PrierDieu pour lutter contre les forces du mal; Priùres aux anges gardiens pour trouver l’amour et son ñme sƓur; Puissantes priùres de protection pour la paix et l’amour dans la famille; Prier l’ange Gadiel pour attirer l’argent et la chance en argent; Priùres pour garder son couple, sauver son mariage en cas de rupture amoureuse

Paul Fuzier Les sous-titres ont Ă©tĂ© ajoutĂ©s par Bibliquest ; ME 1955 p. 281, 316 et ME 1956 p. 29, 65 Table des matiĂšres 1 - CaractĂšres de l’homme de Dieu selon 1 TimothĂ©e - La justice - La piĂ©tĂ© - La foi - L’amour - La patience - La douceur d’esprit 2 - Bonnes Ɠuvres - Enseigner - Convaincre - Corriger - Instruire dans la justice - Jeune Ăąge et formation 3 - Exemples de l’Ancien Testament - L’homme de Dieu de 1 Sam. 3 - Samuel, David - L’homme de Dieu de Juda en 1 Rois 13 - ÉlisĂ©e - 2 Rois 4 — ÉlisĂ©e et la Sunamite - 2 Rois 5 — ÉlisĂ©e et la guĂ©rison du lĂ©preux - 2 Rois 6 — ÉlisĂ©e et les fils des prophĂštes - 2 Rois 6 — ÉlisĂ©e et les dĂ©livrances d’IsraĂ«l - 2 Rois 8 — ÉlisĂ©e et la Sunamite - 2 Rois 8 — ÉlisĂ©e et HazaĂ«l - 2 Rois 13 — ÉlisĂ©e et le roi Joas - MoĂŻse et Élie - PriĂšre, intercession - BĂ©nĂ©diction, ministĂšre de la Parole, intercession et adoration — MoĂŻse - GrĂące et puissance, et parole de jugement — Élie - Souffrances - Juges 13 — l’Ange de l’Éternel, manifestation de Christ 1 - CaractĂšres de l’homme de Dieu selon 1 TimothĂ©e Un homme de Dieu, c’est celui qui, dans ce monde, manifeste les caractĂšres du Dieu qu’il connaĂźt et auquel il a le sentiment d’appartenir tout entier. Vivant prĂšs de Lui, nourri de toute parole de Dieu », il a la connaissance de sa pensĂ©e et peut ainsi parler et agir de sa part. L’inestimable privilĂšge de pouvoir ĂȘtre ici-bas un homme de Dieu est-il rĂ©servĂ© seulement Ă  des chrĂ©tiens ĂągĂ©s ? L’ennemi le laisserait croire Ă  de plus jeunes dans la foi. Mais c’est prĂ©cisĂ©ment Ă  celui auquel il Ă©crivait Que personne ne mĂ©prise ta jeunesse », que l’apĂŽtre dit aussi Mais toi, ĂŽ homme de Dieu, fuis ces choses, et poursuis la justice, la piĂ©tĂ©, la foi, l’amour, la patience, la douceur d’esprit ; combats le bon combat de la foi ; saisis la vie Ă©ternelle, pour laquelle tu as Ă©tĂ© appelĂ© et tu as fait la belle confession devant beaucoup de tĂ©moins », lui montrant ainsi ce que l’homme de Dieu doit fuir, d’une part, et poursuivre, de l’autre. Il convient de fuir tout ce qui est opposĂ© au caractĂšre de Dieu et de poursuivre ce qui Le glorifie, de maniĂšre Ă  prĂ©senter Dieu au monde et parmi les saints 1 Tim. 412 et 611, 12. Fuis ces choses », celles dont il est question dans les versets 10 et 11 de ce chapitre 6 de la premiĂšre Ă©pĂźtre Ă  TimothĂ©e. C’est l’ennemi qui place dans le cƓur du croyant le dĂ©sir de devenir riche », de possĂ©der ce que Dieu ne lui a pas donnĂ©, et c’est une racine de toutes sortes de maux » ; cela peut mĂȘme conduire Ă  l’abandon du christianisme puisque l’apĂŽtre ajoute ce que quelques-uns ayant ambitionnĂ© ils se sont Ă©garĂ©s de la foi, et se sont transpercĂ©s eux-mĂȘmes de beaucoup de douleurs ». L’homme de Dieu est invitĂ© Ă  fuir ces choses », rĂ©alisant que la piĂ©tĂ© avec le contentement est un grand gain » 1 Tim. 66. GuĂ©hazi, le serviteur d’ÉlisĂ©e, n’a pas su fuir ces choses » ; bien au contraire, son dĂ©sir de possĂ©der des richesses Ă©tait tel qu’il est allĂ© jusqu’à mentir pour se faire donner par Naaman une partie des biens que ce dernier remportait en Syrie. Aussi, ÉlisĂ©e a-t-il dĂ» lui annoncer ce terrible jugement La lĂšpre de Naaman s’attachera Ă  toi et Ă  ta semence pour toujours » 2 Rois 527. GuĂ©hazi en a fait la triste expĂ©rience, c’est une racine de toutes sortes de maux que l’amour de l’argent » ; il s’est transpercĂ© lui-mĂȘme de beaucoup de douleurs ». Quel contraste avec son maĂźtre ! Vrai homme de Dieu, ÉlisĂ©e a refusĂ© les biens que lui apportait Naaman. Le fait qu’il se tenait devant l’Éternel » lui donnait la puissance nĂ©cessaire pour fuir » et pour poursuivre ». Car, s’il est des choses qu’il convient de fuir », il en est d’autres que l’homme de Dieu doit poursuivre », 1 TimothĂ©e 611 nous l’a montrĂ©. Six d’entre elles sont Ă©numĂ©rĂ©es dans ce passage - La justice Il s’agit de la justice pratique et non de la position de justice oĂč nous a placĂ©s l’Ɠuvre de Christ, saisie par la foi. La seconde nous est acquise, nous n’avons pas Ă  la poursuivre » ; le croyant en est revĂȘtu devant Dieu. La justice qu’il est exhortĂ© Ă  poursuivre », c’est celle dont la pratique le revĂȘtira comme d’une cuirasse » en prĂ©sence de l’adversaire cf. Éph. 614. Le bon Berger conduit ses brebis dans des sentiers de justice » Ps. 233, des sentiers oĂč le mal n’entre pas, de sorte que le croyant peut marcher, au milieu du monde oĂč le mal rĂšgne, dans un chemin de vraie sĂ©paration du mal. Il est appelĂ© Ă  y suivre fidĂšlement Celui qui a aimĂ© la justice » et haĂŻ la mĂ©chancetĂ© », c’est pourquoi » son Dieu l’a oint d’une huile de joie au-dessus de ses compagnons » Ps. 457. Si nous dĂ©sirons l’imiter quelque peu, il nous faut poursuivre la justice », la pratique de la justice dans nos rapports et avec les saints et avec le monde. - La piĂ©tĂ© Ce n’est pas une source de gain », Ă©crit l’apĂŽtre Ă  TimothĂ©e, c’est un grand gain » si elle va de pair avec le contentement. Il n’y a alors dans le cƓur aucun dĂ©sir de devenir riche », dĂ©sir qui conduit Ă  la ruine morale, si pas toujours matĂ©rielle. La piĂ©tĂ© est un sentiment qui est tout Ă  la fois de crainte et de confiance un homme pieux introduit Dieu dans tous les dĂ©tails de sa vie, craint de Lui dĂ©plaire et se confie en Lui pour tout. Dans un sentier de justice », c’est ce que le fidĂšle est invitĂ© Ă  poursuivre » et il ne peut le faire que dans un tel sentier, c’est pourquoi il est parlĂ© de piĂ©tĂ© aprĂšs qu’il a Ă©tĂ© question de justice. - La foi Ce n’est pas de la foi pour le salut de l’ñme qu’il s’agit ici ; l’apĂŽtre veut parler de la puissance spirituelle qui est nĂ©cessaire pour jouir des choses invisibles et Ă©ternelles et ces choses sont toutes en Christ, Objet de la foi. Quel contraste entre celui qui veut devenir riche », qui court aprĂšs les choses qui se voient » et qui sont pour un temps » et celui qui, occupĂ© des choses qui ne se voient pas » et qui sont Ă©ternelles », poursuit la foi » ! - L’amour Poursuivez l’amour », Ă©crivait l’apĂŽtre aux Corinthiens 1 Cor. 141, quand il les enseignait au sujet de l’exercice des dons dans l’assemblĂ©e. Qu’il s’agisse de l’édification de l’assemblĂ©e, de nos rapports personnels avec les frĂšres ou avec le monde, poursuivons l’amour, un amour vrai, insĂ©parable de la saintetĂ© et de la vĂ©ritĂ©. Par-dessus tout, poursuivons l’amour que nous avons Ă  manifester et envers Dieu et envers Christ, poursuivons-le dans l’obĂ©issance Ă  la Parole, obĂ©issance qui en est la vĂ©ritable preuve Jean 1421 et 23 ; 1 Jean 52. - La patience C’est la vertu chrĂ©tienne qui, a-t-on dit si justement, est la plus difficile Ă  rĂ©aliser. On peut marcher avec fidĂ©litĂ© un jour, quelques jours, mais qui poursuivra sans se lasser, patiemment, jusqu’au bout ?
 Si l’énergie est nĂ©cessaire pour rejeter tout fardeau et le pĂ©chĂ© qui nous enveloppe si aisĂ©ment », la patience l’est tout autant pour courir la course qui est devant nous » HĂ©b. 121. Patience et souffrance vont gĂ©nĂ©ralement de pair et certes, poursuivre la justice, la piĂ©tĂ©, la foi, l’amour implique la souffrance, qu’il s’agisse de connaĂźtre quelque chose de l’opprobre de Christ, de sentir notre faiblesse pour poursuivre », d’éprouver l’hostilitĂ© d’un monde ennemi, qu’il s’agisse des exercices que Dieu nous dispense dans ce chemin en vue de notre formation, ou encore des infirmitĂ©s de ceux qui nous entourent, infirmitĂ©s que nous avons Ă  supporter. - La douceur d’esprit On pourrait poursuivre » les diffĂ©rentes vertus dont l’apĂŽtre vient de parler et conserver malgrĂ© tout, en prĂ©sence de ce qui met notre patience Ă  l’épreuve, une certaine amertume qui se manifesterait tĂŽt ou tard dans notre conduite. L’homme de Dieu doit en ĂȘtre gardĂ©, il doit veiller sur son esprit et poursuivre » cette douceur intĂ©rieure qui sera vue dans toute sa marche. Si la paix du Christ
 prĂ©side dans nos cƓurs », il sera facile de la poursuivre.., avec tous » Col. 315 ; HĂ©b. 1214. C’est ainsi que le fidĂšle peut reprĂ©senter Dieu dans ce monde, parler et agir de sa part, apporter ses ressources, dire ses avertissements ou ses rĂ©prĂ©hensions, bref ĂȘtre un homme de Dieu. Il rencontrera alors inĂ©vitablement la puissance de l’adversaire, c’est pourquoi l’apĂŽtre adresse Ă  TimothĂ©e une troisiĂšme exhortation combats le bon combat de la foi ». Combattre ce combat est tout aussi nĂ©cessaire pour fuir » et poursuivre » ce qui nous est prĂ©sentĂ© an verset 11 du chapitre 6 de la premiĂšre Ă©pĂźtre Ă  TimothĂ©e, que pour maintenir la pure doctrine, la foi qui a Ă©tĂ© une fois enseignĂ©e aux saints » Jude 3. Au terme du combat, le prix proposĂ© c’est la vie Ă©ternelle en gloire TimothĂ©e Ă©tait exhortĂ© Ă  la saisir », Ă  en jouir dĂ©jĂ  par avance, et ce devait ĂȘtre pour lui un encouragement prĂ©cieux dans la lutte. 2 - Bonnes Ɠuvres Dans la 2me Ă©pĂźtre, l’apĂŽtre parle de l’homme de Dieu d’une maniĂšre peut-ĂȘtre plus gĂ©nĂ©rale que dans la premiĂšre ; dans celle-ci, il dit Ă  TimothĂ©e Mais toi, ĂŽ homme de Dieu », tandis que dans la 2me il Ă©crit 
 afin que l’homme de Dieu soit accompli et parfaitement accompli pour toute bonne Ɠuvre ». Certes, les exhortations de 1 TimothĂ©e 611, 12 sont Ă©galement pour nous, afin que nous puissions ĂȘtre nous aussi des hommes de Dieu ; Ă  plus forte raison l’enseignement de TimothĂ©e 316, 17 nous concerne-t-il chacun. Toute bonne Ɠuvre », voilĂ  ce qui est proposĂ© au fidĂšle. Ce n’est pas d’une Ɠuvre » spĂ©ciale qu’il s’agit ici, comme celle de la femme qui, entrĂ©e dans la maison de Simon le lĂ©preux avec un vase d’albĂątre plein d’un parfum de grand prix », le rĂ©pandit sur la tĂȘte de Celui qu’on allait crucifier et qui Ă©tait son Roi cf. Matt. 2610. Cette expression renferme tout ce qui est produit par un cƓur renouvelĂ©, par exemple la sympathie envers ceux qui souffrent, ou encore le support de nos frĂšres. Cela ne doit pas rester Ă  l’état de sentiment dans le cƓur mais se traduire en actes. L’action dĂ©coule de la pensĂ©e ; la pensĂ©e qui a dĂ©terminĂ© l’action peut avoir Ă©tĂ© fugitive — au point mĂȘme de paraĂźtre absente lorsque l’acte est purement instinctif, mais ce n’est pas d’actes de ce genre que nous parlons ici — ou, au contraire, longuement mĂ»rie quoi qu’il en soit, elle a prĂ©cĂ©dĂ© l’acte. Il faut donc que nos pensĂ©es soient gouvernĂ©es, formĂ©es et, pour que ce soit en vue de toute bonne Ɠuvre », il est nĂ©cessaire qu’elles le soient par la Parole inspirĂ©e. C’est la Parole de Dieu qui doit ĂȘtre, pour l’homme de Dieu, la source de tout, pensĂ©es d’abord, paroles et actions ensuite. Elle est utile - Enseigner Pour enseigner », c’est-Ă -dire pour Ă©tablir la saine doctrine, de laquelle est insĂ©parable la pratique de la vie chrĂ©tienne, comme nous le montre l’apĂŽtre en particulier dans l’épĂźtre Ă  Tite. S’il n’est enseignĂ© de Dieu, un croyant ne peut ĂȘtre un homme de Dieu. Et c’est par l’Écriture inspirĂ©e de Lui, toute entiĂšre inspirĂ©e du commencement Ă  la fin, que Dieu se plaĂźt Ă  enseigner les siens. - Convaincre Pour convaincre ». L’homme de Dieu a besoin d’avoir la conviction profonde de l’autoritĂ© divine de ce qui forme et gouverne ses pensĂ©es. L’Écriture est lĂ  pour le convaincre du caractĂšre divin des propres enseignements qu’elle apporte, pour parler aussi Ă  sa conscience, lui montrant ce qui pourrait ĂȘtre Ă  juger chez lui, afin que ses rapports avec Dieu soient maintenus dans la vraie lumiĂšre de sa prĂ©sence. - Corriger Pour corriger ». La discipline de Dieu est nĂ©cessaire pour notre formation, pour nous ramener si nous nous Ă©garons du droit chemin, pour nous reprendre et nous redresser chaque fois que la chose est indispensable. Telle est encore l’utilitĂ© de l’Écriture inspirĂ©e pour la formation et la direction de l’homme de Dieu. - Instruire dans la justice Pour instruire dans la justice ». Nous ne pouvons savoir ce qu’est la justice pratique que dans la mesure oĂč nous sommes instruits par la Parole. Par son moyen, nous recevons instruction dans la sagesse, la justice, le juste jugement et la droiture » Prov. 13. C’est ainsi que l’homme de Dieu est rendu capable de poursuivre la justice » et qu’il peut ĂȘtre accompli et parfaitement accompli pour toute bonne Ɠuvre » 1 Tim. 611 ; 2 Tim. 316, 17. - Jeune Ăąge et formation Ces enseignements sont pour de jeunes croyants aussi bien que pour de plus ĂągĂ©s, et ils nous sont donnĂ©s tout particuliĂšrement en vue des derniers jours, durant lesquels l’état moral des hommes est celui dĂ©crit dans les cinq premiers versets de 2 TimothĂ©e 3, et l’état de la chrĂ©tientĂ©, celui dont il est parlĂ© au chapitre 2 de cette mĂȘme Ă©pĂźtre verset 20. Ne nous laissons dĂ©courager ni par ceci ni par cela ! Au sein d’un tel Ă©tat de choses, il y a une responsabilitĂ© individuelle Si donc quelqu’un se purifie de ceux-ci des vases Ă  dĂ©shonneur », il sera un vase Ă  honneur, sanctifiĂ©, utile au maĂźtre, prĂ©parĂ© pour toute bonne Ɠuvre » v. 21. Cette prĂ©paration pour toute bonne Ɠuvre » est opĂ©rĂ©e, nous l’avons vu, par l’action de la Parole inspirĂ©e, utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice ». L’homme de Dieu peut alors fuir » et poursuivre » et cela, aussi bien dans sa vie pratique individuelle que pour faire face Ă  sa responsabilitĂ© individuelle du point de vue ecclĂ©siastique fuis les convoitises de la jeunesse, et poursuis la justice, la foi, l’amour, la paix » v. 22. Mais lĂ  il est ajoutĂ© Avec ceux qui invoquent le Seigneur d’un cƓur pur ». Fuir le mal, poursuivre le bien, ne conduit pas Ă  l’isolement. Il convient de se sĂ©parer sans doute — et la force de ce passage est bien dans la sĂ©paration d’avec les vases Ă  dĂ©shonneur — mais cette responsabilitĂ© individuelle n’entraĂźne pas, au sein de la grande maison », une position individuelle il faut se sĂ©parer, se purifier », fuir » et poursuivre », mais avec ceux qui invoquent le Seigneur d’un cƓur pur », c’est-Ă -dire d’un cƓur dans lequel les motifs ne sont pas mĂ©langĂ©s, d’un cƓur sĂ©parĂ© du mal et attachĂ© au bien. Un cƓur pur, c’est un cƓur soumis Ă  l’autoritĂ© de la Parole inspirĂ©e nous sommes purifiĂ©s par l’obĂ©issance Ă  la vĂ©ritĂ© » cf. 1 Pierre 122. Que la Parole inspirĂ©e de Dieu forme nos cƓurs et les purifie de tout ce qui est charnel en nous ; qu’elle gouverne nos pensĂ©es et rĂšgle nos pas, afin que nous puissions manifester, dans notre vie individuelle et dans l’assemblĂ©e, les traits d’un homme de Dieu ! Combien il serait Ă  dĂ©sirer, dans ces derniers jours de l’histoire de l’Église sur la terre, que beaucoup de croyants aient Ă  cƓur d’ĂȘtre des hommes de Dieu » et le soient vraiment, formĂ©s et prĂ©parĂ©s Ă  cela par l’action sanctifiante et purifiante de la Parole, pouvant ainsi parler de la part de Dieu, faire connaĂźtre sa volontĂ© et prĂ©senter ses ressources pour rĂ©pondre aux besoins du moment ! Dieu veuille que la mĂ©ditation du sujet que nous dĂ©sirons Ă©tudier en amĂšne un grand nombre Ă  remplir, parmi les saints, le service auquel fut jadis exhortĂ©, en tant qu’homme de Dieu, un TimothĂ©e ! 