits Dois nous faire avancer en pensant fort à lui Ange, Mon Ange désormais je te fais exister Dans l’immensité de mon cœur pour l’éternité Ange, Mon Ange tu as un nom Ange, Mon Ange tu as maintenant un prénom Pour la Maman d'INAYALa vie se consomme comme un bonbon avec gourmandise On ne pense jamais qu’elle peut nous surprendre par traitrise Les joies sont souvent remplacer par les larmes Face au chagrin, c’est notre seule arme Lorsque la vie nous confisque notre plus belle envie Celle de donner simplement la vie Une arrivée qui ne se fera pas Une plaie qui jamais ne se refermera Une souffrance qui nous laisse à terre Moi la mère et lui le père Comment se relever après un tel drame ? Le seul moyen c’est de penser fort à l’AMOUR Que le petit Ange garde en lui pour toujours Le fait de l’avoir aimé et de continuer surtout à l’aimer Ne peut que vous faire avancer Il faut penser à votre Ange avec le cœur et l’âme Pour qu’avec INAYA une communion s’installe Il faut vivre pour vous, même si certains jours cela parait impossible Il faut vivre pour ceux qui sont autour de vous autant que possible L’ange qui n’est pas venu le jour attendu est plus présent que l’on ne croit Et jamais sur son prénom il ne faut mettre une croix Il suffit de poser dans votre cœur un minimum de bonheur Et vous sentirez sa présence, une certaine chaleur L’AMOUR n’a pas de limite sur l’autoroute du cœur Votre Ange INAYA ne vous a pas quitté Elle est en vous pour l’éternité Etre deux c'est la seule façon de redémarrerMoi le père qui dans l’ombre attend patiemment Avec fierté je regarde au fil des semaines s’arrondir ta maman Je reçois chaque jour qui passe une cargaison de sentiments Que je cache dans une poche secrète dans l’attente du bon moment Quand celui-ci survient, j’ai du mal à déverser tout ce bonheur Alors dans la rue je souris sans retenue aux promeneurs Qui ne comprennent pas la raison de ces sourires ravageurs Et lorsque par malheur les choses tournent mal C’est dans un coin que je me réfugie pour hurler mon mal Ce que je ne veux montrer aux autres C’est en cachette que je l’exprime car bien souvent la douleur est trop forte Je me barricade, je me vêtis d’une carapace qui n’arrange pas les choses Alors que le seul endroit qui apaiserait ma peine ce sont les bras de sa maman Celle qui dans son ventre a chéri pendant des mois notre enfant Celle avec qui je pourrais évacuer cette souffrance qui me ronge de l’intérieur On ne peut s’en sortir seul, il faut être deux pour reprendre le chemin du bonheur Il faut savoir se lâcher dans les moments de joies comme dans le malheur S’accorder des moments de partage et parler de notre Ange Etre deux et se souvenir, être deux et ouvrir les portes de cette cage Fusionner pour mieux exister et vivre avec cette épreuve Pour que la vie qui nous reste à accomplir ne soit veuve Etre deux dans ces moments douloureux c’est notre seul salut Etre deux, plus fort encore pour que les larmes s’atténues Exister, avec dans nos cœurs de parents l’AMOUR éternel d’un Ange qui nous pousse à aller de l’avant La vie est un mystère où chacun trace son chemin, La mort une inconnue dans laquelle nous refusons de nous projeter, La vie nous nourrie de peine et de pain, La mort, sournoise, attend son heure pour nous amener. La vie n’a de sens que si nous cherchons à nous élever, La mort n’a d’autre but que de nous enlever, La vie n’a de saveur que le partage avec nos semblables, La mort n’a d’ambition que de nous rendre impalpables. La vie est un cadeau merveilleux venu du ciel, La mort une finalité qui nous expédie dans un ailleurs, La vie a le goût et la couleur du miel, La mort lorsquelle s’approche nous rend parfois meilleur. La vie est un mystère que nous essayons d’élucider, La mort une inconnue que nous devons apprivoiser, La vie lorsqu’elle est remplie est un aboutissement de soi, La mort lorsqu’elle surgit un achèvement de soi. La vie n’est peut-être pas ce que l’on en dit, La mort n’est peut-être pas ce que l’on prédit, La vie sur cette terre n’est peut-être qu’une étape, Que la mort prolonge au-delà de ce monde qui nous happe, C’est