3 - Exemples de l’Ancien Testament C’est dans l’Ancien Testament qu’il nous faudra chercher la plupart des enseignements concernant les caractĂšres, le service, les responsabilitĂ©s et les privilĂšges de l’homme de Dieu. Car, en effet, nombreux sont ceux qui, dans cette partie des Écritures, ont Ă©tĂ© appelĂ©s de ce nom, tandis que TimothĂ©e est sans doute le seul auquel ce titre ait Ă©tĂ© donnĂ© dans le Nouveau. - L’homme de Dieu de 1 Sam. 3 C’est un homme de Dieu » qui vint vers Éli » dans des jours marquĂ©s par une grande activitĂ©, par un service qui, en apparence, tĂ©moignait d’un zĂšle ardent, tandis que le caractĂšre moral Ă©tait loin d’ĂȘtre celui qui aurait dĂ» y correspondre. Éli jugeait le mal mais n’avait pas l’énergie nĂ©cessaire pour s’en sĂ©parer ; il perdait de vue qu’il en demeurait donc solidaire. Aussi un homme de Dieu lui est-il envoyĂ© pour l’avertir ; il lui parle de la part de l’Éternel — c’est lĂ  un des caractĂšres essentiels de l’homme de Dieu Ainsi dit l’Éternel », peut-il dĂ©clarer — et lui adresse cette question qui est aussi un reproche Pourquoi foulez-vous aux pieds mon sacrifice et mon offrande, que j’ai commandĂ© de faire dans ma demeure ? ». Éli Ă©tait coupable tout autant que ses fils, bien qu’il eĂ»t nettement dĂ©sapprouvĂ© leur conduite, parce qu’il les laissait faire Ses fils se sont avilis et il ne les a pas retenus » 1 Sam. 313. Faiblesse coupable que celle qui donne le pas Ă  telle ou telle considĂ©ration au lieu de maintenir le caractĂšre de saintetĂ© du sacrifice et de l’offrande que Dieu a commandĂ© de faire dans sa demeure ! Tu honores tes fils plus que moi », lui dit encore l’Éternel, par la bouche de l’homme de Dieu. Aussi le jugement est annoncĂ© les deux fils d’Éli, Hophni et PhinĂ©es, mourront tous deux en un seul jour » et Éli lui-mĂȘme sera mis de cĂŽtĂ©, l’Éternel se suscitera un sacrificateur fidĂšle ». — Tel est le service d’un homme de Dieu il parle de la part de Dieu, dĂ©nonce le mal, avertit et, s’il n’est pas Ă©coutĂ©, annonce le jugement 1 Sam. 227 Ă  36. - Samuel, David Le dĂ©but du premier Livre de Samuel retrace l’histoire d’un autre homme de Dieu, Samuel, qui dĂ©jĂ , alors qu’il Ă©tait encore un jeune garçon », servait l’Éternel en la prĂ©sence d’Eli, le sacrificateur » 1 Sam. 211 — cf. 218 et 26 ; 31 et 19. De cet homme de Dieu il nous est dit que c’était un homme considĂ©rĂ© » 1 Sam. 96 et suivants. Pourquoi l’était-il ? Parce qu’il vivait dans la crainte de Dieu et dans sa communion par exemple, nous en avons une preuve lorsque SaĂŒl vint vers lui Dieu l’avait dĂ©jĂ  averti, verset 15 ; lĂ , il avait la connaissance de Sa pensĂ©e en rapport avec les besoins de ceux qu’il servait cf. 1 Sam. 321, ce qui est aussi un caractĂšre et un privilĂšge de l’homme de Dieu. De sorte qu’il pouvait ĂȘtre dit de lui Ă  SaĂŒl tout ce qu’il dit arrive infailliblement » 96. On peut donc interroger un homme de Dieu avec la confiance qu’il est Ă  mĂȘme de nous Ă©clairer sur le chemin par lequel nous devons aller ». Chez Samuel aussi nous voyons ce caractĂšre essentiel de l’homme de Dieu manifester ce que Dieu est, Amour — vous mangerez avec moi aujourd’hui » — et LumiĂšre — je te dĂ©clarerai tout ce qui est dans ton cƓur » 1 Sam. 919. Celui que Samuel fut appelĂ© Ă  oindre avec la corne d’huile, le roi selon le cƓur de Dieu, David fut lui aussi un homme de Dieu ». Ce titre lui est donnĂ© Ă  lui, le doux psalmiste d’IsraĂ«l », en relation avec la louange et cela, dans chacun des trois passages qui prĂ©sentent David comme homme de Dieu 2 Chron. 814, NĂ©h. 1224 et 36. Un homme de Dieu loue l’Éternel et prĂ©pare les cƓurs des fidĂšles en vue de la louange que Dieu attend de ceux qui Lui appartiennent. - L’homme de Dieu de Juda en 1 Rois 13 Le nom de l’homme de Dieu qui Ă©tait venu vers Éli ne nous est pas donnĂ©, celui qui vint de Juda Ă  BĂ©thel, aux jours de JĂ©roboam 1 Rois 13, pas davantage. Pouvons-nous en dĂ©gager un enseignement en rapport avec le sujet que nous considĂ©rons ? Sans doute celui-ci si Dieu se plaĂźt Ă  consigner dans son Livre, en maints passages, le nom de ceux qui L’ont servi fidĂšlement, ayant Ă©tĂ© ici-bas, en vĂ©ritĂ©, des hommes de Dieu, il veut aussi nous montrer qu’il n’y a lĂ  qu’un effet de sa pure grĂące et, en d’autres endroits, Il ne donne pas le nom de l’homme de Dieu afin de marquer combien peu la valeur de l’homme entre en ligne de compte. Nos cƓurs sont tellement portĂ©s Ă  chercher quelque gloire dans ce que nous pouvons dire ou faire et l’ennemi est si rusĂ© ! Ce qui caractĂ©rise l’homme de Dieu c’est qu’il est comme inconnu de ceux qu’il sert, il n’est connu que comme un homme de Dieu » et dans son activitĂ©, on ne voit pas autre chose que Dieu Ă  l’Ɠuvre. C’est cela vraiment l’Ɠuvre du Seigneur ». AprĂšs avoir fidĂšlement rempli son service, repoussĂ© ensuite, avec la mĂȘme fidĂ©litĂ© envers Dieu, les offres de JĂ©roboam, l’homme de Dieu de 1 Rois 13 perd entiĂšrement son caractĂšre et rencontre, d’une maniĂšre trĂšs solennelle, le gouvernement de Dieu. Pourquoi une semblable dĂ©faillance dans la vie d’un homme de Dieu ? Parce que l’autoritĂ© de la Parole a Ă©tĂ© perdue de vue ! Combien c’est chose grave pour un croyant, pour un homme de Dieu » bien davantage car sa responsabilitĂ© est plus grande ! Mais pourtant, n’était-ce pas un vieux prophĂšte » qui Ă©tait venu s’adresser Ă  l’homme de Dieu de 1 Rois 13, n’avait-il pas revendiquĂ© une autoritĂ© de prophĂšte — Moi aussi je suis prophĂšte comme toi », — affirmĂ© avoir entendu un ange lui parler par la parole de l’Éternel » et lui commander de faire revenir l’homme de Dieu dans sa maison pour y manger le pain avec lui ? Certainement, mais il lui mentait ». L’ennemi, parfois, se transforme en ange de lumiĂšre », agit par le moyen d’un vieux prophĂšte » apparemment digne de considĂ©ration et de respect et vient prĂ©senter de la sorte ce qui est en opposition avec les enseignements de la Parole de Dieu. Si nous nous laissons sĂ©duire par les apparences, nous prĂȘterons une oreille attentive Ă  sa voix au lieu de nous souvenir de la parole de l’apĂŽtre Quand nous-mĂȘmes, ou quand un ange venu du ciel vous Ă©vangĂ©liserait outre ce que nous vous avons Ă©vangĂ©lisĂ©, qu’il soit anathĂšme » Gal. 18. L’homme de Dieu de 1 Rois 13 a cru la parole du vieux prophĂšte » et y a obĂ©i, bien qu’elle fĂ»t en contradiction avec ce que Dieu lui avait dit. Quelles ruses emploie l’adversaire pour dĂ©tourner l’homme de Dieu du chemin de l’obĂ©issance Ă  la seule Parole de Dieu, et combien il est nĂ©cessaire, par consĂ©quent, de nous rappeler sans cesse 2 TimothĂ©e 316 et 17 ! - ÉlisĂ©e ÉlisĂ©e, type du Seigneur JĂ©sus dans son ministĂšre de grĂące, a Ă©tĂ©, en maintes circonstances, appelĂ© homme de Dieu » plus de vingt fois dans les chapitres 4 Ă  8, et 13 du second Livre des Rois. Il est sans doute celui auquel ce titre est le plus souvent donnĂ© dans les Écritures et cela n’est pas pour nous surprendre puisqu’il est un type du Seigneur servant en grĂące. - 2 Rois 4 — ÉlisĂ©e et la Sunamite La femme de Sunem, qui le retenait pour manger le pain dans sa maison, pouvait dire de lui Ă  son mari Voici, je connais que c’est un saint homme de Dieu qui passe chez nous continuellement ». Toute sa conduite, sa tenue morale, sa gravitĂ© disaient ce qu’il Ă©tait ; par ses actes, on voyait, sans qu’il eĂ»t Ă  le dire, qu’il Ă©tait un saint homme de Dieu ». C’est l’homme de Dieu qui est la ressource dans les difficultĂ©s, qu’il s’agisse de la mort du fils de la Sunamite ou de la nourriture des fils des prophĂštes, empoisonnĂ©e par les coloquintes sauvages. De la part de Dieu, l’homme de Dieu apporte la vie lĂ  oĂč rĂšgne la mort et donne ce qui est nĂ©cessaire pour l’entretien de la vie. Nous avons tout cela en Christ, le vrai homme de Dieu, pain de vie descendu du ciel pour nous apporter la vie Ă©ternelle et aliment de cette vie pour tous ceux qui la possĂšdent. Tel est l’enseignement que nous prĂ©sente 2 Rois 4. L’homme de Dieu est lĂ , Ă  la disposition de la foi, aussi bien de la foi qui accepte, pour le salut de l’ñme, ce que Dieu dit et ce que Christ a fait, que de la foi qui compte sur Dieu pour le temps du pĂšlerinage. - 2 Rois 5 — ÉlisĂ©e et la guĂ©rison du lĂ©preux Qui peut indiquer au lĂ©preux le moyen de guĂ©rison si ce n’est l’homme de Dieu ? Qui peut instruire le lĂ©preux guĂ©ri, lorsqu’il dĂ©sire manifester sa reconnaissance, en d’autres termes rendre culte ? C’est encore l’homme de Dieu 2 Rois 5. Lui ne peut accepter aucun prĂ©sent, c’est Ă  Dieu seul qu’appartient l’hommage d’un cƓur renouvelĂ©. Ce ne serait pas manifester les caractĂšres d’un homme de Dieu que de s’attacher ceux auxquels le moyen de salut a Ă©tĂ© indiquĂ©, aprĂšs qu’ils l’ont acceptĂ©. S’employer Ă  former des groupes de fidĂšles qui suivent un homme parce qu’il a Ă©tĂ© l’instrument employĂ© par Dieu pour leur conversion, ou plus simplement entretenir un esprit d’attachement Ă  un homme, quelque prĂ©cieux que soit le service rempli par lui, ce n’est en rien l’activitĂ© d’un homme de Dieu. Ceux qui agissent ainsi ne sont certes pas tous des hommes qui annoncent des doctrines perverses », mais c’est en tout cas l’un des caractĂšres de ces mauvais ouvriers Attirer les disciples aprĂšs eux » Actes 2030. Au contraire, l’homme de Dieu attache les Ăąmes Ă  Christ, au Dieu Ă  qui seul appartiennent et la reconnaissance et la gloire cf. Jean 135 Ă  37. - 2 Rois 6 — ÉlisĂ©e et les fils des prophĂštes L’homme de Dieu intervient dans les plus petites circonstances, celles qui nous paraissent insignifiantes, trop peu importantes pour que Dieu s’y intĂ©resse. Les fils des prophĂštes ont formĂ© le projet de bĂątir un lieu pour y habiter » 2 Rois 6, mais ils ne veulent pas s’engager dans ce chemin sans avoir l’approbation de l’homme de Dieu. Ils n’iront qu’aprĂšs l’avoir consultĂ© et avoir entendu cette parole Allez ». Davantage encore ils ne veulent pas aller seuls, ils dĂ©sirent que l’homme de Dieu aille avec eux. C’est la priĂšre qu’ils lui adressent, et il dit J’irai ». Quel enseignement pour nous, dans les diffĂ©rentes circonstances que nous avons Ă  traverser et lorsque nous formons quelque projet, tout particuliĂšrement pour de jeunes croyants quand il s’agit pour eux de fonder un foyer, de bĂątir leur maison » ! Savons-nous attendre d’avoir entendu le allez » et le j’irai » sans lesquels les fils des prophĂštes ne voulaient pas se mettre en route ? Avons-nous seulement, parfois, la sagesse d’interroger l’homme de Dieu, notre vrai ÉlisĂ©e ? — Tandis que le travail des fils des prophĂštes se poursuivait, au bord du Jourdain, le fer de la hache de l’un d’eux tomba Ă  l’eau. C’est l’homme de Dieu qui apporte, lĂ  encore, le secours et l’entiĂšre dĂ©livrance. La dĂ©livrance est obtenue parce que l’homme de Dieu est lĂ , il est lĂ  parce que sa prĂ©sence a Ă©tĂ© dĂ©sirĂ©e et sollicitĂ©e. Qu’auraient fait les fils des prophĂštes si l’homme de Dieu n’avait Ă©tĂ© avec eux ? Pour Dieu, rien n’est grand et rien n’est petit. Puissions-nous nous en souvenir tous les jours de notre vie et Le faire intervenir dans nos circonstances, dans notre travail. Lui demander de nous donner son approbation de nos projets, avant de rien entreprendre et, s’Il peut nous la donner, d’aller avec nous ! Nous ferons alors l’expĂ©rience de son secours pas aprĂšs pas. — Heureux service que celui d’un homme de Dieu qui peut, dans tous les dĂ©tails de la vie des croyants, parler et agir de la part de Dieu, faire connaĂźtre ses directions et apporter son aide ! Dieu veuille susciter de tels serviteurs parmi les siens ! - 2 Rois 6 — ÉlisĂ©e et les dĂ©livrances d’IsraĂ«l La guĂ©rison de Naaman, chef de son armĂ©e, n’avait produit dans le cƓur du roi de Syrie aucun sentiment de reconnaissance Ă  l’égard du peuple d’IsraĂ«l et du prophĂšte de l’Éternel qui en avait Ă©tĂ© l’instrument puisque nous le voyons, peu aprĂšs, se mettre en guerre contre IsraĂ«l. DĂ©plaçant sans cesse son camp, il essaie d’attirer dans un piĂšge le roi Joram, mais Dieu va lui montrer, une fois encore, qu’il y a un prophĂšte en IsraĂ«l » l’homme de Dieu met en garde Joram qui est ainsi prĂ©servĂ© Ă  plusieurs reprises, Ă  tel point que le roi de Syrie pense avoir Ă©tĂ© trahi par l’un de ses serviteurs. Lorsqu’il apprend que c’est ÉlisĂ©e qui dĂ©clare au roi d’IsraĂ«l les paroles dites par lui, roi de Syrie, dans sa chambre Ă  coucher, il manifeste ce qui est dans son cƓur et, rĂ©voltĂ© contre Dieu, veut se saisir du prophĂšte. S’adressant Ă  l’Éternel, David pouvait dire Tu connais quand je m’assieds et quand je me lĂšve, tu discernes de loin ma pensĂ©e ; tu connais mon sentier et mon coucher, et tu es au fait de toutes mes voies » Ps. 1392, 3 — et encore 7 Ă  12. L’homme de Dieu vit tellement prĂšs de Dieu que cette mĂȘme connaissance peut, dans une certaine mesure, lui ĂȘtre donnĂ©e lorsque c’est nĂ©cessaire 2 Rois 612. Ce sentiment de la pleine connaissance que Dieu a de toutes choses produit, chez le fidĂšle, le dĂ©sir exprimĂ© par David dans le Psaume 139, spĂ©cialement dans les deux derniers versets ; au contraire, chez l’incrĂ©dule il dĂ©veloppe haine et rĂ©volte contre Dieu et contre ses tĂ©moins dans ce monde. Mais que peut l’homme contre Dieu ou contre l’homme de Dieu ? Le roi de Syrie vient assiĂ©ger Dothan, oĂč se trouve le prophĂšte ; il a dĂ©ployĂ© de grandes forces ». MĂȘme le serviteur d’ÉlisĂ©e est Ă©pouvantĂ© HĂ©las, mon seigneur, comment ferons-nous ? ». Mais lorsque l’opposition de l’adversaire est Ă  son plus haut degrĂ©, l’homme de Dieu peut dire Ne crains pas ; car ceux qui sont avec nous sont en plus grand nombre que ceux qui sont avec eux ». Qui les voit, ceux qui sont avec nous » ? Seul, l’Ɠil de la foi. — La dĂ©pendance brille chez l’homme de Dieu Et ÉlisĂ©e pria ». Quel beau type de Celui qui, vrai et parfait homme de Dieu, priait son PĂšre avant de multiplier les pains ou de ressusciter Lazare ! ÉlisĂ©e demande Ă  Dieu d’ouvrir les yeux de son jeune homme, de lui faire voir ceux qui sont avec nous », les armĂ©es cĂ©lestes qui Ă©taient tout autour d’eux pour assurer leur sauvegarde. Mais, dans cette circonstance, les anges n’auront mĂȘme pas Ă  intervenir, c’est par la puissance de la priĂšre que l’homme de Dieu remportera la victoire. Il a priĂ© l’Éternel pour que les yeux de son jeune homme soient ouverts, il prie maintenant afin que ceux des Syriens soient fermĂ©s Frappe cette nation de cĂ©citĂ© ». Et la chose fut faite selon la parole d’ÉlisĂ©e », comme autrefois l’Éternel avait fermĂ©, puis ouvert les cieux Ă  la parole d’Élie. Les armĂ©es du roi de Syrie sont ainsi Ă  la merci de l’homme de Dieu qui les conduit Ă  Samarie ; lĂ , il prie encore, cette fois pour que l’Éternel ouvre leurs yeux. La pensĂ©e du roi d’IsraĂ«l est totalement Ă©loignĂ©e de celle de l’homme de Dieu il voudrait frapper les Syriens, se venger d’eux, alors que le prophĂšte, plein de grĂące, leur fait prĂ©parer un grand festin ». Tel est l’homme de Dieu, agissant selon que le Seigneur Lui-mĂȘme l’a enseignĂ© Aimez vos ennemis, bĂ©nissez ceux qui vous maudissent, faites du bien Ă  ceux qui vous haĂŻssent, et priez pour ceux qui vous font du tort et vous persĂ©cutent, en sorte que vous soyez les fils de votre PĂšre qui est dans les cieux
 Vous, soyez donc parfaits, comme votre PĂšre cĂ©leste est parfait » Matt. 544 Ă  48. Fils de votre PĂšre qui est dans les cieux », parfaits comme votre PĂšre cĂ©leste est parfait », tels sont les traits de vrais hommes de Dieu. Comment le roi de Syrie rĂ©pondra-t-il Ă  la bontĂ© dont il a Ă©tĂ© l’objet de la part de l’homme de Dieu ? De la mĂȘme maniĂšre que l’homme rĂ©pond Ă  la grĂące divine ; ÉlisĂ©e avait fait prĂ©parer Ă  Samarie un grand festin » pour les Syriens qui avaient pourtant cherchĂ© Ă  se saisir de lui Ă  Dothan ; le roi de Syrie rassemble toute son armĂ©e pour assiĂ©ger Samarie ! Quel contraste entre la façon d’agir de Dieu, de l’homme de Dieu, et celle de l’homme ! — Dans la ville assiĂ©gĂ©e, la famine atteint un tel degrĂ© qu’une mĂšre en arrive Ă  manger son fils, aprĂšs avoir passĂ© un horrible marchĂ© avec une autre mĂšre ! ÉpouvantĂ©, le roi Joram dĂ©chire ses vĂȘtements
 Et certes, il y avait bien de quoi agir ainsi. Mais que va-t-il faire ensuite pour secourir son peuple en dĂ©tresse ? A-t-il retenu quelque chose des dĂ©livrances opĂ©rĂ©es par le moyen de l’homme de Dieu lors de la prĂ©cĂ©dente attaque du roi de Syrie et va-t-il crier Ă  lui ? Tout au contraire, il dit Ainsi Dieu me fasse, et ainsi il y ajoute, si la tĂȘte d’ÉlisĂ©e, fils de Shaphath, demeure sur lui aujourd’hui » 2 Rois 631. Dans la dĂ©tresse, l’homme accuse Dieu et le rend responsable de tous ses malheurs, mĂ©prisant la bontĂ© dont il a Ă©tĂ© l’objet de la part de Dieu tous les jours de sa vie et, plus particuliĂšrement, en tant de circonstances difficiles. Comme Joram rejetait le seul homme qui pouvait exaucer la priĂšre entendue tandis qu’il passait sur la muraille Sauve-moi, ĂŽ roi, mon seigneur ! » verset 26, l’homme aujourd’hui encore rejette Christ, le seul nom sous le ciel, qui soit donnĂ© parmi les hommes, par lequel il nous faille ĂȘtre sauvĂ©s » Actes 412. Joram voulait mettre Ă  mort ÉlisĂ©e, l’homme a crucifiĂ© Christ. Mais le cƓur de Dieu est toujours le mĂȘme, Il rĂ©pond par son amour Ă  toute la haine de l’homme, ne se lassant pas d’apporter sa grĂące. En face de toute la mĂ©chancetĂ© de Joram, ÉlisĂ©e dĂ©clare Écoutez la parole de l’Éternel. Ainsi dit l’Éternel Demain Ă  cette heure-ci, la mesure de fleur de farine sera Ă  un sicle, et les deux mesures d’orge Ă  un sicle, Ă  la porte de Samarie » 2 Rois 71. C’était la dĂ©livrance assurĂ©e pour le peuple souffrant de la famine, le secours dans la dĂ©tresse. Mais le cƓur de l’homme est incrĂ©dule Le capitaine, sur la main duquel le roi s’appuyait, rĂ©pondit Ă  l’homme de Dieu, et dit Voici, quand 1’Éternel ferait des fenĂȘtres aux cieux, cela arriverait-il ? ». C’était moquerie et incrĂ©dulitĂ© ! À quoi l’homme de Dieu rĂ©pond Voici, tu le verras de tes yeux, mais tu n’en mangeras pas ». Et il lui en arriva ainsi le peuple le foula aux pieds dans la porte, et il mourut ». — Tel est le ministĂšre d’un homme de Dieu il prĂ©sente la grĂące, mais annonce Ă  celui qui la mĂ©prise un jugement inexorable qui s’accomplira Ă  la lettre. - 2 Rois 8 — ÉlisĂ©e et la Sunamite Au chapitre 8 de ce mĂȘme second Livre des Rois, ÉlisĂ©e avertit la femme de Sunem, au fils de laquelle il avait rendu la vie, au moment oĂč allait commencer une pĂ©riode de sept annĂ©es de famine. Cette femme, aprĂšs avoir passĂ© ces sept annĂ©es dans le pays des Philistins, revient sur la terre d’IsraĂ«l. Elle a Ă©tĂ© l’objet des soins de Dieu alors que les jugements tombaient sur le pays ; l’homme de Dieu lui avait fait connaĂźtre ce qui lui avait Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© et l’avait engagĂ©e Ă  fuir lĂ  oĂč elle pourrait sĂ©journer ; elle avait obĂ©i et fait selon la parole de l’homme de Dieu », de sorte qu’elle revenait du pays des Philistins ayant fait l’expĂ©rience de la bontĂ© de l’Éternel. Mais, oĂč est sa maison ? oĂč sont ses champs ? Elle crie au roi pour cela. Le roi s’entretenait avec GuĂ©hazi qu’il invitait Ă  raconter toutes les grandes choses » faites par ÉlisĂ©e, et la femme survint tandis que GuĂ©hazi retraçait l’histoire de la rĂ©surrection de son propre fils 2 Rois 48-37. Cette femme a ainsi un tĂ©moin, pouvant dire au roi qui elle est ; elle raconte alors elle-mĂȘme le rĂ©cit que n’avait pas terminĂ© GuĂ©hazi. Puis, le roi ordonne Rends-lui tout ce qui lui appartient, et tout le revenu des champs, depuis le jour oĂč elle a quittĂ© le pays, jusqu’à maintenant » 2 Rois 81-6. — Tel est le rĂ©sultat de l’obĂ©issance Ă  la parole dite par l’homme de Dieu. La femme avait agi selon cette parole, elle a Ă©tĂ© gardĂ©e et secourue pendant les sept annĂ©es de famine, dans une terre d’exil et, quand elle revient de ce pays Ă©loignĂ©, Dieu a tout disposĂ© pour qu’elle puisse s’adresser directement au roi Ps. 11991 ; Prov. 211 ; Eccl. 812 ; Rom. 828, toucher son cƓur et recouvrer tout son bien, y compris le revenu de ses terres depuis le jour de son dĂ©part. Tout est gain pour elle ! Dieu a pourvu Ă  tout et tout est bien ! - 2 Rois 8 — ÉlisĂ©e et HazaĂ«l Dans la scĂšne qui suit 2 Rois 87-15, c’est Ben-Hadad, roi de Syrie qui, malade et ayant eu connaissance de l’arrivĂ©e de l’homme de Dieu, envoie HazaĂ«l Ă  sa rencontre pour lui remettre un prĂ©sent et lui demander s’il doit relever de cette maladie. Il agit un peu comme il l’avait dĂ©jĂ  fait lorsqu’il avait envoyĂ© Naaman, son gĂ©nĂ©ral, chargĂ© de prĂ©sents, vers le roi d’IsraĂ«l. Ce n’était pas le roi qui l’avait guĂ©ri mais ÉlisĂ©e le prophĂšte ; est-ce qu’aujourd’hui ÉlisĂ©e ne pourrait le guĂ©rir Ă  son tour ? Pourtant, il ne connaissait guĂšre celui qui avait refusĂ© les prĂ©sents de Naaman. Il est vrai que ce dernier n’avait pas tout rapportĂ© dans le pays de Syrie, et nous voyons sans doute lĂ  une des consĂ©quences de l’acte de GuĂ©hazi. Point n’était besoin de faire parvenir Ă  l’homme de Dieu la charge de quarante chameaux » ! L’homme de Dieu est insensible aux prĂ©sents qui peuvent lui ĂȘtre offerts, que ce soit par un Naaman guĂ©ri de sa lĂšpre ou par un Ben-Hadad qui vient l’interroger ; il dira ce que Dieu lui a rĂ©vĂ©lĂ© sans y rien changer. L’Éternel m’a montrĂ© qu’il mourra certainement ». Et puis l’homme de Dieu pleura ». Est-ce en raison de la mort du roi de Syrie ? Non, mais parce qu’il sait tout le mal qu’HazaĂ«l fera aux fils d’IsraĂ«l. HazaĂ«l qui va lui-mĂȘme mettre Ă  mort Ben-Hadad c’est ainsi qu’il mourra certainement » car, de sa maladie, il eĂ»t tout aussi certainement » relevĂ©, prendre sa place sur le trĂŽne de Syrie et exercer une si grande mĂ©chancetĂ© envers le peuple il mettra le feu aux villes fortes d’IsraĂ«l, tuera avec l’épĂ©e les jeunes hommes, Ă©crasera les petits enfants et fendra le ventre aux femmes enceintes. L’homme de Dieu, plein d’amour pour le peuple, souffre profondĂ©ment en considĂ©rant toutes les Ă©preuves qui vont l’atteindre. Et il pleure
 Quelles saintes affections pour IsraĂ«l, quelle douleur en prĂ©sence du jugement qui va tomber sur un peuple qui, malgrĂ© tout, demeure le peuple de Dieu ! - 2 Rois 13 — ÉlisĂ©e et le roi Joas Au soir de sa vie, ÉlisĂ©e reçoit la visite de Joas, roi d’IsraĂ«l. Ce roi a fait ce qui est mauvais aux yeux de l’Éternel » mais, venant auprĂšs d’ÉlisĂ©e malade, sa conscience est rĂ©veillĂ©e et il pleure sur le visage du prophĂšte ! C’est alors qu’ÉlisĂ©e l’invite Ă  ouvrir la fenĂȘtre vers l’orient — l’orient oĂč le soleil se lĂšve et qui parle de la gloire Ă  venir — et Ă  tirer une flĂšche, une flĂšche de salut de par l’Éternel, une flĂšche de salut contre les Syriens ». Mais Joas manque de l’énergie que donne la foi, de la persĂ©vĂ©rance qui l’aurait conduit Ă  une victoire complĂšte ; aprĂšs avoir, sur l’ordre d’ÉlisĂ©e, pris les flĂšches et frappĂ© en terre, il s’arrĂȘte Ă  la troisiĂšme fois, de sorte que l’homme de Dieu se mit en colĂšre contre lui », lui disant Il fallait frapper cinq ou six fois, alors tu eusses battu les Syriens jusqu’à les dĂ©truire ; mais maintenant tu ne battras les Syriens que trois fois » 2 Rois 1314 Ă  19. Ce que l’homme de Dieu avait annoncĂ© se produisit, Ă  la lettre v. 22 Ă  25. Tels sont, Ă  propos d’ÉlisĂ©e, deux des caractĂšres de l’homme de Dieu l’homme de Dieu pleura » et l’homme de Dieu se mit en colĂšre » 2 Rois 811 et 1319. Il pleure en pensant Ă  tout ce dont va souffrir le peuple de Dieu, au mal qui lui sera fait ; il se met en colĂšre, animĂ© par une sainte indignation, quand il voit le conducteur du peuple, les mains lĂąches, n’ayant pas l’énergie nĂ©cessaire pour combattre et vaincre l’adversaire, alors que la victoire est assurĂ©e Ă  la foi. Il n’y a aucune Ă©nergie chez Joas, son cƓur ne brĂ»le pas pour le peuple opprimĂ© et quand il a pourtant en mains les flĂšches de salut », il ne manifeste pas la vigueur nĂ©cessaire pour s’en servir. Nos mains, Ă  nous aussi, sont devenues lĂąches pour livrer le combat en faveur du peuple de Dieu dans la souffrance ! Et, en considĂ©rant ces choses, un vrai homme de Dieu ne peut qu’ĂȘtre saisi d’une sainte colĂšre ! En prenant la plume pour Ă©crire ces quelques rĂ©flexions Ă  propos des hommes de Dieu dont nous parle le Saint Livre, nous ne pensions pas nous Ă©tendre aussi longuement sur ceux dont il vient d’ĂȘtre question. Mais, nous voulons le croire, ce ne sera pas sans fruit que nous aurons arrĂȘtĂ© notre attention sur diffĂ©rentes phases de leur histoire et sur les caractĂšres qu’il leur a Ă©tĂ© accordĂ© de pouvoir manifester dans ces circonstances. Comme nous y sommes exhortĂ©s, prenons pour exemple de souffrance et de patience les prophĂštes qui ont parlĂ© au nom du Seigneur » Jacques 510. - MoĂŻse et Élie Notre intention, en Ă©crivant ces lignes, Ă©tait surtout de considĂ©rer l’histoire de deux hommes de Dieu dont, Ă  dessein, nous n’avons encore rien dit, MoĂŻse et Élie. Ce titre est donnĂ© six fois Ă  chacun d’eux dans les Ă©crits de l’Ancien Testament. D’autre part, leur histoire offre un intĂ©rĂȘt particulier parce que ce sont ces deux hommes de Dieu qui apparaissent en gloire sur la montagne de la transfiguration, s’entretenant de la mort du Seigneur. MoĂŻse a donnĂ© la loi au peuple, elle a Ă©tĂ© violĂ©e ; Élie a exercĂ© un ministĂšre prophĂ©tique en vue de ramener le cƓur du peuple Ă  l’Éternel, ce ministĂšre a Ă©tĂ© rejetĂ©, comme aussi le ministĂšre prophĂ©tique dans son ensemble. DĂšs lors, il ne reste plus que la mort de Christ comme pouvant assurer l’accomplissement des conseils de Dieu. MoĂŻse et Élie reprĂ©sentent, sur la montagne de la transfiguration, les saints qui seront avec Christ en gloire, MoĂŻse ceux qui passeront par la mort, Élie ceux qui demeureront jusqu’à sa venue et seront ravis dans les demeures cĂ©lestes sans avoir eu Ă  passer par la mort. Tandis qu’ils ont cheminĂ© ici-bas, exerçant l’un et l’autre le ministĂšre qui leur avait Ă©tĂ© confiĂ©, MoĂŻse et Élie ont Ă©tĂ© appelĂ©s des hommes de Dieu » ; puisqu’ils typifient les saints associĂ©s Ă  Christ dans sa gloire, puissent tous les saints rĂ©aliser, chacun dans sa marche et dans le service qui lui est Ă©chu, les caractĂšres d’un homme de Dieu ! - PriĂšre, intercession Un autre trait commun Ă  ces deux hommes de Dieu tous deux, animĂ©s d’un amour profond et vrai pour le peuple, ont su prier et intercĂ©der en sa faveur dans la pleine intelligence de la pensĂ©e de Dieu. MoĂŻse l’a fait dans une circonstance oĂč cependant le peuple avait abandonnĂ© l’Éternel, se tournant vers une idole, un dieu qui pouvait ĂȘtre vu. Et l’Éternel avait dĂ©clarĂ© qu’Il allait consumer le peuple et faire de MoĂŻse une grande nation ! MoĂŻse ne pense ni Ă  lui ni Ă  ce que l’Éternel veut lui donner, c’est pour le peuple qu’il implore l’Éternel ». Ce qu’il fait valoir, dans sa premiĂšre intercession, c’est la gloire de l’Éternel ; elle est en cause, l’Éternel ne peut pas dĂ©truire son peuple ! L’amour qui remplissait le cƓur de MoĂŻse pour ceux qui, malgrĂ© leur dĂ©sobĂ©issance, occupaient une si grande place dans le cƓur de Dieu est manifestĂ© dans son ardente intercession, celle d’un vrai MĂ©diateur. Il rappelle Ă  l’Éternel sa parole et son serment Ex. 3211-13 ; cf. HĂ©br. 618. En un sens, le sort du peuple dĂ©pendait du MĂ©diateur et Dieu Lui-mĂȘme avait suscitĂ© celui qui pouvait ainsi se tenir Ă  la brĂšche » cf. Ps. 10623. PrĂ©cieux encouragement Ă  l’intercession en faveur du peuple de Dieu ! Si jamais il y eut une occasion dans laquelle il semblait impossible que Dieu intervĂźnt, c’était bien lors de l’affaire du veau d’or, mais la foi de l’homme de Dieu s’élĂšve au-dessus de toutes les impossibilitĂ©s. MoĂŻse se tint Ă  la brĂšche », lui seul, et l’Éternel ne dĂ©truisit pas le peuple ! Il le fit, prĂȘt Ă  se sacrifier pour IsraĂ«l, allant jusqu’à dire efface-moi de ton livre, afin que le peuple soit Ă©pargnĂ©, parce qu’il aimait ce peuple d’un amour vrai et plus fort que la mort. À propos d’Élie, il nous est dit La fervente supplication du juste peut beaucoup » Jacques 516. C’est pour la gloire de Dieu qu’Élie prie, c’est le vrai objet de sa priĂšre ; si mĂȘme le peuple doit connaĂźtre trois ans et six mois de famine. Élie est prĂȘt Ă  demander, et demande qu’il en soit ainsi Jacques 517, afin que Dieu puisse ĂȘtre glorifiĂ© au milieu de ce peuple jusqu’alors infidĂšle. Élie Ă©tait au sein d’un douloureux Ă©tat de choses, le mal faisait de rapides progrĂšs, la ruine Ă©tait tout autour de lui ; il la sentait, il pleurait sans doute, mais aussi, il priait avec instance, non pas d’une maniĂšre plus ou moins froide, usant de vaines redites », mais avec instance et persĂ©vĂ©rance. Quel exemple pour nous ! Y a-t-il jamais eu comme aujourd’hui nĂ©cessitĂ© de prier avec instance » pour l’AssemblĂ©e de Dieu ? Dieu ne refuse jamais d’agir, Ă  son moment, quand la foi s’adresse Ă  Lui avec confiance et intelligence, n’ayant d’autre but et d’autre dĂ©sir que la gloire divine. Élie n’éprouvait certes aucun plaisir Ă  voir la ruine de son pays devenu un aride dĂ©sert, le peuple consumĂ© par la famine, mais il dĂ©sirait ardemment le vrai bien du peuple et, avant tout, la gloire de l’Éternel. Trois choses caractĂ©risent sa priĂšre 1° Élie avait l’intelligence des pensĂ©es et de la volontĂ© de Dieu au sujet de sa requĂȘte et il avait ce discernement parce qu’il se tenait sans cesse devant Dieu » 1 Rois 171 ; cf. Jean 157 et 1 Jean 514, 15 ; en contraste Jacques 43. 2° Il avait une pleine et entiĂšre confiance en Dieu cf. Matt. 2121, 22. 3° Enfin, sa priĂšre Ă©tait adressĂ©e Ă  Dieu avec persĂ©vĂ©rance Jacques 517 ; cf. Luc 115 et suivants ; Rom. 1212. Comme nous l’avons dĂ©jĂ  remarquĂ©, MoĂŻse et Élie ont Ă©tĂ© appelĂ©s hommes de Dieu » Ă  six reprises diffĂ©rentes. Pour MoĂŻse DeutĂ©ronome 331 ; JosuĂ© 146 ; 1 Chroniques 2314 ; 2 Chroniques 3016 ; Esdras 32 et Psaume 90. Pour Élie 1 Rois 1724 ; 2 Rois 19, 10, 11, 12 et 13. - BĂ©nĂ©diction, ministĂšre de la Parole, intercession et adoration — MoĂŻse Chez MoĂŻse, bien des traits sont Ă  noter en rapport avec ce caractĂšre d’homme de Dieu 1. DeutĂ©ronome 331 et 1 Chroniques 2314. — L’homme de Dieu rĂ©pand la bĂ©nĂ©diction d’en haut sur le peuple de Dieu. Il dit du bien des fils d’IsraĂ«l et pourtant, que de reproches il eĂ»t pu leur adresser ! C’est aprĂšs ĂȘtre restĂ© quarante ans avec eux dans le dĂ©sert qu’il parle d’eux en bien