pourquoi, je trinque à la mort d’ici et à la vie d’ailleurs L'écriture à deux mains Communiquer avec son Ange, rien de plus facile Il suffit de se connecter pour rendre la chose tactile Nul besoin de pianoter sur le clavier Simplement poser la plume sur le papier Notre Ange prend le relai pour s’exprimer Et les suites de mots vont s’enchainer Une écriture à deux mains la notre et la sienne Ces mots que l’on pensait ne pouvoir écrire et qui s’enchaîne Comme les maillons d’une chaîne Indescriptibles pensées venant d’un autre que soi Mais qui sans nous ne trouveraient leur voie Il faut une communication d’âme à âme pour rendre la chose faisable Rien n’est plus beau que de rendre les mots palpables Ces mots qui nous font tant de bien Et qui agrémente notre quotidien Nous font comprendre que rien n’est fini Tout au contraire c’est le début d’une autre vie Que l’on partage sans retenue Et qui met notre coeur à nu Capable de recevoir ainsi La signification de ses écrits L’AMOUR d’un Ange fait des miracles Qui nous transporte jusquau pinacle L’écriture peut se révéler comme une thérapie Si elle se fait avec l’aide de celui que l’on chéri L’hiver, le blanc et Jérôme mon Enfant Ce matin, la campagne est recouverte d’une poudre blanche La neige sest déposé sur le sol, les arbres et sur les branches Elle est tombée en abondance dans la nuit Elle s’est tapie délicatement sans faire de bruit Je ne distingue la route que je fais si souvent à pied Je ne reconnais ce paysage qui m’est pourtant si familier Impression étrange d’être dans un autre pays Un lieu inconnu que je scrute à l’infini Je plisse les yeux sous l’effet de cette luminosité qui m’éblouie Le temps semble s’être arrêté, aucun bruit, aucun signe de vie Je m’accorde une pause et profite de cet instant qui me ravi Nous sommes en cette période qui invite au sommeil la nature Cette saison qui orne la végétation endormie d’une toute autre parure Je contemple, ce que mère nature a de plus pur Ce blanc manteau qui s’étire au fur et à mesure Je laisse mon regard et mon esprit s’émerveiller Je me laisse tout simplement aller Je ne dis mot, d’ailleurs que puis-je dire ? Devant ce paysage somptueux qui m’apaise, qui m’aspire Le ciel et la terre se confondent, aucun horizon ne se dégage A perte de vue le blanc est à la page Ce que je perçois, gomme un instant cette noirceur Qui jusqu’à présent tapissait mon cœur Que le manque de mon Ange ne peut laisser en paix Que le manque de mon Ange ne pourra occulter Mon cœur est à l’image de ce paysage, blanc, de l’absence de mon enfant La Voix de mon Ange, La voix de mon Ange tape à la porte de mon cœur Il veut me dire des choses pour apaiser ma douleur A peine ouverte je reçois alors un flot d’AMOUR immense Indescriptible émotion qui me met en transe Ce que je ressens me transporte, me transforme Cette douceur qui se dépose, cette sensation énorme Qui remplie mon cœur de tendresse, de caresses Qui habille mon âme de papier de soie Sur lequel est écrit l’AMOUR qu’il a pour moi Je suis tout autre, je me laisse envahir par mon Ange Je me laisse engloutir tout entier sans opposer la moindre résistance Je suis ailleurs, je suis un autre, je suis celui qu’il veut que je sois Le temps qu’il déverse son AMOUR dans lequel je me noie Triste monde Depuis que toi, mon fils, tu as quitté ce monde pour un ailleurs que j’espère meilleur Je prends le temps de regarder ce monde s’agiter Et ce que je vois et entends me fait hurler Je me sens de plus en plus marginalisé Sur mon propre sol, je me sens comme un étranger Que personne ne comprend, que personne ne veut entendre Concernant un sujet que je suis trop seul à défendre Et pourtant ce combat que je mène est un beau combat Un sacerdoce que depuis cinq ans je ne lâche pas Celui des droits de tout individu et notamment d’enfants Face à la maladie et sur lesquels trop souvent on dépose un voile blanc Je ne reçois que compassion mais c’est bien autre chose que j’attends On politise, on people lise» tout, et on humanise plus rien En continuant de la sorte on se prépare de terribles lendemains Les associations pourtant