 Ne pouvons-nous pas en retirer quelque instruction ? En second lieu, une prĂ©cieuse part est assignĂ©e Ă  ses fils — la tribu de LĂ©vi — dans le service du sanctuaire, un service qui revĂȘt trois aspects ministĂšre de la Parole, intercession et adoration Deut. 338-10 ; cf. 1 Chron. 2314. 2. JosuĂ© 146. — Avec le discernement spirituel que donnent la crainte de Dieu et une vie dans sa communion, MoĂŻse apprĂ©cie la persĂ©vĂ©rance et l’énergie de la foi d’un Caleb, auquel il assure la possession de l’hĂ©ritage HĂ©bron appartiendra Ă  celui qui a pleinement suivi l’Éternel ». 3. 2 Chroniques 3016 et Esdras 32. — De LĂ©vi il est dit La loi de vĂ©ritĂ© Ă©tait dans sa bouche » Malachie 26. Comme nous venons de le rappeler, quant Ă  MoĂŻse, homme de Dieu, ses fils furent attribuĂ©s Ă  la tribu de LĂ©vi » 1 Chron. 2314, tribu Ă  laquelle Ă©tait assignĂ© le triple service dont nous parle DeutĂ©ronome 338-10. Si la loi de vĂ©ritĂ© Ă©tait dans la bouche de LĂ©vi, c’est parce que dĂ©jĂ  la parole de l’Éternel Ă©tait dans la bouche de MoĂŻse. Et cela Ă  un degrĂ© tel que, dans les deux passages considĂ©rĂ©s ici, la loi de l’Éternel est appelĂ©e la loi de MoĂŻse, homme de Dieu ». Qu’il s’agisse de cĂ©lĂ©brer la fĂȘte de la pĂąque 2 Chron. 30 ou celle des tabernacles Esdras 3, le peuple pouvait se conformer aux enseignements donnĂ©s par MoĂŻse, homme de Dieu, car ce qu’il avait dit Ă©tait la parole de l’Éternel dans toute sa puretĂ©. La parole de MoĂŻse faisait donc autoritĂ© pour les Ăąmes pieuses, mĂȘme dans des temps de ruine, que ce soit lors du rĂ©veil aux jours d’ÉzĂ©chias ou au retour de la captivitĂ© de Babylone. Il y a lĂ  un enseignement trĂšs important Ă  souligner pour les temps auxquels nous sommes parvenus. Puisse-t-il y avoir, encore aujourd’hui, de vrais hommes de Dieu, prĂ©sentant la Parole dans toute sa puretĂ©, dans la bouche desquels se trouve la loi de vĂ©ritĂ© » afin que les Ăąmes soient instruites et dirigĂ©es selon la pensĂ©e de Dieu ! C’est l’exhortation adressĂ©e, dans des jours de ruine, par l’apĂŽtre Paul Ă  TimothĂ©e, homme de Dieu » PrĂȘche la Parole » 2 Tim. 41. 4. Psaume 90. — PriĂšre de MoĂŻse, homme de Dieu » est-il Ă©crit Ă  l’en-tĂȘte de ce Psaume. Ce n’est pas le lĂ©gislateur qui prie, c’est l’homme de Dieu. Le seul Psaume de MoĂŻse, qui nous ait Ă©tĂ© conservĂ© — combien c’est remarquable — est une priĂšre de l’homme de Dieu ! En prĂ©sence du nĂ©ant de l’homme, de l’iniquitĂ© d’un peuple qui a violĂ© la loi et sur lequel pĂšse la colĂšre de Dieu, il s’adresse non pas au Dieu de SinaĂŻ, mais Ă  Celui auquel il peut dire Repens-toi » v. 13 et auprĂšs duquel le fidĂšle trouvera toujours un sĂ»r refuge Tu as Ă©tĂ© notre demeure de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration » v. 1. - GrĂące et puissance, et parole de jugement — Élie Chez Élie, nous avons 1. La manifestation en grĂące de la puissance de Dieu, dans la rĂ©surrection du fils de la veuve de Sarepta 1 Rois 17. Dieu seul peut donner la vie, de sorte que, lorsqu’Élie dit Ă  la femme Vois, ton fils vit », elle s’écrie aussitĂŽt Maintenant, Ă  cela je connais que tu es un homme de Dieu, et que la parole de l’Éternel dans ta bouche est la vĂ©ritĂ© » 1 Rois 1723, 24 ; cf. 2 Chron. 3016 ; Esdras 32 et Malachie 26. On connaĂźt de quelqu’un qu’il est un homme de Dieu » par ce qu’il est, ce qu’il dit et ce qu’il fait. Dans cette circonstance, Élie a manifestĂ© la grĂące et la vĂ©ritĂ©, c’est le caractĂšre d’un vrai homme de Dieu. GrĂące et vĂ©ritĂ© qui ont Ă©tĂ© apportĂ©es ici-bas par Celui qui y a Ă©tĂ©, par excellence, le vrai et parfait Homme de Dieu cf. Jean 117. 2. Une parole de puissance mais en jugement et non plus en grĂące 2 Rois 1. - Souffrances Il y a encore un trait commun Ă  MoĂŻse et Élie, ces deux grands hommes de Dieu de l’ancienne Ă©conomie L’un et l’autre ont eu Ă  souffrir, craignant pour leur vie. Comme le Pharaon chercha Ă  tuer MoĂŻse » Ex. 215, JĂ©sabel forma le projet de mettre Ă  mort Élie 1 Rois 192. - Souffrances de MoĂŻse L’Ancien Testament nous donne le rĂ©cit des faits, le Nouveau y ajoute quelques commentaires, les Ă©clairant d’un jour particulier ; c’est pourquoi il convient de mĂ©diter Actes 7 et HĂ©breux 11, aprĂšs avoir lu Exode 2. Dieu avait prĂ©parĂ© MoĂŻse en lui faisant passer d’abord quarante annĂ©es en Égypte ; c’était nĂ©cessaire Ă  la formation de l’homme de Dieu. La grandeur de l’Égypte, ses richesses et ses honneurs, MoĂŻse a rejetĂ© tout cela parce que son cƓur Ă©tait avec le peuple de Dieu MoĂŻse, Ă©tant devenu grand, sortit vers ses frĂšres » Ex. 211. HĂ©breux 11 nous dit Par la foi, MoĂŻse, Ă©tant devenu grand, refusa d’ĂȘtre appelĂ© fils de la fille du Pharaon, choisissant plutĂŽt d’ĂȘtre dans l’affliction avec le peuple de Dieu, que de jouir pour un temps des dĂ©lices du pĂ©chĂ©, estimant l’opprobre du Christ un plus grand trĂ©sor que les richesses de l’Égypte ; car il regardait Ă  la rĂ©munĂ©ration » v. 24-26. Actes 7 Et MoĂŻse fut instruit dans toute la sagesse des Égyptiens ; et il Ă©tait puissant dans ses paroles et dans ses actions. Mais quand il fut parvenu Ă  l’ñge de quarante ans, il lui vint au cƓur de visiter ses frĂšres, les fils d’IsraĂ«l » v. 22 et 23. En figure, c’est l’abaissement volontaire du Seigneur. Que vit MoĂŻse, sortant vers ses frĂšres » ? Il vit, leurs fardeaux » Ex. 211. Il aurait pu dire alors je suis grandement privilĂ©giĂ© d’avoir Ă©chappĂ© Ă  semblable condition, Dieu est bon de m’avoir mis Ă  l’abri ! — et ensuite, regagner le palais du Pharaon. C’eĂ»t Ă©tĂ© pur Ă©goĂŻsme ! Il aurait pu dire aussi je vais intervenir auprĂšs du Pharaon pour faire allĂ©ger les fardeaux du peuple. Mais alors, en admettant que sa requĂȘte eĂ»t Ă©tĂ© accueillie, d’oĂč serait venue la dĂ©livrance ? Du Pharaon et de MoĂŻse et non pas de Dieu par le moyen de MoĂŻse. D’autre part, le rĂ©sultat eĂ»t Ă©tĂ© celui-ci le peuple serait restĂ© en Égypte, dans une condition meilleure peut-ĂȘtre mais pourtant toujours en Égypte, sous le joug du Pharaon, alors que l’Éternel avait une tout autre pensĂ©e Ă  son Ă©gard. De mĂȘme pour la dĂ©livrance d’une Ăąme, ou de ceux qui traversent la dĂ©tresse les moyens humains n’atteignent jamais le but que Dieu se propose. Que voit MoĂŻse en second lieu ? Il vit un homme Ă©gyptien qui frappait un HĂ©breu d’entre ses frĂšres ». L’Esprit de Dieu souligne ce qu’était cet HĂ©breu l’un de ses frĂšres ! DĂšs lors, aucune hĂ©sitation il s’associe Ă  ses frĂšres. Il choisit », nous dit HĂ©breux 11. Heureux choix de la foi ! En un instant, il a mis en balance, d’une part, les richesses de l’Égypte et, d’autre part, l’opprobre du Christ — les dĂ©lices du pĂ©chĂ© et l’affliction avec le peuple de Dieu. Et, avec fermetĂ©, il choisit » l’affliction avec ses frĂšres » — ils sont le peuple de Dieu » — et l’opprobre, mais c’est l’opprobre du Christ ». Tel est le point de dĂ©part du service de MoĂŻse parmi ses frĂšres ». Et pourtant, le moment n’était pas encore venu oĂč Dieu pouvait l’appeler Ă  un tel privilĂšge. Au lieu d’attendre cet appel, MoĂŻse Ă©tait parti selon l’impulsion de son cƓur, de telle sorte qu’il va faire l’expĂ©rience de ce que peuvent ĂȘtre les consĂ©quences d’une activitĂ©, excellente en soi peut-ĂȘtre, ayant Ă  sa source les plus louables intentions, mais qui n’a pas l’autoritĂ© d’une pleine obĂ©issance Ă  un ordre de Dieu. Il regarda çà et lĂ  », tĂ©moignant ainsi d’une certaine crainte, que n’a pas celui qui a conscience d’ĂȘtre envoyĂ© par Dieu et qui, dans une entiĂšre confiance, peut aller droit son chemin, assurĂ© d’un secours qui ne lui fera pas dĂ©faut. C’est parce qu’il vit qu’il n’y avait personne » que MoĂŻse frappa l’Égyptien », le cachant ensuite dans le sable ; ce n’était pas parce que Dieu lui avait commandĂ© de le faire. Actes 7 nous, dit Il croyait que ses frĂšres comprendraient que Dieu leur donnerait la dĂ©livrance par sa main » v. 25 ; il avait bien le sentiment d’ĂȘtre le libĂ©rateur du peuple, mais il s’était mis en route, emportĂ© par les gĂ©nĂ©reuses impulsions de son cƓur, sans attendre que Dieu lui dise d’aller. Actes 7 ajoute — c’est la fin du vers. 25 — mais ils ne le comprirent point ». Comment MoĂŻse eut-il le sentiment que ses frĂšres n’avaient pas compris ? Et il sortit le second jour ; et voici, deux hommes hĂ©breux se querellaient. Et il dit au coupable Pourquoi frappes-tu ton compagnon ? » Ex. 213, 14 ; cf. Actes 726-28. Combien il est douloureux de voir deux frĂšres se quereller ! Une commune dĂ©tresse unit gĂ©nĂ©ralement les hommes qui en sont les victimes ils associent leurs efforts pour en attĂ©nuer les effets, car on fraternise dans un malheur afin de le rendre plus supportable Ă  chacun. Et voilĂ  que parmi le peuple de Dieu dans la souffrance, deux frĂšres se querellent, se donnant ainsi en spectacle aux Égyptiens et repoussant celui qui voudrait les ramener Ă  la paix Vous ĂȘtes frĂšres ; pourquoi vous faites-vous tort l’un Ă  l’autre ? ». Et quel est celui des deux qui le repousse ? Le coupable » Ex. 213, celui qui faisait tort Ă  son prochain » Actes 727. C’est encore celui-lĂ  qui dit Ă  MoĂŻse Qui t’a Ă©tabli chef et juge sur nous ? Veux-tu me tuer, toi, comme tu tuas hier l’Égyptien ? » MoĂŻse est donc, d’une part, coupable d’un meurtre qui le rend passible du jugement du Pharaon et d’autre part, repoussĂ© par ses frĂšres. Que fait-il ? Il eut peur » et il s’enfuit » Ex. 214, 15. S’il avait agi envoyĂ© par Dieu et dirigĂ© par Lui, il n’aurait pas eu peur plus tard, il ne craindra pas la colĂšre du roi Par la foi, il quitta l’Égypte, ne craignant pas la colĂšre du roi, car il tint ferme, comme voyant celui qui est invisible » HĂ©breux 1127. MoĂŻse avait agi selon sa propre volontĂ© ; pour ĂȘtre un homme de Dieu, il faut que la propre volontĂ© soit brisĂ©e. Ce sera, pour MoĂŻse, l’objet de l’école de Madian. Quarante annĂ©es en Égypte, Ă  la cour du Pharaon, l’avaient amenĂ© Ă  faire l’heureux choix de HĂ©breux 1125 ; quarante annĂ©es Ă  Madian briseront chez lui toute volontĂ© propre et feront de lui l’homme de Dieu que l’Éternel pourra alors envoyer vers son peuple Ex. 3 pour y remplir, durant quarante annĂ©es, un si grand ministĂšre. Quel contraste entre Exode 214, 15 et 419-20, entre la fuite coupable, la peur, rĂ©sultat de la confiance de MoĂŻse en lui-mĂȘme, et son retour en Égypte, aprĂšs les quarante annĂ©es passĂ©es Ă  Madian ! Il revient faible, petit Ă  ses propres yeux, mais revĂȘtu de la puissance de Dieu, ayant la verge de Dieu dans sa main ». C’est le rĂ©sultat du travail accompli pendant ces quarante annĂ©es, annĂ©es de formation de l’homme de Dieu. Il est trĂšs remarquable que ce soit prĂ©cisĂ©ment, des trois pĂ©riodes de quarante ans qui constituent la vie de MoĂŻse, celle dont les Écritures nous parlent le moins la discipline de Madian, l’école de Dieu, c’est quelque chose qu’il faut apprendre chacun pour soi-mĂȘme. Il convient que chacun fasse ses propres expĂ©riences dans ce travail de formation de l’homme de Dieu. - Souffrances d’Élie Ce n’est pas au dĂ©but de son ministĂšre qu’Élie fut persĂ©cutĂ© et eut peur pour sa vie, fuyant devant JĂ©sabel comme MoĂŻse avait fui devant le Pharaon, c’est tout Ă  la fin. Pour MoĂŻse, c’était avant mĂȘme de commencer son service ; pour Élie, cela en marquait la fin. AprĂšs avoir Ă©tĂ© Ă  la rencontre d’Achab, aprĂšs avoir tenu tĂȘte Ă  huit cent cinquante faux prophĂštes sur le Carmel, en ayant triomphĂ© et les ayant mis Ă  mort, Élie se leva, et s’en alla pour sa vie » parce que la femme JĂ©sabel avait parlĂ© de le faire mourir ! Il Ă©tait alors, moralement, devant JĂ©sabel » et non plus devant l’Éternel », et la chose est si juste qu’il devra marcher quarante jours et quarante nuits pour se retrouver devant son Dieu, Ă  Horeb, dans la caverne. S’en allant pour sa vie », Élie va jusqu’au dĂ©sert et lĂ , complĂštement dĂ©couragĂ©, il dit C’est assez ! maintenant, Éternel, prends mon Ăąme »  Il s’en allait pour sauver sa vie et, assis sous le genĂȘt, il demande la mort ! Quelle inconsĂ©quence ! Et pourquoi demande-t-il la mort ? Car je ne suis pas meilleur que mes pĂšres » 1 Rois 194. Comme MoĂŻse, bien que les circonstances ne soient pas exactement les mĂȘmes, Élie s’enfuit au dĂ©sert, ayant peur. Ni l’un ni l’autre n’y allait conduit par l’Éternel, chez l’un et chez l’autre la propre volontĂ© Ă©tait seule en activitĂ© et l’un et l’autre avaient de salutaires leçons Ă  y apprendre. Élie avait dispensĂ© de la nourriture Ă  d’autres dans des jours de famine, il avait Ă©tĂ© manifestĂ© comme un homme de Dieu, apportant et la grĂące et la vĂ©ritĂ© ; au dĂ©sert, il est dĂ©pouillĂ© de tout, sauf de lui-mĂȘme, et sans ressources ! Dieu a compassion de lui, Il lui donne la nourriture dont il a besoin pour marcher et sans laquelle il n’aurait pu arriver Ă  Horeb, la montagne de Dieu. LĂ , il entre dans la caverne, sans doute au lieu oĂč l’Éternel avait autrefois, dans des circonstances