nombreuses ferment les portes Et cela, je ne le conçois, je ne le supporte Que penser également du silence de tous ces politiques Qui ne bougent, qui s’entêtent telles des bourriques A fermer les yeux, à ne penser qu’à eux Notre société n’est qu’artifice, attention qu’elle ne prenne feu Toute cette agitation stérile me déprime Un fossé se creuse et ce qui se dessine c’est une profonde abîme Le besoin alors de larguer les amarres, sortir les voiles, fuir tout ce tintamarre Partir très loin et tenir bon la barre Voir d’autres horizons, ne pas me retourner, simplement me souvenir Qu’un Ange désormais me fait prendre conscience que la vie est un leurre Dont certains profitent pour notre plus grand malheur Nous ne sommes maîtres de rien Et surtout pas de notre destin Nous devons suivre un chemin qui n’est plus le bon Nous sommes tombés dans un piège dont nous ne nous relèverons Solidarité, respect, humilité, fraternité, équité, dignité et tant d’autres bons mots Sont devenus des valeurs abstraites, qui ne font qu’accroître nos maux Je n’ai plus de rêve, je n’ai plus de vœu J’ai tout épuisé, je n’ai plus que des larmes dans les yeux Face à cette inconscience de la part de ceux qui nous dirigent Face aux mépris de ceux censés protéger nos enfants contre le pire Devant ce gâchis, cet inconcevable et abominable abandon Difficile, impossible d’accorder le pardon Je ne sais pourquoi je continue à me battre contre ces moulins à vents Mais je ne me sens pas capable de rester indifférent sur le sort de tant d’enfants Alors malgré tout je poursuis ma quête, j’affronte ce monde silencieux Avec pour seul espoir qu’un jour ce combat soit victorieux Après avoir perdu la bataille pour sauver mon fils, gagner enfin cette guerre contre le déni De la part de Mélanie pour Roselyne sa Maman chérie En ce jour du 16 janvier, Maman pour ta petite Mélanie Chasse de ton esprit cette mélancolie Cette date anniversaire, je sais, te rend si malheureuse Ces pensées qui font saigner cette plaie qui se creuse Qui t’empêche de pouvoir communiquer avec moi Alors que j’ai tant de choses à te dire pour que cesse ton effroi Je ne peux être en toi si tu fermes ton cœur et ton esprit Ouvre-toi toute entière que je puisse te transmettre mon énergie Sois plus sensible aux signes que je t’adresse sans cesse Pour te dire combien je t’aime, mes je t’aime » qui sont autant de caresses Pour atténuer cette souffrance qui ne te lâche pas et que tu ne veux lâcher Laisse-moi faire, laisse-toi faire et tu entendras ma petite voix de fée Te dire que la vie ne s’arrête pas en ce monde ou tu vis Que la vie continue dans ce monde où je suis Deux mondes parallèles qui peuvent communiquer Il suffit simplement de le vouloir avec force, avec ténacité Donne-moi la possibilité d'irriguer ton cœur de mon AMOUR Pour cela, pas de chagrin, ne m’envois que de belles pensées chaque jour Je te suis pas à pas, je partage chaque moment de ta vie Laisse en toi entrer ma lumière pour que je t'irradie Si toi tu ne me vois, moi en toi, je vois et je vis Ta petite Mélanie qui ne veut pas entendre sangloter sa Maman chérie Dis-moi Dis-moi que la vie ne s’arrête pas en ce monde attristant Dis-moi que tu n’es pas parti définitivement Dis-moi que tu existes, différent peut-être, mais que tu existes vraiment Dis-moi que la vie se poursuit ailleurs que sur cette terre Dis-moi que je suis et que je reste ton père Dis-moi que tu es heureux malgré cette séparation Dis-moi que tu me vois et que tu vis mes émotions Dis-moi tout, ne me laisse pas avec mes éternelles interrogations Répond-moi je t’en prie j’ai besoin de savoir Pour que s’installe en moi l’espoir de te revoir Je ne peux m’enfermer sans cesse dans ce purgatoire Illumine tout mon être du timbre de ta voix et chasse définitivement mon désespoir Que le chemin qu’il me reste à parcourir soit exempt de ronces Que s’ouvre enfin une autre voie parsemée de tes réponses Souvenirs Il est un endroit dans lequel je me réfugie très souvent à l'abri du tumulte et des gens, Un lieu doté d'un seul fauteuil dans lequel je m'installe confortablement Se déploie alors un immense