toutes diffĂ©rentes, cachĂ© MoĂŻse. MoĂŻse, alors, intercĂ©dait pour le peuple ; ici, Élie parle contre le peuple ! Lui qui avait manifestĂ©, en faveur de ce peuple, un amour en connaissance et toute intelligence », selon l’expression de Philippiens 19. Dieu fait passer devant lui les diverses manifestations de sa puissance et de ses jugements ; Élie les connaissait bien vent d’orage qui avait prĂ©cĂ©dĂ© la pluie 1845, feu du ciel 1838, et ces mĂȘmes phĂ©nomĂšnes s’étaient jadis produits sur cette montagne, alors que l’Éternel donnait la loi Ă  MoĂŻse Ex. 19. Mais quelle leçon pour Élie ! L’Éternel n’était ni dans le vent, ni dans le tremblement de terre, ni dans le feu. Toute la vie du plus grand des prophĂštes, de cet homme de Dieu si remarquable, qui occupe avec MoĂŻse une place Ă©minente, aurait pu s’écouler sans qu’il eĂ»t rĂ©ellement connu Dieu, le Dieu de grĂące ! La voix douce, subtile », chose nouvelle pour lui, dĂ©passait tout ce qu’il avait expĂ©rimentĂ© jusqu’alors et, le visage enveloppĂ© dans son manteau de prophĂšte, il se tient Ă  l’entrĂ©e de la caverne MoĂŻse aussi cacha son visage, car il craignait de regarder vers Dieu » [Exode 36] et c’était aussi Ă  la montagne de Dieu, Ă  Horeb ». SinaĂŻ reprĂ©sente la loi, Horeb la montagne oĂč Dieu se manifeste en grĂące ; et c’est bien sous ce caractĂšre qu’Il se manifeste et Ă  MoĂŻse et Ă  Élie, dans ces deux scĂšnes. L’Éternel pose alors Ă  Élie la mĂȘme question que celle qu’il lui avait dĂ©jĂ  posĂ©e Que fais-tu ici, Élie ? » 1 Rois 1913 ; cf. v. 9. Et Élie fait encore la mĂȘme rĂ©ponse. Ce qu’il vient de voir et d’entendre ne lui a, au fond, rien appris ni de lui-mĂȘme ni de Dieu et il a toujours la mĂȘme pensĂ©e Ă  l’égard du peuple ! Devant le Dieu de grĂące, il se fait toujours l’accusateur du peuple et plaide pour le jugement. Eh bien, c’est Élie lui-mĂȘme qui est chargĂ© d’oindre HazaĂ«l, JĂ©hu et ÉlisĂ©e, pour ĂȘtre respectivement roi sur la Syrie, roi sur IsraĂ«l et prophĂšte Ă  sa place. Mais au lieu d’aller oindre HazaĂ«l et JĂ©hu, Élie va d’abord trouver ÉlisĂ©e et jette sur lui son manteau de prophĂšte ; s’effaçant entiĂšrement, il lui laisse le soin de remplir la premiĂšre partie de la mission qui lui avait Ă©tĂ© confiĂ©e. Il a maintenant compris ce qu’est la grĂące de Dieu et il se sent un objet de grĂące Ă  tel point qu’il ne peut oindre lui-mĂȘme HazaĂ«l et JĂ©hu, les rois qui doivent ĂȘtre les instruments de Dieu pour le chĂątiment de son peuple infidĂšle. En apparence, la carriĂšre de l’homme de Dieu est brisĂ©e, mais en rĂ©alitĂ© c’est une autre phase de l’histoire d’Élie qui s’ouvre. La premiĂšre, quelque brillante qu’elle ait Ă©tĂ© Ă  bien des Ă©gards, a abouti au genĂȘt du dĂ©sert et Ă  la caverne d’Horeb ; la seconde aura son couronnement dans le tourbillon au sein duquel Élie sera enlevĂ© aux cieux. La premiĂšre a Ă©tĂ© marquĂ©e par la puissance du prophĂšte, la deuxiĂšme par l’humiliation d’Élie. Élie a jetĂ© son manteau sur ÉlisĂ©e, non pour l’attirer aprĂšs lui 1 Rois 1920, mais pour qu’il soit prophĂšte Ă  sa place ; il manifeste alors ce qu’il n’avait pas montrĂ© en sortant de la caverne humilitĂ©, jugement de soi-mĂȘme, apprĂ©ciation de la grĂące. Dieu est pleinement glorifiĂ© par la conduite d’Élie, de sorte qu’il peut l’enlever aux cieux de la maniĂšre si remarquable qui nous est dĂ©crite en 2 Rois 2. - Juges 13 — l’Ange de l’Éternel, manifestation de Christ Par-dessus tous ceux dont nous avons parlĂ©, il en est un que l’Écriture nous prĂ©sente avec ce mĂȘme titre d’homme de Dieu, dans le chapitre 13 du Livre des Juges. La femme de Manoah disait Ă  son mari Un homme de Dieu est venu vers moi » Juges 136. Il a la parfaite connaissance de toutes choses, annonce Ă  la femme la naissance d’un fils et lui enseigne ce qu’elle doit faire dĂšs avant cette naissance ; et il rĂ©pĂšte les mĂȘmes paroles Ă  Manoah quand il vient vers lui. Puis, n’acceptant rien de celui qui voulait le retenir et lui apprĂȘter un chevreau, il dĂ©clare Si tu fais un holocauste, tu l’offriras Ă  l’Éternel ». Tout ce qu’il fait est pour son Dieu, pour sa gloire et il dĂ©sire qu’à Lui seul soient la reconnaissance et l’hommage. Qui est cet homme de Dieu qui n’avait pas dit son nom, ce nom que Manoah voulait pourtant connaĂźtre et dont il demande la rĂ©vĂ©lation ? Et l’Ange de l’Éternel lui dit Pourquoi demandes-tu mon nom ? Il est merveilleux ». Merveilleux, en effet, tel Il a Ă©tĂ© dans ce monde, Celui qui a parfaitement rĂ©vĂ©lĂ© Dieu ! Personne ne vit jamais Dieu ; le Fils unique, qui est dans le sein du PĂšre, lui, l’a fait connaĂźtre » Jean 118. En vĂ©ritĂ©, Manoah pouvait dire nous avons vu Dieu ». Puissions-nous fixer les yeux sur Lui, ĂȘtre rendus capables de manifester quelques-uns de ses caractĂšres, afin que nous soyons dans ce monde, en une mesure au moins, des hommes de Dieu accomplis et parfaitement accomplis pour toute bonne Ɠuvre » !
Beaucoupse sentent copains de Dieu a travers la pratique de leur religion. Cela s’agit d’un sujet sensible qui continue a souder autant qu’a diviser l’humanite. Etre proche de Dieu, prier, faire le bien, ainsi, respecter les fondements de sa religion va permettre a un individu de vivre en paix et en prosperite avec soi-meme.
Une maniĂšre de prier la Parole de Dieu avec foi, en utilisant les grains du chapelet, apporte de nombreuses guĂ©risons et libĂ©rations. La Parole de Dieu nous dit SI C’EST JESUS QUI VOUS REND LIBRES, VOUS SEREZ VRAIMENT LIBRES. Jn 8,36 + DĂ©couvrez cette formidable revue ci-contre sur * TEMOIGNAGE Un jour, aprĂšs que j’eus confessĂ© mes pĂ©chĂ©s, le prĂȘtre garda silence quelques instants, puis il me regarda un bout de temps et il me dit Tu as besoin de quelqu’un qui te libĂšre!» J’ai compris que par ces paroles le prĂȘtre voulait me dire Tes bons dĂ©sirs de rĂ©paration ne suffisent pas. Afin de ne pas rĂ©pĂ©ter ces pĂ©chĂ©s, tu as besoin de quelqu’un qui te libĂšre. Par toi-mĂȘme, tu n’as pas la force de les vaincre et, quand tu Ă©numĂ©reras tes fautes la prochaine fois, tu rĂ©pĂ©teras sĂ»rement tout ce que tu viens de confesser.» Les paroles du prĂȘtre se sont imprĂ©gnĂ©es dans mon coeur en lettres de feu — le feu de l’Esprit Saint Tu as besoin de quelqu’un qui te libĂšre!» Je me suis immĂ©diatement rappelĂ© le Chapelet de libĂ©ration
 Si JĂ©sus me libĂšre, je serai vraiment libre ! JĂ©sus, aie pitiĂ© de moi ! JĂ©sus, guĂ©ris-moi ! JĂ©sus, sauve-moi ! JĂ©sus, libĂšre-moi !» Et, Ă  partir de ce jour, je me suis mis Ă  le prier avec plus d’intensitĂ© et, quand je me sentais faible, je priais avec beaucoup de foi Si JĂ©sus me libĂšre, je serai vraiment libre ! JĂ©sus, aie pitiĂ© de moi ! JĂ©sus, guĂ©ris-moi ! JĂ©sus, sauve-moi ! JĂ©sus, libĂšre-moi !» Mes amis, je prends des forces! JĂ©sus me dĂ©livre de plus en plus de mes pĂ©chĂ©s. Le Seigneur, force pour son peuple.» Ps 28,8a * C’EST MAINTENANT VOTRE TOUR ! Vous aussi ĂȘtes un pĂ©cheur Si nous disons “Nous n’avons pas de pĂ©chĂ©â€, nous nous abusons, la vĂ©ritĂ© n’est pas en nous.» 1 Jn 1,8 Si vous avez le dĂ©sir d’ĂȘtre dĂ©livrĂ© de vos fautes et d’arrĂȘter de toujours accuser les mĂȘmes pĂ©chĂ©s ou, peut-ĂȘtre, d’autres pires encore, suivez mon exemple trouvez, par la foi, une personne qui vous libĂ©rera ; pas n’importe qui, mais le Seul qui puisse vous dĂ©livrer de tout ce qui vous attache au pĂ©chĂ© JĂ©sus, le Christ, notre Sauveur ! Car il n’y a pas sous le ciel d’autre nom donnĂ© aux hommes, par lequel nous devions ĂȘtre sauvĂ©s.» Ac 4,12 et Puisqu’il s’attache Ă  moi, je l’affranchis, [
] Il m’appelle et je lui rĂ©ponds [
] je le dĂ©livre et je le glorifie.» Ps 91,14a-15ac En effet, quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvĂ©.» Rm 10,13 Accueillez votre libĂ©ration dans la puissance du Nom et du Sang de JĂ©sus, en priant souvent et avec beaucoup de foi le Chapelet de libĂ©ration ! C’est avec une grande joie que je viens partager avec vous l’expĂ©rience de puissance que le Seigneur est en train de rĂ©aliser parmi nous grĂące au Chapelet de libĂ©ration. Ce Chapelet fondĂ© sur la Parole de Dieu doit ĂȘtre rĂ©citĂ© avec foi, pour glorifier le Nom puissant de notre Seigneur JĂ©sus-Christ et pour obtenir de Lui guĂ©rison, salut et libĂ©ration. Nous pouvons aussi prier le Chapelet de libĂ©ration pour les personnes que le Seigneur a mises dans notre coeur. Nous devrions toutefois prier d’abord pour nous-mĂȘmes, afin d’ĂȘtre purifiĂ©s dans le Sang de JĂ©sus, en rĂ©pĂ©tant JĂ©sus, aie pitiĂ© de moi! Seulement de cette façon pourrons-nous devenir des canaux dĂ©gagĂ©s qui laissent passer la grĂące divine. Le Chapelet de libĂ©ration ne devrait ĂȘtre rĂ©citĂ© que pour une intention Ă  la fois conversion, mariage, famille, santĂ©, travail, parentĂ©, amis, ennemis, etc
 Chaque intention prendra un Chapelet. Quand elle est rĂ©citĂ©e du fond du coeur avec foi dans la puissance libĂ©ratrice et guĂ©rissante de la Parole de Dieu et du Nom de JĂ©sus, cette intercession touche le coeur de Dieu, car elle est dite au Nom de JĂ©sus, et vous en ressentirez les effets avec promptitude et puissance. De mĂȘme que la pluie et la neige descendent des cieux et n’y retournent pas sans avoir arrosĂ© la terre, sans l’avoir fĂ©condĂ©e et l’avoir fait germer pour fournir la semence au semeur et le pain Ă  manger, ainsi en est-il de la parole qui sort de ma bouche, elle ne revient pas vers moi sans effet, sans avoir accompli ce que j’ai voulu et rĂ©alisĂ© l’objet de sa mission.» Is 55, 10-11 C’est pourquoi je vous dis tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l’avez dĂ©jĂ  reçu, et cela vous sera accordĂ©.» Mc 11,24 * Avertissement Le Chapelet de libĂ©ration ne veut en aucune façon nuire ou se substituer Ă  la dĂ©votion au TrĂšs Saint Rosaire de la Vierge Marie qui a la prioritĂ© sur toutes les autres dĂ©votions. * PRIER LE CHAPELET DE LA LIBÉRATION 1 DĂ©but Credo symbole des ApĂŽtres Je crois en Dieu, le PĂšre tout-puissant, CrĂ©ateur du ciel et de la terre. Et en JĂ©sus Christ, son Fils unique, notre Seigneur; qui a Ă©tĂ© conçu du Saint Esprit, est nĂ© de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate, a Ă©tĂ© crucifiĂ©, est mort et a Ă©tĂ© enseveli, est descendu aux enfers ; le troisiĂšme jour est ressuscitĂ© des morts, est montĂ© aux cieux, est assis Ă  la droite de Dieu le PĂšre tout-puissant, d’oĂč il viendra juger les vivants et les morts. Je crois en l’Esprit Saint, Ă  la sainte Église catholique, Ă  la communion des saints, Ă  la rĂ©mission des pĂ©chĂ©s, Ă  la rĂ©surrection de la chair, Ă  la vie Ă©ternelle. Amen. 2 Sur les GROS GRAINS on proclame la Parole de Dieu “Si c’est JĂ©sus qui me rend libre, je serai vraiment libre.” Jn 8, 36 – Si je prie pour ma famille, je dirais “Si c’est JĂ©sus qui rend libre ma famille, ma famille sera vraiment libre.” Jn 8, 36 – Si je prie pour une personne, je dirais – “Si c’est JĂ©sus qui rend libre untel, untel sera vraiment libre.” Jn 8, 36 3 Sur chaque PETIT GRAIN au lieu du “Je vous Salue Marie” dites – JĂ©sus, aie pitiĂ© de moi ! – JĂ©sus, guĂ©ris-moi ! – JĂ©sus, sauve-moi ! – JĂ©sus, libĂšre-moi ! Si vous priez pour votre famille dites – JĂ©sus, aie pitiĂ© de ma famille ! – JĂ©sus, guĂ©ris ma famille ! – JĂ©sus, sauve ma famille ! – JĂ©sus, libĂšre ma famille ! Sur les gros grains Si JĂ©sus libĂšre ma famille, elle sera vraiment libre ! Si vous prier pour une personne en particulier, par exemple Joseph, vous direz Sur les gros grains Si JĂ©sus libĂšre Joseph, il sera vraiment libre ! Sur le petits grains – JĂ©sus, aie piiĂ© de Joseph – JĂ©sus, guĂ©ris Joseph ! – JĂ©sus, sauve Joseph ! – JĂ©sus, libĂšre Joseph * SALVE REGINA Salve regina en Latin Salve, Regina, mater misericordiae. Vita, dulcedo et spes nostra, salve. Ad te clamamus, exsules filii Evae. Ad te suspiramus, gementes et flentes in hac lacrimarum valle. Eia ergo, advocata nostra, illos tuos misericordes oculos ad nos converte. Et Jesum, benedictum fructum ventris tui, nobis post hoc exilium ostende. O clemens, o pia, o dulcis Virgo Maria ! Amen. Salve Regina en Français SALUT, Ô REINE, MĂšre de misĂ©ricorde notre vie, notre douceur et notre espĂ©rance, salut ! Enfants d’Ève, malheureux exilĂ©s, nous Ă©levons nos cris vers vous; nous soupirons vers vous, gĂ©missant et pleurant dans cette vallĂ©e de larmes. O notre avocate, tournez donc vers nous vos regards misĂ©ricordieux; et au sortir de cet exil, montrez-nous JĂ©sus, le fruit bĂ©ni de vos entrailles, ĂŽ clĂ©mente, ĂŽ charitable, ĂŽ douce Vierge Marie ! PRIÈRE Seigneur JĂ©sus, nous demandons pardon pour tous nos pĂ©chĂ©s. Nous demandons, en Ton Nom, que le PĂšre envoie Son Saint Esprit dĂ©verser dans nos cƓurs le don de proclamer Ta Parole avec foi et confiance, par le Chapelet de LibĂ©ration. Nous demandons, JĂ©sus, que Ton pouvoir se manifeste dans nos vies et que Tu rĂ©alises miracles et merveilles par cette puissante priĂšre de foi qui n’est autre que la proclamation de Ta Parole. Amen. AprĂšs avoir terminĂ© la priĂšre du Chapelet de libĂ©ration, rendez grĂące Ă  JĂ©sus pour les bĂ©nĂ©dictions qu’Il dĂ©verse sur vous et sur ceux pour qui vous avez intercĂ©dĂ©. C’est vraiment simple ! Vous constaterez Ă  la fin du Chapelet de libĂ©ration les effets de la grĂące de Dieu sur vous, sur votre famille, dans la vie des personnes pour qui vous priez. Le PĂšre du ciel vous enverra guĂ©rison, salut et libĂ©ration. * JĂ©sus entendra votre priĂšre. Soyez assurĂ©s que le Seigneur JĂ©sus entendra votre supplication et qu’il rĂ©pondra Ă  votre demande, parce que la Bible affirme que la Parole ne revient pas Ă  Dieu sans avoir produit son fruit. Cf. Is 55,11 Quand vous proclamez la Parole de Dieu avec foi et repentir de vos pĂ©chĂ©s, en disant JĂ©sus, aie pitiĂ© de moi !» il est certain que la grande Victoire de JĂ©sus, de son Sang rĂ©dempteur et de sa Parole se manifestera dans votre vie et dans celle de ceux pour qui vous priez. JĂ©sus Vivant vous guĂ©rira, vous sauvera et vous libĂ©rera ! Nous croyons cela fermement, car Dieu est fidĂšle Ă  tenir ses promesses, Ă  garder sa Parole. * L’histoire de cette priĂšre Nous croyons aussi pour avoir expĂ©rimentĂ© dans notre propre vie les effets extraordinaires de la priĂšre merveilleuse du Chapelet de libĂ©ration. Nous recevons des centaines de lettres de tĂ©moignage qui nous parviennent quotidiennement depuis que nous avons commencĂ© Ă  rĂ©pandre ce Chapelet par l’émission de radio Jesus te ama» JĂ©sus t’aime ainsi que par les ministĂšres de la Comunidade de Aliança Jesus te ama CommunautĂ© d’Alliance JĂ©sus t’aime au BrĂ©sil. Si vous dĂ©sirez retrouver le texte dont nous nous servons pour prier sur les petits grains qui correspondent aux Je vous salue, Marie, ouvrez votre Bible Ă  saint Marc 10,47, oĂč l’aveugle BartimĂ©e dit Fils de David, JĂ©sus, aie pitiĂ© de moi !» Quand JĂ©sus l’entendit, Il s’arrĂȘta. Vous devez croire fermement que quand vous direz cette priĂšre avec une pleine confiance JĂ©sus-Christ, aie pitiĂ© de moi !» JĂ©sus s’arrĂȘtera et vous Ă©coutera. Alors JĂ©sus s’arrĂȘta et lui adressa la parole “Que veux-tu que je fasse pour toi ?” L’aveugle lui rĂ©pondit “Rabbouni, que je recouvre la vue!” JĂ©sus lui dit “Va, ta foi t’a sauvĂ©.” Et aussitĂŽt il recouvra la vue et il cheminait Ă  sa suite.» Mc 10, 51-52 * Saisissez-vous maintenant la puissance du Chapelet de libĂ©ration ! C’est la Puissance de la Parole de Dieu qui agit. Quand nous prions JĂ©sus-Christ, aie pitiĂ© de moi!» avec une foi pleine, en demandant le pardon de nos pĂ©chĂ©s, nous ou la personne pour laquelle nous prions sommes lavĂ©s dans le Sang de JĂ©sus. C’est la puissance de la foi dans le Nom et le Sang de JĂ©sus-Christ, notre Sauveur, que vous mettez en action. Enseignez aux autres comment prier le Chapelet de libĂ©ration et vous constaterez les fruits de JĂ©sus, non seulement dans votre coeur, mais dans les coeurs des autres! Quelle joie de savoir que JĂ©sus agit avec puissance dans notre vie grĂące au Chapelet de libĂ©ration! AllĂ©luia! Ne pensez-vous pas qu’il y a beaucoup de puissance dans le Chapelet de libĂ©ration? Quand vous priez ce Chapelet, vous proclamez le Nom de JĂ©sus 205 fois! Regis Castro Campinas Extrait de la revue Stella Maris N° 429 – Livre de Regis et MaĂźssa Castro “Chapelet de la LibĂ©ration” photo ————————– Voici une la priĂšre finale d’action de grĂące Seigneur JĂ©sus-Christ, nous voulons Te louer et Te rendre grĂące, parce que Toi, par Ta MisĂ©ricorde et pitiĂ© Tu as permis que cette priĂšre puissante produise de merveilleux fruits de guĂ©rison, de salut et de libĂ©ration dans nos vies, dans nos familles, et dans les vies de ceux pour qui nous prions. Merci JĂ©sus, pour Ton Amour infini pour nous ! Et, PĂšre cĂ©leste, nous T’aimons, PĂšre, avec toute la confiance d’enfants. Nous nous approchons de Toi Ă  cet instant, et prions que le Saint-Esprit inonde nos cƓurs. PĂšre, afin que le Saint-Esprit puisse nous envahir, nous voulons nous vider. Donc, devant la Croix de JĂ©sus Christ, nous renouvelons notre abandon total et inconditionnel en Toi. Nous demandons que tous nos pĂ©chĂ©s soient pardonnĂ©s et placĂ©s, maintenant, sur le corps blessĂ© de JĂ©sus. Nous nous vidons de toute affliction, de soucis, d’angoisse, et de tout ce qui a enlevĂ© la joie de nos vies. Nous Te livrons nos cƓurs au Nom de JĂ©sus. PĂšre, nous plaçons aussi sur le Corps crucifiĂ© de JĂ©sus toutes nos infirmitĂ©s de corps, d’ñme et d’esprit ; nos soucis pour notre famille et travail ; nos soucis de finances et problĂšmes conjugaux, et toutes nos angoisses, doutes et afflictions. Seigneur, nous supplions la puissance rĂ©demptrice du Sang de JĂ©sus. Puisse ce Sang nous couvrir maintenant afin de nettoyer et purifier nos cƓurs de tous sentiments nĂ©gatifs. JĂ©sus-Christ, aie pitiĂ© de moi ! JĂ©sus-Christ, aie pitiĂ© de nous ! Oui, PĂšre, nous voulons Te livrer tous nos dĂ©sirs, nos faiblesses, notre misĂšre et nos pĂ©chĂ©s nos coeurs, nos corps, nos Ăąmes et nos esprits tout ce que nous sommes et possĂ©dons notre foi, notre vie, mariage, famille, travail, vocation, et ministĂšre

 Remplis-nous de Ton Esprit, Seigneur ! Remplis-nous de Ton Amour, avec Ta Puissance et Ta Vie ! Viens, Saint Esprit de Dieu ! Viens, au Nom de JĂ©sus ! Viens et fais vivre en nous la Parole de Dieu proclamĂ©e dans le chapelet de LibĂ©ration, et fais que celle-ci produise dans chaque coeur la grĂące de guĂ©rir, sauver et libĂ©rer, au Nom de JĂ©sus-Christ Notre Seigneur. Amen ! * * Que Dieu vous bĂ©nisse ! Thierry Fourchaud La Bonne Nouvelle 8 rue Roger LĂ©vy – 47180 Sainte Bazeille France info A bientĂŽt sur Notre site d’évangĂ©lisation + Allez plus loin et dĂ©couvrez la formidable le livret Le Chapelet de la LibĂ©ration sur * Rejoignez le rĂ©seau des enfants de Marie Abonnez-vous Ă  la lettre gratuit site * * Transmettez ce message autour de vous, plus on donne la BĂ©nĂ©diction et plus elle grandit ! *** Autres tĂ©moignages * Je voulais continuer de tĂ©moigner du chapelet de libĂ©ration qui a ouvert mon esprit sur des choses que je ne voulais pas voir. En priant avec foi c’était les pleurs et j’ai compris que Dieu m’a visitĂ© pour me libĂ©rer, guĂ©rir. je continue de le faire pour une personne. JĂ©sus-Christ aie pitiĂ© de moi, JĂ©sus-Christ guĂ©rit moi , JĂ©sus-Christ sauve moi, JĂ©sus-Christ libĂšre priĂšre est tellement puissante que j’ai ressenti la force le premier jour de la priĂšre. Claudia * Je voulais remercier DIEU pour la puissance du chapelet de libĂ©ration qui m’a libĂ©rĂ©, dĂ©livrĂ© complĂštement d’un homme mariĂ© que je ne pouvais pas me dĂ©tacher depuis 14 ans. Je dis Merci Ă  Dieu, rien n’est impossible Ă  Dieu.
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OuiRien n'est Impossible Ă  Dieu. Mais il est important de connaitre la clĂ© Ă  utitliser.*****đŸ”„Si tu veux connaitre le Saint-
05/04/2012 1718 Consulter Dieu Consulter Dieu c'est chercher Ă  connaitre la volontĂ© de Dieu dans une situation. Nous qui sommes des chrĂ©tiens nous sommes appelĂ©s en toutes choses Ă  chercher la volontĂ© de Dieu de sorte Ă  ce que nos projets et nos agissements soient agrĂ©ables au-devant lui. La plupart des Ă©checs que nous constatons dans notre vie sont du au fait que nous ne consultions pas Dieu avant de s'engager. Nous prenons des dĂ©cisions sans savoir si Dieu est d'accord. Nous commençons des relations sans avoir auparavant demandĂ© si cela serait agrĂ©able Ă  notre pĂšre. La Bible nous dit si nous vivons par l'esprit, nous devons marcher selon l'esprit. ». Si nous acceptons que Dieu nous conduise par son esprit alors c'est que nos actes et dĂ©cisions doivent ĂȘtre sous la direction du Saint Esprit donc la volontĂ© de Dieu. Le fait de consulter Dieu nous permet non seulement de ne pas pĂ©cher contre lui dans un premier temps. Et dans un second temps d'avoir sa faveur. L'erreur de certains enfants de Dieu c'est d'agir selon leur propre volontĂ©, leurs envies et leurs convoitises. Et quand ça ne va pas il se retourne vers le pĂšre. Il nous arrive de consulter le seigneur, mais en retard aprĂšs avoir fait ce nous pensions ĂȘtre bon pour nous et que tout est gĂąchĂ©. Dans ce cas , il sera difficile que Dieu intervienne dans cette situation, car il a Ă©tĂ© mis de cĂŽtĂ© depuis le dĂ©but. S'engager sentimentalement, moralement ou physiquement dans une situation sans savoir si cela est la volontĂ© de Dieu, le plus souvent conduit Ă  l'Ă©chec et plus au pĂ©chĂ©. Il nous arrive des fois d'ĂȘtre tellement impliquĂ© que nous refusions de connaĂźtre la volontĂ© du seigneur. Comme pour nous si sa volontĂ© est diffĂ©rente de la nĂŽtre il nous sera difficile de lui obĂ©ir et voir mĂȘme impossible. Sachez qu'il est prĂ©fĂ©rable pour nous d'ĂȘtre un paĂŻen que d'ĂȘtre un chrĂ©tien qui ne cherche pas Ă  faire la volontĂ© de son Dieu. Notre manque de connaissance Ă©tant des enfants de Dieu nous amĂšne Ă  ignorer sa volontĂ© de maniĂšre constante dans notre vie. Nous nous disons qu'il y a des choses pour lesquelles Dieu n'a pas besoin d'intervenir. Cette maniĂšre de penser sans nous rendre compte nous Ă©loigne de Dieu, car pour Dieu sa volontĂ© compte plus que tous les sacrifices. Il est prĂ©fĂ©rable pour nous de connaĂźtre la volontĂ© de Dieu en toute chose. Le consulter avant de s'engager dans une situation ou un projet. Consulter le seigneur doit ĂȘtre quelque chose de normal pour nous. Que Dieu nous aide Ă  chercher sa face afin que nous soyons des enfants agrĂ©ables.

Reclamera Dieu de realiser l’impossible. Voici desormais la marche a suivre pour demander a Dieu de realiser l’impossible pour vous : Cela reste evidemment fondamental dans un premier lieu d’avoir la foi. Pour i§a, lisez le livre sacre de ce religion et suivez 1 modele qui vous guidera sur le droit chemin, ce modele devra etre un

TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Le fait de demander Ă  Dieu de vous pardonner de vos pĂ©chĂ©s est un important processus. Il est essentiel que vous admettiez que vous avez pĂ©chĂ© et que vous soyez sincĂšrement dĂ©solĂ© de l’avoir commis. Par consĂ©quent, vous devez venir Ă  Dieu, prier en lisant les saintes Écritures et demander sa misĂ©ricorde. Ensuite, vous devez croire qu’il vous a pardonnĂ© et une fois qu’il vous a accordĂ© son pardon, vous devez laisser derriĂšre vous les pĂ©chĂ©s que vous avez commis et vivre une nouvelle vie. 1 Mentionnez et admettez ce que vous avez fait. Avant d’implorer le pardon de Dieu, vous devrez spĂ©cifiquement dire ce que vous aviez fait de mal et admettre que vous l’avez fait. Vous pourriez ĂȘtre tentĂ© de nier ou de trouver des excuses Ă  ce que vous avez fait, si vous culpabilisez. Pour se confesser, il est vivement recommandĂ© d'aller voir un prĂȘtre, car il reprĂ©sente JĂ©sus c'est Lui qui vous pardonne en personne. Il est impossible pour vous, d’avoir le pardon de Dieu, si vous ne reconnaissez pas vos erreurs [1] . Par exemple, vous pourriez dire je n’aurais peut-ĂȘtre que pas dĂ» mentir, mais j’avais de bonnes raisons de le faire et aprĂšs tout, ce n’est qu’un petit mensonge ». Dans ce cas, vous essayez simplement de justifier ce que vous aviez fait au lieu de l’admettre. Priez en disant par exemple PĂšre, j’ai pris 5 euros Ă  mon frĂšre sans le lui demander ». Ici, vous aviez nommĂ© le pĂ©chĂ© le vol et vous en avez assumĂ© la responsabilitĂ©, sans excuse. 2 Dites Ă  Dieu que vous reconnaissez que ce que vous aviez fait est mal. AprĂšs avoir mentionnĂ© la nature de votre pĂ©chĂ©, vous devez reconnaitre que vous vous ĂȘtes mal comportĂ©. Parce qu’il est possible que vous arriviez Ă  dire ce que vous aviez fait, sans le regretter. Il est inutile de reconnaitre que vous vous ĂȘtes mal comportĂ©, si vous n’admettez pas que vous aviez tort [2] . Vous n’allez pas recevoir le pardon de Dieu si vous dites par exemple j’ai eu une relation extraconjugale avec un de mes collĂšgues, mais je ne vois rien de mal Ă  cela ». Vous devez considĂ©rer ce que vous avez fait comme un pĂ©chĂ©, comme quelque chose qui rend Dieu mĂ©content. 3 Dites que vous regrettez ce que vous avez fait. Il ne suffit pas de mentionner le pĂ©chĂ© commis et d’admettre votre erreur pour avoir le pardon de Dieu. Vous devez aussi vous excuser, vous sentir dĂ©solĂ© pour l’avoir commis et laisser ce regret s’exprimer lorsque vous Lui parlez. Il est essentiel que vous Ă©prouviez des remords lorsque vous vous excusez [3] . Demander le pardon de Dieu n’est pas la mĂȘme chose que de s’excuser auprĂšs d’un frĂšre sans rĂ©ellement ĂȘtre dĂ©solĂ©. Cela doit partir du cƓur. Par exemple, vous pourriez dire je sais que ce que j’ai fait est mauvais et je me sens vraiment mal par rapport Ă  cela. Je m’excuse d’avoir ruinĂ© notre relation, je suis dĂ©solĂ© d’avoir pĂ©chĂ© contre toi, Seigneur ». 1 Priez en vous concentrant sur ce que vous ressentez. Vous devez ĂȘtre sincĂšre quand vous demandez pardon Ă  Dieu. Si vous pensez que Dieu connait votre cƓur, il n’y a aucun sens Ă  lui mentir. Dites-lui Ă  quel point vous vous sentez coupable d’avoir pĂ©chĂ© et Ă  quel point vous ĂȘtes triste de vous ĂȘtre dĂ©tournĂ© de lui. Vous pourriez lui dire Seigneur, je me sens trĂšs mal, car je sais que je t’ai blessĂ© ». Il est prĂ©fĂ©rable de prier Ă  haute voix en disant exactement ce qui se passe dans votre esprit, au lieu de simplement y penser. 2 Utilisez des passages bibliques dans la priĂšre. La Parole de Dieu est trĂšs puissante et Dieu vous encourage Ă  l’utiliser lorsque vous lui parlez. Étant donnĂ© que la Bible est la parole de Dieu, elle constitue un modĂšle pour savoir comment lui parler. Recherchez dans la Bible ou sur Internet, les passages concernant la demande du pardon. Lisez-les pour donner un sens Ă  votre priĂšre. Trouvez les passages suivants et rĂ©citez-les dans votre priĂšre Romains 6 23, Jean 3 16 et 1 Jean 2 2. Chacun de ces versets bibliques parle du pardon, mais le Nouveau Testament est plein de vĂ©ritĂ©s concernant le pardon. Recherchez vous-mĂȘme les passages de la Bible qui ont rapport Ă  votre pardon. Ainsi, vous pourrez les rĂ©pĂ©ter mot pour mot ou les paraphraser afin qu’ils aient une plus grande signification pour vous. 3 Invoquez le pardon de Dieu pour ce que vous avez fait. Demandez-lui de vous pardonner aprĂšs avoir dit que vous ĂȘtes dĂ©solĂ©, comme vous l’auriez fait avec d’autres personnes. Il n’y a pas de priĂšre spĂ©ciale Ă  rĂ©citer pour obtenir son pardon. Il vous suffit de lui demander simplement de vous pardonner Ă  travers JĂ©sus et de croire qu’il va vous pardonner [4] . Dites-Lui par exemple j’ai niĂ© te connaitre Ă  mon ami. C’était mal et lĂąche de ma part de faire cela. Je suis dĂ©solĂ© de ne pas lui avoir parlĂ© de ton amour pour nous. Pardonne-moi s’il te plait Seigneur, d’avoir Ă©tĂ© faible Ă  ce moment ». Il n’est pas nĂ©cessaire de le supplier ou de rĂ©pĂ©ter sans cesse de vous pardonner. La seule chose que vous aurez Ă  faire, c’est d’implorer son pardon une seule fois avec sincĂ©ritĂ©. 4 Dites au Seigneur que vous croyez en son pardon. La foi et le pardon vont de pair. Il n’est pas bon de demander pardon Ă  Dieu sans croire qu’il le fera. Dieu dit qu’il va vous pardonner quand vous vous repentez avec un cƓur sincĂšre. Dites-vous et dites au Seigneur que vous croyez en lui [5] . Dans 1 Jean 1 9 il est dit Si nous reconnaissons nos pĂ©chĂ©s, il est fidĂšle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de tout mal. » RĂ©citez ce passage Ă  Dieu et croyez-le. Vous devez vous rappeler que les pĂ©chĂ©s pardonnĂ©s sont oubliĂ©s. Dans HĂ©breux 8 12 9 il est dit Parce que je pardonnerai leurs iniquitĂ©s et que je ne me souviendrai plus de leurs pĂ©chĂ©s. » En allant Ă  la messe le dimanche, lors du Kyrie, on demande pardon pour ses pĂ©chĂ©s vĂ©niels, et l'on est pardonnĂ©. Cela complĂšte la confession au cas oĂč, en se confessant, on ait oubliĂ© ses pĂ©chĂ©s. 1 Demandez pardon aux personnes que vous avez blessĂ©es. Bien que le pĂ©chĂ© brise notre relation avec Dieu, d’autres personnes peuvent en souffrir Ă©galement. Il est capital de rechercher le pardon de ceux que vous avez offensĂ©s, quand vous savez que Dieu vous a pardonnĂ©. Dites-leur que vous regrettez le mal que vous leur aviez fait et demandez-leur de vous pardonner [6] . Gardez en esprit que vous ne pouvez pas forcer quelqu’un Ă  vous pardonner. Ce dernier peut accepter ou pas de vous pardonner. N’insistez pas s’ils refusent. Vous ne pouvez pas les forcer Ă  changer d’avis. Une fois que vous aurez prĂ©sentĂ© vos excuses et demandĂ© pardon, vous serez libĂ©rĂ© de votre conscience. MĂȘme s’ils ne vous pardonnent pas, vous auriez fait votre part en essayant de vous racheter. 