écran blanc où se projettent des images d'antan La bobine du film de ma vie défile, un long métrage émouvant Qui me fais revivre tous ces merveilleux et inoubliables moments Rejouer ainsi des scènes de ma vie, sans les dénaturer un seul instant Rejouer encore et encore ce qui n'est plus et qui me manque tant Aucun entracte possible, ces moments là se vivent intensément Etre pendant quelques minutes, quelques heures hors du temps présent Mon esprit est devenu une salle de projection que j'ai du mal à quitter Difficile d'arrêter ce festival d'images qui me renvoie dans un monde que j'ai tant aimé Nostalgie d'un temps révolu qui me manque et que jamais je n'oublierais Un Ange a laissé dans ma mémoire des instants de vie qui ne peuvent s'effacer Le cœur au centre de nos pensées Le cœur n’est pas qu’un organe alimenté par le seul flux sanguin Le cœur est aussi un réceptacle où s’entreposent joies et chagrins Laissant des marques, des traces, des stigmates dont on ne soupçonne la portée Qui nous font avancer, qui nous font stagner, qui nous font reculer Incessants mouvements d’humeurs qui rythment les battements du cœur Il s’emballe, il s’enflamme au moindre bonheur Il se déchire, se brise lorsque survient un grand malheur Lorsqu’un enfant s’envole, c’est lui qui est frappé Blessé, meurtri, il sera éternellement atrophié Un trou immense ampute désormais les belles pensées Une plaie béante qui jamais ne cicatrisera Qui jamais, au grand jamais ne se refermera Le cœur est à l’image de nos ressentis, de nos sensations Le cœur ne ment, le cœur ne triche, Il est au centre de nos émotions Il est devenu une terre d’accueil dans laquelle nous nous réfugions Pour méditer et communiquer avec celui ou celle qui nous manque tant Notre Ange, notre Enfant, notre Chair, notre Sang Les seuls ingrédients qui alimentent à présent nos cœurs de Parents Ce sont les belles images et les douces voix de nos Enfants Que seul le cœur d’une Mamange, d’un Papange, peuvent voir et entendre Ce cœur où il est bon et nécessaire de s’étendre La voie du cœur est le seul chemin à emprunter pour retrouver un minimum de bonheur Avoir foi en son cœur pour que s’allume cette nécessaire source de chaleur Haut les cœurs, toujours plus haut pour être en symbiose avec nos petits cœurs ailés Cœur contre cœur pour que jaillissent nos plus belles pensées Tel un arc en ciel qui annonce l’accalmie Après la pluie des larmes, poindre un peu de soleil pour affronter la vie Cœurs d’Enfants, d’Adolescents, dans nos Cœurs de Parents vous êtes bien présents Cette vie devant soi Les heures filent, les jours s’enfilent, les mois s’effeuillent La vie s’écoule monotone et comme toujours la peine me ronge Je me laisse aller, je me laisse dominer par mes sentiments Je tourne, je vire, je ne suis qu’une ombre parmi les hommes Le vide, le manque, l’absence de mon fils me transperce le cœur et l’esprit Je fais semblant, toujours semblant je vis dans un monde parallèle Dans un monde irréel, un monde imaginaire nécessaire à ma survie Je sombre souvent lorsque le temps est gris Je n’attends qu’une chose c’est une éclaircie Je vis les yeux sans cesse levés vers le ciel Cet univers où se trouve désormais un Ange, mon Ange Je me pose tant et tant de questions sur cette existence Des questions qui me reviennent comme un boomerang Je voudrais comprendre cette épreuve qu’est la perte de son Enfant Comprendre sa signification et pouvoir avancer, redémarrer Reprendre possession de mon être, redevenir vivant parmi les vivants Entrevoir avec sérénité les jours, les mois et les saisons Qui me reste à passer avant de retrouver celui qui m’attend patiemment Toi la mort Toi la mort qui a pris mon Enfant Toi la mort qui l’a drapé d’un voile blanc Tu m’as ôté ma joie de vivre Tu as gommé à jamais mon sourire Tu n’as pas seulement emporté mon Enfant Tu as pris une partie de mon être également Tu as d’un trait effacé tous mes repères Tu me fais vivre chaque jour un enfer Tu m’as retiré ce que j’avais de plus cher Tu m’as déchu de mon titre de père Tu as détruit les espérances d'une mère Tu m’as meurtri au plus profond de