2 Repentez-vous de votre mauvais comportement. Lorsque vous aurez le sentiment que vous ĂȘtes pardonnĂ© par le Seigneur et tous ceux que vous aviez offensĂ©s, vous devrez vous dĂ©tourner de ce pĂ©chĂ© et prendre la dĂ©cision de ne plus recommencer Ă  dessein les mĂȘmes erreurs [7] . Retenez que vous allez toujours pĂ©cher Ă  nouveau. Mais il est important de dire Ă  ce moment que vous allez vous dĂ©tourner du pĂ©chĂ©. Le seul moyen de vous Ă©loigner d’un pĂ©chĂ© que vous avez l’habitude de commettre est de vous dire que vous n’allez plus recommencer. Essayez de lire Actes 2 38 Repentez-vous et que chacun de vous soit baptisĂ© au nom de JĂ©sus Christ, pour le pardon de vos pĂ©chĂ©s et vous recevrez le don du Saint-Esprit. » Demander pardon est important, mais il est aussi nĂ©cessaire de s’éloigner du pĂ©chĂ© pour rester proche de Dieu. 3 Efforcez-vous pour Ă©viter de rĂ©pĂ©ter les mĂȘmes erreurs. Pour suivre le Christ, vous devez vous Ă©loigner du pĂ©chĂ© et par consĂ©quent vous devrez ĂȘtre vĂ©ritablement engagĂ©. Il vous est impossible de cesser de pĂ©cher tout de suite, mais si vous vous efforcez, vous y arriverez. Dans Matthieu 5 48, il est dit Soyez donc parfaits comme votre PĂšre cĂ©leste est parfait. » Vos efforts doivent converger vers cet objectif [8] . Trouvez des personnes qui peuvent vous aider Ă  ne pas commettre les mĂȘmes pĂ©chĂ©s. Apprenez des passages bibliques pour vaincre la tentation. Gardez en esprit que le pĂ©chĂ© ne fait que du mal et ne sert Ă  rien. Prenez le temps de lire la Bible, de prier et de converser avec d’autres chrĂ©tiens. Ce sont des choses essentielles pour vivre une vie sans pĂ©chĂ©. À propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 85 012 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ? Lenouveau livre de Linda Shepherd vous donnera quelques vĂ©ritĂ©s bibliques solides pour vous aider Ă  demander–et croire-Dieu pour l’impossible., Je ne propose gĂ©nĂ©ralement pas de critiques de livres et de cadeaux de livres sur des blogs consĂ©cutifs, mais il m’est arrivĂ© de lire et de revoir ces livres Ă  peu prĂšs au mĂȘme moment. C'est quoi un podcast ? Un podcast est un contenu audio numĂ©rique que l'on peut Ă©couter quand on veut, oĂč l'on veut. Pour une dĂ©finition beaucoup plus complĂšte c'est ici. Sur Podmust nous vous proposons d'Ă©couter les Ă©pisodes rĂ©cents des podcasts que nous rĂ©fĂ©rençons. Comment je fais pour Ă©couter d'autres Ă©pisodes du podcast ? Pour suivre le podcast Dans La TĂȘte D’un Coureur, la meilleure solution c'est de s'abonner. Pour cela, plusieurs options existent Comment je fais pour Ă©couter d'autres podcasts ? Cliquez ici pour dĂ©couvrir un podcast au hasard, ou ici pour parcourir nos diffĂ©rentes collections thĂ©matiques. Vous avez la flemme ? OK, on vous propose directement quelques podcasts similaires. Mais sĂ©rieusement, faites un effort... Et c'est quoi Podmust ? Podmust est un projet ayant pour mission de dĂ©mocratiser le podcast tout en construisant une sĂ©lection des meilleures productions. Vous pouvez nous aider Ă  remplir notre mission en partageant cette page cela aide aussi le podcast, au passage.
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Reclamera Dieu de realiser l’impossible. Voici desormais la marche a suivre pour demander a Dieu de realiser l’impossible concernant vous : Il va i?tre bien entendu fondamental dans un premier lieu d’avoir la foi. Pour cela, lisez le livre sacre de ce religion et suivez votre modele qui vous guidera sur le droit chemin, ce modele devra Qui est Maria Goretti ?La jeune Maria Goretti n'avait pas encore douze ans quand elle mourut sous les coups de son bourreau pour avoir rĂ©sistĂ© Ă  ses avances. En priant cette neuvaine, demandons-lui nous obtenir la grĂące d'un cƓur pur, quel que soit notre parcours, quel que soit notre vĂ©cu, car Heureux les cƓurs purs, ils verront Dieu » Mt 5, 8.Que veut nous dire cette jeune fille morte en 1902 ? Elle nous montre que la puretĂ© est un Ă©tat d'esprit, un dĂ©sir du cƓur, une grĂące Ă  demander. Courageusement, aprĂšs la mort de son pĂšre, elle aida sa maman dans les travaux de la ferme et l'Ă©ducation de ses frĂšres et sƓurs. Son plus grand dĂ©sir est de faire sa premiĂšre communion. Elle est rayonnante, belle, douce, et attire la convoitise de leur voisin, un adolescent acariĂątre. En refusant de lui cĂ©der, elle perdra la vie. Au milieu des souffrances de sa longue agonie, elle trouve la force de pardonner, pour l'amour de exemple nous comble de joie et sa priĂšre nous remplit d'espĂ©rance nous aussi, nous avons une mission Ă  accomplir en ce monde, un tĂ©moignage Ă  sainte Maria Goretti d'ouvrir nos cƓurs toujours davantage Ă  l'amour de Dieu. Soyons des tĂ©moins de l'Évangile, pour que, de nos cƓurs purifiĂ©s par la grĂące, ne sortent que des paroles Ă©difiantes, des regards bienveillants, des gestes compatissants et des pensĂ©es jour, recevez un extrait de la vie de sainte Maria Goretti une version Ă  Ă©couter et une version Ă  lireun conseil en lien avec le thĂšme Ă©voquĂ©une priĂšre en lien avec le thĂšme Ă©voquĂ©Programme de la neuvaine Jour 1 Une famille oĂč l'on prieJour 2 La joie malgrĂ© les Ă©preuves de la vieJour 3 Une petite fille courageuseJour 4 Un grand dĂ©sir de DieuJour 5 La premiĂšre communionJour 6 Tais-toi ou je te tue ! »Jour 7 L'impossible pardonJour 8 Les fruits du pardonJour 9 Quelle grĂące pour nous aujourd'hui ?Pour aller plus loin - Odile HaumontĂ©, Maria Goretti et Myriam Achkar, La force des colombes », coll. Les Sentinelles » n° 46, Pierre TĂ©qui DVD La fille des marais – La vie de Maria Goretti », NS VidĂ©o/Pierre TĂ©qui Ă©diteur, noir et blanc, Odile HaumontĂ©, Sainte Maria Goretti, l'impossible pardon », site Notre Histoire avec Marie, 1902.
NationalCenter for Diagnosis and Treatment of Infertility Misurata. 8:00am-3:00pm +21809123456
Dans une sociĂ©tĂ© de plus en plus laĂŻque, de nombreuses personnes aujourd’hui, en particulier celles qui frĂ©quentent l’école publique ou l’enseignement supĂ©rieur, subissent une pression intense pour rejeter la croyance en Dieu. Dans la plupart des collĂšges et des universitĂ©s, surtout dans le monde occidental, un grand nombre de jeunes hommes et de jeunes femmes initialement convaincus de l’existence de Dieu finissent par la nier. Ils ne sont pas prĂ©parĂ©s au dĂ©ferlement d’arguments donnĂ©s dans les manuels scolaires et les cours dispensĂ©s par des enseignants athĂ©es et agnostiques. Que peut-on faire pour Ă©viter ces rĂ©sultats tragiques ? Il existe un Ă©lĂ©ment fondamental, pour vous et vos enfants. Cet Ă©lĂ©ment est de vous informer et de vous munir d’arguments et de rĂ©ponses pour contrer les atteintes Ă  la croyance en Dieu qu’ils rencontreront. Que montrent les preuves ? Ironiquement, Ă  mesure que les dĂ©couvertes scientifiques progressent, les preuves de l’existence de Dieu se sont renforcĂ©es au lieu de s’affaiblir, bien que la plupart des mĂ©dias et des Ă©tablissements d’enseignement ne l’admettent pas. Une exception est un article rĂ©cent paru dans la page d’opinion du New York Times, dans lequel Ross Douthat dĂ©fend l’idĂ©e qu’il y a d’importantes maniĂšres par lesquelles les progrĂšs de la science et l’expĂ©rience de la modernitĂ© ont renforcĂ© les raisons de prendre en considĂ©ration l’idĂ©e d’un Dieu » A Guide to Finding Faith, [Un guide pour trouver la foi], le 14 aoĂ»t 2021, nous mettons en italique. Il explique Le grand projet de la physique moderne, par exemple, a conduit Ă  spĂ©culer sur l’existence de multivers univers multiples il existerait une multitude d’univers, dont l’un serait celui oĂč nous vivons. Ce grand projet a en partie confirmĂ© Ă  plusieurs reprises l’étrange adĂ©quation de notre Univers Ă  la vie humaine. Si la science a discrĂ©ditĂ© certaines idĂ©es spĂ©cifiques sur la façon dont Dieu a structurĂ© le monde naturel, elle a aussi rĂ©vĂ©lĂ© la beautĂ© mathĂ©matique des lois physiques, leur rĂ©glage Ă©vident en faveur de l’émergence de la vie, et nous donne une idĂ©e beaucoup plus prĂ©cise qu’elle ne l’était pour les gens, il y a 500 ans. » Le Dr Stephen Meyer, pionnier de l’Intelligent Design, dont il est question ailleurs dans ce numĂ©ro, ajoute Les dĂ©veloppements majeurs de la science au cours des cinq derniĂšres dĂ©cennies convergent fortement dans la direction du thĂ©isme. La science, quand elle est pratiquĂ©e correctement, pointe vers Dieu. » citĂ© par Lee Strobel, The Case for a Creator, 2004, p. 77. Il est vital d’avoir foi en l’existence de Dieu HĂ©breux 116. Toutefois il ne s’agit pas d’une foi aveugle, mais d’une foi fondĂ©e sur des preuves Ă©videntes de la crĂ©ation tout autour de nous Romains 120. Les scientifiques peuvent hĂ©siter Ă  l’admettre, mais ils ont de plus en plus de mal Ă  nier l’image globale d’un univers soigneusement conçu et dĂ©terminĂ©. Ell a publiĂ© un livre plus rĂ©cent en 2020 intitulĂ© Proofs of God A Conversation Between Reason and Doubt Prouver Dieu une conversation entre la raison et le doute. Bien qu’il ait Ă©tĂ© Ă©crit pour les adolescents et les jeunes adultes, ses arguments clairs et convaincants en faveur d’un CrĂ©ateur sont vivement recommandĂ©s Ă  tous. Les preuves de la crĂ©ation intelligente ne cessent de s’accumuler. Nous allons examiner ici sept dĂ©couvertes scientifiques qui prouvent l’existence de Dieu. 1. La science a dĂ©couvert de nombreuses preuves que l’Univers a eu un commencement. Il y a 100 ans, le consensus scientifique Ă©tait que l’Univers Ă©tait Ă©ternel. Cette idĂ©e commença Ă  s’effilocher suite aux implications de la thĂ©orie de la relativitĂ© d’Albert Einstein en 1916, oĂč ses Ă©quations indiquaient un univers en expansion. Cependant, celui-ci n’aimait pas ce rĂ©sultat, et par consĂ©quent, il ajouta une constante Ă  son Ă©quation annulant ainsi l’expansion de l’Univers. Plus tard, il admit que cela avait Ă©tĂ© la plus grosse erreur mathĂ©matique de sa vie. Puis, en 1929, l’astronome Edwin Hubble affirme avoir vu des galaxies en expansion vers l’extĂ©rieur, ce qui signifie qu’elles avaient Ă©tĂ© beaucoup plus proches les unes des autres dans le passĂ©. Einstein, intriguĂ©, voulut voir les preuves par lui-mĂȘme et en 1931, il se rendit Ă  l’observatoire du Mont Wilson Ă  Los Angeles, en Californie. Einstein regarda Ă  travers le tĂ©lescope, examina les preuves et conclut Je vois maintenant la nĂ©cessitĂ© d’un commencement. » Ce fut le dĂ©but d’un changement dans l’attitude des scientifiques Ă  l’égard du cosmos. Chaque annĂ©e nous apporte de nouvelles preuves scientifiques qui nous Ă©merveillent, des faits pour lesquels il n’y a essentiellement aucune explication sans un Dieu, aucun moyen crĂ©dible de d’expliquer cette merveille. Des dĂ©cennies plus tard, en 1965, deux scientifiques amĂ©ricains dĂ©tectĂšrent les vestiges de l’explosion initiale d’énergie de l’évĂ©nement crĂ©ateur gĂ©nĂ©ralement appelĂ© Big Bang ». Ils reçurent tous deux le prix Nobel de physique. L’un d’entre eux, Arno Penzias, dĂ©clara plus tard Les meilleures donnĂ©es que nous avons [sur le Big Bang] sont exactement ce que j’aurais prĂ©dit si je n’avais rien d’autre Ă  ma disposition que les cinq premiers livres de MoĂŻse, les Psaumes et la Bible dans son ensemble. » Clues to Universe Origin Expected, [Des indices auxquels on s’attendait quant Ă  l’origine de l’Univers] The New York Times, 12 mars 1978, p. 1. Avec les preuves dont nous disposons, ce qui est Ă©crit dans GenĂšse 11 a vĂ©ritablement choquĂ© de nombreux scientifiques par son exactitude Au commencement, Dieu crĂ©a les cieux et la terre ». Il est dit ici que l’Univers de matiĂšre et d’énergie est apparu Ă  un certain moment dans le temps et que tout a Ă©tĂ© créé par un CrĂ©ateur suprĂȘme qui existait avant tout cela. C’était une Ă©norme preuve de l’existence de Dieu, sans rĂ©elle explication alternative pour un univers qui, selon la physique moderne, est apparu Ă  partir de rien. 2. La science a dĂ©couvert que l’Univers est prĂ©cisĂ©ment rĂ©glĂ© pour la vie Il y a presque 50 ans, en 1973, le physicien Brandon Carter dĂ©couvrit que les constantes ou lois indĂ©pendantes de la physique ont en commun une caractĂ©ristique trĂšs inhabituelle elles ont prĂ©cisĂ©ment les valeurs nĂ©cessaires pour Ă©tablir et maintenir un univers capable de produire la vie. Il s’agit d’une autre preuve Ă©norme et pratiquement incontestĂ©e d’un univers soigneusement conçu. Les scientifiques dĂ©couvrirent quelques 30 constantes ou lois de la physique qui rĂ©gissent l’Univers. Toutes ces lois n’ont aucun rapport entre elles et sont pourtant finement ajustĂ©es dans des proportions incroyables pour rendre la vie possible. Les preuves indiquent que quelqu’un » a passĂ© beaucoup de temps Ă  rĂ©gler toutes ces lois pour qu’elles fonctionnent Ă  l’unisson. Fait remarquable, la Bible rĂ©vĂ©la cette vĂ©ritĂ© bien avant qu’aucun scientifique ne dĂ©couvre ces faits. Comme le dit JĂ©rĂ©mie 3325, Mais voici ce que je dĂ©clare J’ai fait un pacte avec le jour et la nuit ; j’ai imposĂ© mes lois au ciel et Ă  la terre. » Version Bible Français Courant 3. Les scientifiques ne peuvent pas expliquer l’origine de la vie et de son code gĂ©nĂ©tique en dehors d’un CrĂ©ateur. Contrairement Ă  ce que beaucoup ont Ă©tĂ© amenĂ©s Ă  croire, les scientifiques n’ont aucune explication rĂ©aliste de la façon dont la vie est apparue. MĂȘme le cĂ©lĂšbre athĂ©e et Ă©volutionniste Richard Dawkins a admis, concernant l’apparition de la vie, que personne ne sait comment cela s’est produit » Climbing Mount Improbable, 1996, p. 282. En outre, l’un des dĂ©couvreurs du code de l’ADN, l’athĂ©e Francis Crick, fit cette conclusion Tout homme honnĂȘte, dotĂ© de l’ensemble du savoir auquel nous avons accĂšs aujourd’hui, ne peut pas vraiment faire plus qu’admettre que l’origine de la vie semble, pour le moment, ĂȘtre une sorte de miracle, Ă©tant donnĂ© le nombre incroyable de conditions qui doivent ĂȘtre satisfaites pour que cette vie apparaisse. » Life Itself Its Origin and Nature, 1981, p. 88. Au cours des 60 derniĂšres annĂ©es, les biologistes dĂ©couvrirent que la vie commença avec une Ă©norme quantitĂ© d’informations prĂ©cises dĂ©jĂ  intĂ©grĂ©es dans la cellule. Le gĂ©nome humain Ă  lui seul contient environ 3 milliards de lettres gĂ©nĂ©tiques suffisamment arrangĂ©es pour donner des instructions Ă  la cellule. De plus, les scientifiques n’ont jamais trouvĂ© de matiĂšre inorganique pour crĂ©er un systĂšme d’informations codĂ©es et la machinerie pour l’interprĂ©ter. Depuis les cellules les plus primitives jusqu’aux ĂȘtres humains, tous possĂšdent le mĂȘme systĂšme d’exploitation de base d’une complexitĂ© Ă©poustouflante, avec des codes, des Ă©metteurs et des rĂ©cepteurs qui fonctionnent tous ensemble. En outre, la question de l’origine de la vie nous rappelle un peu un paradoxe bien connu Qu’est-ce qui est apparu en premier l’Ɠuf ou la poule ». Dans ce cas, pour que la vie apparaisse, il faut avoir Ă  la fois le code gĂ©nĂ©tique complet et les protĂ©ines — les piĂšces de la machine — qui lisent le code et construisent de nouvelles protĂ©ines. Sans le code, vous ne pouvez pas construire de protĂ©ines et sans protĂ©ines, vous ne pouvez pas traiter le code. Alors comment les deux ont-ils pu apparaĂźtre en mĂȘme temps ? 4. La science a prouvĂ© que la vie biologique fonctionne grĂące Ă  des millions de machines robotisĂ©es » programmĂ©es de maniĂšre sophistiquĂ©e. Pour illustrer et comprendre ce qui se passe Ă  l’intĂ©rieur d’une cellule, le mieux est de s’imaginer une grande ville grouillante de vie et de mouvement. Le biochimiste Michael Denton dĂ©crit la cellule de cette façon Pour saisir la rĂ©alitĂ© de la vie telle qu’elle a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e par la biologie moderne, il faudrait agrandir la cellule 1 milliard de fois jusqu’à ce qu’elle atteigne un diamĂštre de 20 km et ressemble Ă  un aĂ©ronef gĂ©ant assez vaste pour recouvrir une grande ville comme Londres ou New York. On dĂ©couvrirait alors un objet d’une complexitĂ© et d’une finalitĂ© adaptative sans pareil [