ma chair Toi la mort qui frappe par traitrise sans t’annoncer Toi la mort maintenant je te connais Je t’attends sans peur désormais Viens n’attend plus, viens me chercher Délivre- moi de ces mauvaises pensées Toi la mort tu es devenue ma délivrance Toi la mort fais que cesse ma souffrance Et déposes-moi auprès de mon fils bien-aimé Toi la mort, accordes-moi cette dernière volonté A vous qui pensez sans le vivre A vous, qui gambadez sur le chemin de la vie sans détours A vous, qui croquez la vie comme on déguste une pomme d’amour A vous, que je côtois les jours de labeur dans cette grande tour A vous, qui avez facilement oublié ce que la vie m’a ôté A vous, qui ne pouvez comprendre que jamais, moi, je n’oublierai A vous, qui pensez que le temps atténue la douleur A vous, qui croyez que j’ai retrouvé un minimum de bonheur J’ai envie de vous crier à la face, que rien ne s’efface Vous dire que la souffrance est tenace Malgré le temps qui passe Vous dire, que je n’ai plus les mêmes envies Que mon quotidien n’est que survie Alors, de grâce, acceptez, que de temps en temps je sois triste Acceptez, que de temps en temps je m’éclipse Acceptez que je ne sois plus celui que j’étais avant Acceptez, que je ne puisse faire toujours semblant Acceptez que je ne partage plus certaines de vos valeurs Accordez-moi au moins cette faveur Je ne vous demande pas de porter mon fardeau Ce serait beaucoup trop et cela sonnerait faux Je ne vous demande pas de vous mettre à ma place Je vous demande seulement un peu de complaisance Je vous demande de m’accorder un peu d ’indulgence Si très souvent je ne suis pas omniprésent Si par moment mon esprit est absent Absorbé par des pensées permanentes pour celui qui me manque Mon Enfant » J’attends le Printemps Dans quelques jours l’hiver cédera sa place non sans résistance Le printemps en embuscade attend le bon moment pour faire surface Réchauffer la terre mais aussi nos corps et nos cœurs Meurtris et glacés par ces mois de froideur La nature se prépare à revêtir ses belles couleurs Les oiseaux répètent en toute discrétion les chants annonciateurs Nous aussi, piaffons d’impatience pour cette nouvelle saison Ouvrir grand les fenêtres et chasser enfin l’odeur du charbon Faire rentrer de nouvelles essences pour ressentir une toute autre atmosphère Passer un grand coup de balai pour chasser les hivernales poussières Accueillir comme il se doit cette douceur pour qu’elle s’installe durablement Mettre au placard, sans aucun regret, ces lourds manteaux encombrants Ranger soigneusement, pulls, écharpes, bonnets et gants Printemps, joli printemps, je t’attends depuis si longtemps Jamais aucune autre saison je n’ai languis autant Viens irradier mon cœur de tes doux rayons de soleil Viens me sortir de cet interminable sommeil Printemps, joli printemps pointe vite ton nez Prend racine et chasse nos sombres pensées Fais jaillir les fleurs nouvelles tel un feu d’artifice Que je puisse en cueillir et les déposer là où se trouve mon fils Je t’aime mon Ange Je t’aime, tu ne dois jamais en douter Je t’aime, comme tu ne peux l’imaginer Je t’aime, avec tant de force Je t’aime et cela me renforce Je t’aime, cela m’aide à vivre Je t’aime et ainsi je te vais vivre Je t’aime, quelque soit le jour de la semaine Je t’aime et te le dire sans cesse atténue ma peine Ce verbe je le chante à toutes heures Je le déclame sans aucune pudeur Il m’apporte tant de bonheur Le conjuguer au passé le dénature Je ne peux utiliser que le présent et le futur Toi mon Ange sur le toit du monde De mes je t’aime» je t’inonde Entend, reçois c’est pour toi Que ces je t’aime » s’enracine en toi Et te fasse grandir, évoluer Dans ce nouveau monde dans lequel tu es J’aime et j’aimerai toujours ce verbe Qui jamais ne sera éphémère Dans le coeur d’un père et d’une mère

PourMon Père Parti Trop Tôt. Mon père. Je voudrais te dire ces quelques mots. J’aurais aimé te revoir plus tôt. Pour te conter mes maux. Tu as manqué à mes défauts. J’aurais aimé te serrer contre ma peau. Pour que nos cœurs battent en duo. Sache que je ne t’oublierai jamais jusqu’à te retrouver là-haut.

gil Le Samedi 10 Octobre 2009 à 2259 bambino mon ange poeme pour toi Bambino de douceur, qui m’a donné tant de bonheur, toi, qui réchauffais mon coeur, dans mes moments de pleurs. Bambino de douceur, tu as enrichis ma vie, de souvenirs tellement jolis, inscris dans le livre de ma vie, Bambino de douceur, toi, l’ami fidèle pour toujours, celui qui ne trahi jamais, quelque soit le parcours. Après un dernier regard, qui m’enlevait mon dernier espoir, tu m’as donne un dernier baiser, comme pour me dire, je dois te laisser. Tu es parti doucement, et j’ai revu tous nos moments, te voilà envolé, vers cette fameuse éternité. Va mon coeur, mon bonheur, tu as gagné ta place au paradis, et si jamais tu croise un ange, laisses toi donc emporté, dans les profondeurs du firmament, Bambino de douceur, n’oublies jamais ta maman, un jour tu verras, je reviendrai auprès de toi. Au revoir mon coeur, au revoir mon grand bonheur, au revoir petit ange, au revoir mon bébé, au revoir Bambino de douceur, je t’aime et t’aimerai toujours,tu est graver a vie dans mon coeur repose en paix p’tit ange …….

MJest partit trop tôt. Moi non plus je n'y croyais pas le jour de son décès, ce n'est que le lendemain que j'ai vraiment pris conscience de son décès :(. Il a tellement fait pour nous ses fans C'était un homme extraordinaire. C'était un génit, personne ne pourra le remplacer. Pour ma meilleure amie Un etre adorable est entre dans ma vie Je crois meme que c'etait un lundi, Au premier regard j'ai vite compris Qu'une amitie eternelle venait de prendre vie, Au premiers mots je l'ai sentie Cette pensee envahir mon esprit. Chaque jour un nouveau defis, Lui donner plus d'amitie qu'aujourd'hui. Elle fait partie des soleils de ma vie Et des étoiles de mes nuits, Sa beaute chaque jour m'eblouis Et ses conseils guident ma vie. C'est pour toi ma meilleure amie Que j'ai ecris ce recit Je t'adore pour la vie Toi ma p'tite Noemie cherie... Posted on Wednesday, 25 May 2005 at 234 PMEdited on Thursday, 09 June 2005 at 120 PM
Etle 16 septembre aprés un examen on te découvre un probleme au cerveau , et que pour toi cela etait la fin , Ta maman te fit baptisé a l'hopital , et a 13h tu parti rejoind les ange dans les bras de ta maman . Ont découvrira plus tard que c'est a cause des gynéco que tu est partit car il n'avaient jamais fait d'éxamens asser précis .
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Tum'as laissé seule ici. Mais partout tu me suis. Ou tu es j'irais te chercher. Ou tu vis je saurais te trouver. Ou tu te caches laisse moi deviner. T'es surement Baie des Anges. Surement labas mon ange. Il manque un temps a ma vie. Il manque un rire je m'ennuis.

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