] Toutes sortes de machines semblables Ă  des robots se prĂ©senteraient Ă  nos regards dans toutes les directions. On remarquerait que les plus simples des composantes fonctionnelles de la cellule, les molĂ©cules de protĂ©ines, sont des piĂšces de machinerie molĂ©culaire d’une Ă©tonnante complexitĂ©, chacune composĂ©e de 3 mille atomes disposĂ©s selon une configuration spatiale tridimensionnelle hautement organisĂ©e [
] On s’étonnerait d’autant plus en regardant les Ă©tranges et significatives activitĂ©s de ces machines molĂ©culaires bizarres, en particulier aprĂšs avoir rĂ©alisĂ© que, malgrĂ© toutes les connaissances que nous avions accumulĂ©es sur la physique et la chimie, la tĂąche de concevoir un tel systĂšme molĂ©culaire — c’est-Ă -dire une seule molĂ©cule de protĂ©ine fonctionnelle — serait au-delĂ  de nos capacitĂ©s. » Evolution A Theory in Crisis, [L’Évolution une thĂ©orie en crise], 1986, p. 329. C’est pourquoi les biochimistes ont du mal Ă  croire et Ă  expliquer que l’évolution aveugle puisse construire une telle machine et faire en sorte que toutes les piĂšces fonctionnent ensemble dĂšs le dĂ©part. En outre, pour que le corps humain continue de fonctionner, les biologistes calculent qu’ environ 330 milliards de cellules sont remplacĂ©es chaque jour, ce qui Ă©quivaut Ă  environ 1 % de toutes nos cellules. » Mark Fischetti, Our Bodies Replace Billions of Cells Every Day, [Nos corps remplacent des milliards de cellules chaque jour], Scientific American, 1er avril 2021. Depuis les cellules les plus primitives jusqu’aux êtres humains, tous possèdent le même système d’exploitation de base d’une complexité époustouflante. Nous considĂ©rons la vie comme allant de soi, » ajoute Douglas Ell, car elle est partout. Notre planĂšte est envahie de machines biologiques. Il existe au moins 10 millions de types espĂšces diffĂ©rents de machines ; certains estiment que des dizaines de millions d’autres types espĂšces n’ont pas encore Ă©tĂ© dĂ©couverts [...] Des systĂšmes coordonnĂ©s permettent aux baleines bleues de plonger Ă  des milliers de mĂštres sous le niveau de la mer sans ĂȘtre Ă©crasĂ©es et de braire des chants complexes qui traversent les ocĂ©ans. D’autres systĂšmes permettent aux abeilles d’exĂ©cuter une danse qui indique aux autres abeilles oĂč se trouvent les meilleures sources de pollen. Il existe des systĂšmes pour se cacher, des systĂšmes pour se battre, des systĂšmes pour se reproduire, des systĂšmes pour se nourrir, des systĂšmes pour communiquer, et ainsi de suite. » Counting to God, p. 110. De telles dĂ©couvertes montrent que tout ce qui concerne la vie est programmĂ© dans les moindres dĂ©tails et que pratiquement rien n’a Ă©tĂ© laissĂ© au hasard. Cette conception exquise indique-t-elle une Ă©volution ou un Dieu ? La rĂ©ponse est Ă©vidente. 5. La science a dĂ©couvert que les premiĂšres preuves de vie Ă©taient trĂšs variĂ©es, entiĂšrement formĂ©es et sans transitions. Bien que Darwin ait intitulĂ© son livre L’origine des espĂšces au moyen de la sĂ©lection naturelle », il n’a jamais Ă©tĂ© en mesure d’étayer cette hypothĂšse. De nombreuses personnes supposent que la thĂ©orie de l’évolution, avec ses innombrables mutations et la sĂ©lection naturelle comme moyen de changement, peut expliquer l’origine et le dĂ©veloppement de tous les ĂȘtres vivants sur cette planĂšte. Il s’agit pourtant d’un tour de passe-passe, puisque l’évolution peut rendre compte de la microĂ©volution, ou changements au sein de l’espĂšce comme les chiens de tailles, de formes et de couleurs diffĂ©rentes, mais pas de la macroĂ©volution, ou changements d’un type de crĂ©ature Ă  un autre. La sĂ©lection naturelle peut vous renseigner sur la survie de l’espĂšce, mais rien sur son apparition. Elle ne peut certainement pas retracer l’origine des quelques 10 millions d’espĂšces prĂ©sentes sur terre. Celles-ci sont classĂ©es en quelque 33 types de corps principaux ou phylum ou embranchements, comme les Ă©ponges, les vers, les insectes et les mammifĂšres. Darwin prĂ©dit qu’au fur et Ă  mesure que les archives fossiles seraient dĂ©couvertes, elles montreraient des types d’espĂšces apparaissant progressivement, en commençant par une ou quelques espĂšces, puis en passant de formes de vie simples jusqu’à des formes plus complexes. Il Ă©crivit Si de nombreuses espĂšces [...] ont rĂ©ellement commencĂ© Ă  vivre en une seule fois, ce fait serait fatal Ă  la thĂ©orie de l’évolution par la sĂ©lection naturelle. » Origine des espĂšces, 1859, p. 305. Pourtant, c’est prĂ©cisĂ©ment ce que l’on a dĂ©couvert — des types de corps importants apparaissant Ă  ce que l’on considĂ©rait comme le dĂ©but du registre fossile plutĂŽt que dans des sĂ©diments dĂ©posĂ©s plus tard. Les scientifiques appellent cela l’explosion cambrienne », en rĂ©fĂ©rence aux principaux types de plantes et d’animaux qui apparaissent soudainement entiĂšrement formĂ©s dans cette couche de fossiles. C’est le contraire de ce que Darwin et les Ă©volutionnistes avaient affirmĂ© voir apparaĂźtre — mais ils n’ont pas de vĂ©ritable explication ou rĂ©ponse. Sur les 33 principaux types d’organismes, 23 d’entre eux soit 70 % apparaissent au stade initial des archives fossiles. Par analogie, nous pourrions comparer cela Ă  la dĂ©couverte de diffĂ©rentes inventions aussi diffĂ©rentes qu’une machine Ă  laver, un rĂ©frigĂ©rateur, un vĂ©lo, une voiture et un avion. Bien qu’ils aient certaines caractĂ©ristiques en commun, ils ont des fonctions et des buts trĂšs distincts. De mĂȘme, les principaux types de crĂ©atures trouvĂ©s dans la couche cambrienne, tels que les Ă©ponges, les vers, les trilobites et les poissons sans mĂąchoires, sont trĂšs divers, complexes et sont apparus soudainement, sans aucune preuve que ces principaux types de corps aient Ă©voluĂ© Ă  partir d’autres crĂ©atures. Oui, Darwin fut déçu par les archives fossiles ! 6. La science a montrĂ© que la Terre est une planĂšte unique, avec tant de conditions idĂ©ales » pour soutenir la vie. En 1980, Carl Sagan prĂ©senta la cĂ©lĂšbre sĂ©rie documentaire tĂ©lĂ©visĂ©e Cosmos. DĂ©jĂ  en 1966, Il pensait que pour qu’il y ait de la vie, deux conditions seulement devaient ĂȘtre prĂ©sentes un bon type d’étoile et une planĂšte Ă  la bonne distance. Cette conclusion s’est avĂ©rĂ©e totalement erronĂ©e. Aujourd’hui, plus d’un demi-siĂšcle plus tard, les scientifiques ont compris que plus de 200 conditions doivent ĂȘtre rĂ©unies pour que la vie existe et se dĂ©veloppe. Comme l’explique l’auteur Eric Metaxas De nos jours, il existe plus de 200 paramĂštres nĂ©cessaires connus pour qu’une planĂšte puisse soutenir la vie ; et chacun d’eux doit ĂȘtre parfaitement rĂ©glĂ©. Sans une planĂšte aussi grosse que Jupiter, prĂšs de la nĂŽtre, dont la gravitĂ© Ă©loigne les astĂ©roĂŻdes, il y en aurait mille fois plus qui frapperaient la surface de la Terre. Les chances en faveur de la vie au sein de l’Univers sont incroyablement infimes. » Science Increasingly Makes the Case for God, [La science plaide de plus en plus en faveur d’un Dieu] The Wall Street Journal, 25 dĂ©cembre 2014. Notre Créateur a un dessein passionnant pour chacun de nous. La vie de tous les êtres humains et celle de chaque enfant à naître est suprêmement et infiniment précieuse ! La Bible nous dit Car ainsi parle l’Éternel, Le crĂ©ateur des cieux, le seul Dieu, Qui a formĂ© la terre, qui l’a faite et qui l’a affermie, Qui l’a créée pour qu’elle ne soit pas dĂ©serte, Qui l’a formĂ©e pour qu’elle soit habitĂ©e Je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre. » ÉsaĂŻe 45 18 7. La science rĂ©vĂšle que l’Univers est prĂ©cisĂ©ment conçu mathĂ©matiquement tout en permettant le libre arbitre. Ce qui est vraiment incroyable, c’est que la science a dĂ©couvert que l’Univers est conçu mathĂ©matiquement. Il suit des lois ordonnĂ©es qui peuvent ĂȘtre dĂ©crites en termes mathĂ©matiques. Sir James Jeans, l’un des grands astronomes du XXe siĂšcle, fit remarquer D’aprĂšs les preuves intrinsĂšques de Sa crĂ©ation, le Grand Architecte de l’Univers commence maintenant Ă  apparaĂźtre comme un pur mathĂ©maticien [...] L’Univers commence Ă  ressembler davantage Ă  une grande idĂ©e qu’à une grande machine » The Mysterious Universe, [Cet Univers mystĂ©rieux] 1930, pp. 134, 137. Comme le notait Einstein, La chose la plus incomprĂ©hensible Ă  propos de l’Univers est qu’il est comprĂ©hensible. » Il voulait dire qu’il pouvait ĂȘtre compris en termes mathĂ©matiques, mais que l’explication de ce phĂ©nomĂšne allait au-delĂ  des mathĂ©matiques. DĂšs le dĂ©but du XXe siĂšcle, les scientifiques dĂ©couvrirent les lois qui rĂ©gissent le monde subatomique, le minuscule microcosme dĂ©crit par la mĂ©canique quantique. Ses rĂšgles sont trĂšs diffĂ©rentes de celles de notre macro-monde et semblent permettre l’apparition de notions telles que le libre arbitre. En fait, de multiples lois de la physique permettent, ou suggĂšrent directement, le libre arbitre. Prenons la mĂ©canique quantique par exemple En substance, la mĂ©canique quantique nous dit qu’il y a des choses que nous ne pouvons pas savoir sur l’avenir, des choses qui ne sont pas prĂ©dĂ©terminĂ©es mais qui se produisent avec un certain facteur de chance ou de hasard. Bien que de nombreuses choses dans le monde puissent ĂȘtre prĂ©dites, tout n’est pas prĂ©dĂ©terminĂ©, et nos actions ne se dĂ©roulent pas mĂ©caniquement d’une maniĂšre prĂ©dĂ©finie depuis le moment mĂȘme du Big Bang. » De mĂȘme, la deuxiĂšme loi de la thermodynamique stipule explicitement que l’Univers passe naturellement d’un Ă©tat d’ordre Ă  un Ă©tat de dĂ©sordre, ce qui est fondamentalement imprĂ©visible. Les lois de la physique garantissent que le dĂ©terminisme n’est pas avĂ©rĂ© Cela me rappelle les paroles de Dieu Vois, je mets aujourd’hui devant toi la vie et le bien, la mort et le mal. Car je te prescris aujourd’hui d’aimer l’Éternel, ton Dieu, de marcher dans ses voies, et d’observer ses commandements, ses lois et ses ordonnances, afin que tu vives [
] » DeutĂ©ronome 3015-16. Que pouvons-nous en tirer ? La science offre de nombreuses preuves que notre univers physique a besoin de l’existence de Dieu. Dans cet article, nous en avons examinĂ© sept. Les progrĂšs de la science ne cessent de rĂ©vĂ©ler une complexitĂ© et une conception plus profondes, non seulement dans le cosmos, mais aussi chez tous les ĂȘtres vivants. Le patriarche biblique Job mit un jour au dĂ©fi les sceptiques de regarder la conception des crĂ©atures qui les entourent et de noter qu’elles tĂ©moignent de l’existence d’un Être suprĂȘme, Concepteur et CrĂ©ateur. Il dĂ©clara Interroge les bĂȘtes, elles t’instruiront, Les oiseaux du ciel, ils te l’apprendront ; Parle Ă  la terre, elle t’instruira ; Et les poissons de la mer te le raconteront. Qui ne reconnaĂźt chez eux la preuve que la main de l’Éternel a fait toutes choses ? » Job 127-9 Par consĂ©quent, en examinant toutes les preuves et en constatant oĂč elles mĂšnent, nous espĂ©rons que vous croirez en Dieu, que vous continuerez Ă  croire et que vous chercherez sincĂšrement Sa volontĂ© pour votre vie !
LapriĂšre pour que quelque chose se rĂ©alise et pour exaucer un vƓu rapidement est trĂšs puissante. Rencontrez-en 3 tout de suite ! Tout le monde Ă  un vƓu, un souhait qu’il souhaite plus que tout rĂ©aliser. Seulement, des fois, mĂȘme en travaillant dur vous vous rendez compte que vous n’arrivez pas Ă  rĂ©aliser ce vƓu.
Dans l'article d'aujourd'hui, nous verrons priĂšre pour obtenir quelque chose d'immĂ©diat, dans notre guide y a tellement de choses que nous voulons dans la vie, que parfois nous ne savons pas comment les demander, alors cette fois je vais vous faire savoir comment vous pouvez en faire une. priĂšre pour faire un vƓu. C'est pourquoi je vous recommande de vous donner la possibilitĂ© de lire cet article, vous ne savez pas quand dans votre vie vous devez prier pour que Dieu vous accorde quelque chose que vous est notre crĂ©ateur et vous pouvez lui demander un souhait impossible et il le rĂ©alisera. Peu importe la force de votre souhait, si Dieu le veut, il vous l'accordera, mais vous devez aussi ĂȘtre gentil et reconnaissant, faire le bien et lui accorder vos Tout-Puissant Maintenant que je suis ici en ta prĂ©sence, Je te demande de m'accorder un miracle, et je viens Ă  toi dans toute mon la conviction que ton amour Ă©ternel protĂšge-moi et remplis-moi de ton essence, toi qui me souhaite le meilleur, travaille ton grand amour dans ma pour tout votre support, et entre tes mains je place mon grand rĂȘve. Je sens en moi ĂȘtre ta vĂ©ritĂ© divine, et le miracle que je demande ta grĂące, Divine VolontĂ©, et pensant au bien du monde entier, que tout est fait parfaitement, Je vous remercie de m'avoir toujours Ă©coutĂ©. Amen .Priez avec puissance, pas Ă  pasAsseyez-vous ou concentrer sur miracle De quoi as-tu ou rĂ©citez Une priĂšre pour un miracle ».Soyez silencieux et ressentez la prĂ©sence divine dans votre avec le miracle que vous demandez dans votre vous pouvez dormir, cela contribuera Ă  rendre votre priĂšre plus vous vous rĂ©veillez ou sortez de la transe, remerciez car le miracle que vous avez demandĂ© est sur le point de se Dieu fait quand il veut faire tout dĂ©pend de lui, alors dans la priĂšre vient ou nous prions qu'il en soit fait selon sa volontĂ©. XYy3G.
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